La Vie Conjugale Dans Madame Bovary

QUESTIONS SOCIALES 12. Le retour des inégalités ........................................................................ 13. Discrimination et égalité ...................................................................... 14. La femme et la vie moderne ................................................................ 15. La domination masculine ...................................................................... 16. La politique des quotas ............................................

Intellectual currents Pure and applied science Literature and ideas Digesting the Revolution Throne and altar History Catholicism and the Right Positivism Socialism and the Left Ideas and literature Aesthetic doctrines The growth of schools Chateaubriand Madame de Staël Romanticism Schools of poetry The Parnassian school Baudelaire Symbolism: the first phase xii CONTENTS Décadisme The Symbolist movement The evolution of Symbolism Post-Symbolism The Symbolist revolution Schools of fiction Balzac Realism

s’appelait Étienne Lantier et qu’il était « un machineur » qui, parce qu’il avait giflé son chef, venait d’être renvoyé des ateliers de Lille, qu’il cherchait du travail. Mais le vieux Bonnemort lui dit qu’il n’y en avait pas au Voreux, où il avait passé sa vie entière, étant maintenant envahi par le charbon. Il lui révéla l’importance de la Compagnie qui était «_le dieu repu et accroupi auquel ils donnaient tous leur chair, et qu’ils n’avaient jamais vu_.» (page 16). Chapitre II : Au coron des Deux-Cent-Quarante

progrès suppose un saut vers le nouveau, l’inconnu, le passage d’un état stable et connu à un nouvel état par une situation momentanément perturbée. Sur le plan individuel, progresser, c’est oser choisir : on évolue dans sa vie professionnelle, on s’engage affectivement dans sa vie personnelle, on assume des choix politiques, éthiques, etc. Le risque existe, là encore : peut-être vaudrait-il mieux ne pas choisir, ne pas prendre de risque, s’en tenir à ce que l’on est et à ce que l’on sait, plutôt

3 – QUESTIONS SOCIALES 12. Le retour des inégalités ........................................................................ 13. Discrimination et égalité ...................................................................... 14. La femme et la vie moderne ................................................................ 15. La domination masculine ...................................................................... 16. La politique des quotas ..............................................

parviendrais à accomplir ce travail. Je remercie également Madame Joëlle GLEIZE, Professeur de Littérature française à l’Université de Provence, Madame Nathalie BARBERGER, Professeur de Littérature française à l’Université Lyon 2, Madame QIN Haiying, Professeur de Littérature française à l’Université de Beijing, pour avoir accepté d’être membres de mon jury et pour l’intérêt qu’elles ont porté à mon travail. Mes remerciements vont également à Madame Inès OSEKI-DÉPRÉ, Professeur de Littérature française

THÈME 3 – QUESTIONS SOCIALES 12. Le retour des inégalités ........................................................................ 13. Discrimination et égalité ...................................................................... 14. La femme et la vie moderne ................................................................ 15. La domination masculine ...................................................................... 16. La politique des quotas ................................................

et certains n’ont même pas pu donner de réponses. ! En 1787, KANT dans son œuvre : la critique de la raison pure fait ce constat : cherchent encore une définition pour leur concept de droit » « les juristes ! Au XVII, Gustave FLAUBERT Madame de Bovary avoue son incapacité à définir le droit en énonçant de manière un peu brutale « le droit on ne sait pas ce que c’est » ! Au XIX, en 1989 Le doyen George VEDEL dans la revu droits : « je sèche laborieusement sur cette question pourtant si innocente

s’appelait Étienne Lantier et qu’il était « un machineur » qui, parce qu’il avait giflé son chef, venait d’être renvoyé des ateliers de Lille, qu’il cherchait du travail. Mais le vieux Bonnemort lui dit qu’il n’y en avait pas au Voreux, où il avait passé sa vie entière, étant maintenant envahi par le charbon. Il lui révéla l’importance de la Compagnie qui était «le dieu repu et accroupi auquel ils donnaient tous leur chair, et qu’ils n’avaient jamais vu.» (page 16). Chapitre II : Au coron des Deux-Cent-Quarante

s’appelait Étienne Lantier et qu’il était « un machineur » qui, parce qu’il avait giflé son chef, venait d’être renvoyé des ateliers de Lille, qu’il cherchait du travail. Mais le vieux Bonnemort lui dit qu’il n’y en avait pas au Voreux, où il avait passé sa vie entière, étant maintenant envahi par le charbon. Il lui révéla l’importance de la Compagnie qui était «le dieu repu et accroupi auquel ils donnaient tous leur chair, et qu’ils n’avaient jamais vu.» (page 16). Chapitre II : Au coron des Deux-Cent-Quarante