La Vie des autres

possession de la nationalité française et de ses droits civils et politiques. Elle se définit aussi aujourd'hui comme une participation à la vie de la cité. Cependant, les citoyens n'ont aucun rôle obligatoire à jouer. En ce sens, le statut juridique de citoyen est un statut de liberté. Un citoyen peut choisir de participer (citoyen actif) ou non (citoyen passif) à la vie publique. Toutefois, un citoyen actif a un rôle essentiel à jouer, qui prend tout son sens avec l'exercice du droit de vote. C'est à

[Intro] Hey, Blacko Soprano... Sniper, Psy 4 [Refrain - Blacko] Ca n'arrive qu'aux autres, on ne réalise pas tant que ça ne nous touche pas On sait très bien ce qu'il se passe ailleurs mais on ose se plaindre Relativise, ferme les yeux et imagine toi Tu verras comme ta vie est belle ! [Couplet - Soprano] Ferme tes yeux et imagine ta vie Dans ces pays où les hommes politiques sont en treillis Où la liberté d'expression est une conspiration Où le dollar civilise avec des canons Où

Vie sociale 8 La place du travail dans l'identité des personnes Hélène Garner, Dominique Méda* Le travail est, après la famille, l’un des composants essentiels de l’identité. La place et l’importance que lui accordent les individus dépendent néanmoins très fortement de leur catégorie socioprofessionnelle et de leur situation familiale. Si, pour les cadres et les indépendants, le travail est une activité très importante, vecteur d’épanouissement et de réalisation personnels, cela est beaucoup

est beaucoup mieux que l’humain à l’état de société (avec les technologies, les relations sociaux et les arts) [footnoteRef:1]. Moi, je pense que la thèse de Rousseau est véridique. Je pense aussi que c’est en ce confrontant les uns les autres qu’on devient de moins en moins bon. [1: Notes de cours sur Rousseau (état de nature et état de société)] Pour Jean-Jacques Rousseau, les technologies et les arts ne contribuent pas à améliorer l’être humain. L’être humain

grandir et se développer ». chp lex du don : « t'ont procuré, ils t'ont apporté » + répétition du vbe « aider » une mère parfaite : véritable investissement : « tu t'es occupée d'eux » ; elle est dans l'action et ne semble plus subir sa vie : « créer un foyer » sens du devoir : « comme tte mère doit le faire » : pst de vérité gale image de la perfection : « avec une totale abnégation » (sens du sacrifice et de l'oubli de soi même), « sans jamais ménager ta peine » II ) La souffrance

: REGLE DE DROIT ET AUTRES REGLES DE CONDUITE PLAN 1 INTRODUCTION Ne figurent ici que les éléments devant figurer dans l’introduction, à vous de rédiger et de les agencer entre eux. Accroche : « ubi societas, ubi jus », pas de société sans droit. Définitions : La règle de droit est une règle de conduite en société, qui vise à régir les rapports entre les individus la composant. Si c’est une règle de conduite en société, ce n’est cpdt pas la seule règle réglementant la vie sociale. Il existe en

ni l’isolement, ni l’indépendance totale, ni l’individualisme : en effet, être autonome, c’est être plus libre et non être libre. C’est une liberté limitée de choix, de décider. La liberté des autres apparaît comme une limite à notre liberté. L’autonomie réclame la présence de lois et al présence des autres. Ces deux aspects introduisent la sociabilité dans l’autonomie. Elle n’exclut pas la dépendance, c’est à travers autrui et dans une relation de personne à personne que le sujet se construit. L’autonomie

de nous liberer des opinions toutes faites afin de nous rapprocher de la source de la vérité. Quand on a un texte philosophique on doit se demander qu'est ce qui est en jeux, qu'est-ce qui s'y joue. La mise de ce mythe est l'éducation de soi et des autres. Il y a un devoir de solidarité envers ceux avec qui on partagé nos conditions socio-culturelles pour participer au processus d'éducation. Leurs problème n'est pas de ne pas voir, tout en chacun peut voir. On parle de l'usage de ses capacité qu'on

d’autrui : la façon dont les autres se représentent celui qu’ils croient que je suis ou qu’ils voudraient que je sois peut être un facteur d’aliénation. On peut penser, à ce propos, à la fameuse phrase que prononce Garcin dans la pièce du philosophe existentialiste Jean-Paul Sartre intitulée Huis-clos : « L’enfer, c’est les autres ». Pour m’intégrer au groupe, à la bande de copains, ou plus simplement pour plaire, pour séduire, je m’efforcerai de paraître tel que les autres s’imaginent que je suis, de

| |3 |Mental, expression, originalité, créativité, sociabilité, joie de vivre. | |4 |Travail, constance, organisation, rigueur, discipline, stabilité, cadre de vie. | |5 |Sexualité, plaisirs des sens, adaptations, liberté, expansion, évolution, aventures. | |6 |Responsabilités, compréhension d’autrui, obligations, choix