La Vie Des Bêtes

plus en esclaves, avoir des loisirs, vivre plus longtemps, etc...), il exhorte tous les animaux à se soulever contre le fermier, M. Jones, l'unique source de tous leurs problèmes tout en entonnant un chant révolutionnaire sorti de son rêve intitulé Bêtes d'Angleterre. Trois jours plus tard Sage l'Ancien meurt dans son sommeil. Par chance, la révolution a lieu plus tôt et plus facilement qu'espéré. Un soir, après une journée bien remplie, le manque de nourriture exacerbe la colère des animaux. Dans

« Qui » en début du v.3 introduit une proposition subordonnée relative qui vient compléter l’antécédent « roi » du v.1 « s’ennuie avec ses chiens comme avec d’autres bêtes » : l’ennui fait son œuvre et met au même niveau les « précepteurs », les chiens, animaux domestiques aimés avec lesquels on s’étonne qu’il s’ennuie, les « autres bêtes » , le « gibier », « faucon » et pour finir le « peuple mourant ». Cette énumération d’êtres vivants, comme autant de possibilités de distractions qui se révèlent

Henri Rousseau dit le douanier Sa vie  Né le 21 Mai 1844 à Laval dans la valée de la Loire, dans la maison familiale, comme le premier fils d´un ferblantier, qui avait eu déjà trois filles au moment de la naissance d´Henri, un autre fils vient après Il allait au lycée de Laval, il a été un étudiant médiocre sauf qu´à l´art et à la musique,ou il a même reçu des prix pour ses réussites ayant finit ses études il commence à travailler pour un notaire, mais en 1863 il va commettre un larcin et il prend

combats qui agitent leur temps: la guerre civile espagnole, la seconde guerre mondiale, la guerre civile grecque et la lutte contre le colonialisme. Leur engagement a un mot d'ordre : liberté. Cette anthologie regroupe cinq poèmes, « Avis » et « Bêtes et méchants » de Paul Eluard (1895-1952), « Ce cœur qui haïssait la guerre... » de Robert Desnos (1900-1945), et « La rose et le réséda » et « Strophes pour se souvenir » de Louis Aragon (1897-1982). Nous avons choisi ces poèmes parce qu'ils illustrent

blessée; Androclès la soigna. L'homme et le lion vécurent alors ensemble pendant trois ans et le lion fournissait à l'homme les morceaux les plus gras des bêtes qu’il chassait.      Mais, las de cette vie sauvage, Androclès quitta la grotte pendant que le lion chassait ; il fut bientôt repris, ramené chez son maître à Rome et condamné à être livré aux bêtes dans le Circus Maximus. Là, il vit s'avancer vers lui un lion particulièrement grand et terrifiant. Mais celui-ci, au lieu de bondir sur l'homme, s'arrêta

Les Gladiateurs Les gladiateurs (du latin: gladiatores signifiant « combattant à l'épée »), étaient des combattants professionnels. Ils étaient des esclaves mais s'engagaient volontairement pour but d’obtenir une meilleure vie grâce à des victoires. Ils se battaient entre eux, à l'origine pour honorer la mémoire d'un mort (ils se battaient sur les tombes des morts), puis après pour le divertissement du public. Thrace | En général il luttait avec les Mirmillons. Il combattait avec une arme caractéristique

l’être borné » page 162) parce que, chez lui, la société ne les a pas atténués. Il est capable lui aussi de violences : il a déjà tué dans une rixe et sous l’effet de l’alcool. De plus, il vit dans une cabane au fond de la forêt, ce qui rappelle les bêtes sauvages (« cette bête féroce » page 397). Paradoxalement, c’est chez ce sauvage que l’on trouve l’une des rares traces de tendresse dans tout le roman. Ainsi, il est ému lorsqu’il découvre Séverine égorgée (« Puis il aperçut le sang, il comprit, s’élança

prendre. Mkidech ne s’offusque pas, il est certes handicapé, mais il est de loin le plus intelligent. Une fois le partage terminé, il retire l’épine du genou de la mule, deux jours plus tard, elle ne boite plus. Apres s’être familiarisés avec leurs bêtes, les sept frères décident de partir à la chasse, munis de leurs arcs et leurs carquois pleins de flèches, ils décident de se rendre de très bonne heure à la foret giboyeuse, ils s’enfoncent dans la foret où ils sont surs de trouver du gibier à profusion

une génération différentes. Dans Germinal, nous suivons l’histoire d’Etienne Lantier, fils de Gervaise (personnage de « l’Assommoir ») qui trouve un travail dans une fosse, « le Voreux », et va partager la vie d’une famille de mineurs, les Maheu. Ecœuré par les conditions de travail et la vie misérable que mènent les gens, il va organiser une grève. Dans le passage qui nous intéresse, les mineurs viennent de décider de contraindre à la grève les rares puits où le travail ne s'est pas encore arrêté

mais bien le déplorer. Ou plutôt, ne s’en étonner ni ne s’en plaindre, mais supporter le malheur avec patience, et se réserver pour un avenir meilleur. Nous sommes ainsi faits que les devoirs communs de l’amitié absorbent une bonne part de notre vie. Il est raisonnable d’aimer la vertu, d’estimer les belles actions, d’être reconnaissants pour les bienfaits reçus, et de réduire souvent notre propre bien-être pour accroître l’honneur et l’avantage de ceux que nous aimons, et qui méritent d’être aimés