La Vie Tranchée

sait seulement qu'il était soldat dans l'armée française pendant la Première Guerre mondiale, un « poilu ». On pense qu'il est originaire du Midi. L’air est celui de la chanson « Bonsoir m’amour », d’Adelmar Sablon. Sujet de l’œuvre: la guerre des tranchées Date et contexte: 1917, durant la 3e année de la Première Guerre mondiale. C’est alors une guerre de position, qui a lieu dans le nord de la France entre les français et les allemands. Description et analyse Dans le premier couplet, les

en France jusqu’en 1974, date à laquelle le président de la République Valéry Giscard d’Estaing autorise sa diffusion sur les ondes. Cette chanson parle des problèmes et des conditions de vie des trouffions, leurs sentiments, des adieux…Elle parle des purotins qui sont de la tranchée. Leurs conditions de vie étaient terriblement dure: le danger permanent, le froid hivernale, les rats, les poux, les odeurs nauséabondes, la pluie, la boue, manque d‘hygiène, l‘inconfort dans les abris de fortunes.

EXPOSITION : 14-18 LYON SUR TOUS LES FRONTS Thématique retenue : La vie des poilus au front Après une rapide guerre de mouvement, la guerre entre 1915 et 1917 est une guerre de  tranchées (700 km). Otto Dix racontera à travers ses peintures l'horreur des conditions de vie au front. Les tranchées, la boue, le gaz, les assauts, la mort des proches et leur putréfaction. Sur le front, dans les tranchées, les conditions de vie des soldats sont éprouvantes. Ils vivent dans la boue et dans le sang

les troupes se stabilisent, fin 1914, le long d’un front qui va de la mer du nord à la frontière suisse. C’est alors la guerre de position où les soldats s’enterrent dans des tranchées. Cette guerre de position dure jusque début 1918 où la guerre de mouvement reprend. En 1917, les hommes sont donc « enterrés » dans les tranchées depuis plus de deux ans et la lassitude se fait sentir parmi les troupes, c’est l’année des grandes mutineries. 1917 est une année charnière à d’autres égards : c’est l’année

tel succès dès sa parution en 1929 ? La guerre des tranchées D'abord engagé volontaire en 1916 pendant la première GM et blessé en 1918, Erich Maria Remarque a exercé divers métiers après la guerre avant de trouver sa voie dans le journalisme et la littérature. Dans son roman, il ressent le besoin d'évoquer sa propre expérience de la guerre. En Europe, de 1915 à 1917, une nouvelle forme de guerre apparaît, c'est la guerre des tranchées, qu'on appelle aussi guerre de position. C'est une guerre

C'est le début de la guerre de positions ; ils s'enterrent donc dans des tranchées. Une tranchée, est un « trou » ou un «  fossé » qui est censé être provisoire, aménagé dans la terre pour protéger et abriter les combattants. Elle est composée d'une première ligne, destiné a observer puis attaquer l'énemie, qui est reliée par l’intermédiaire des boyaux aux secondes positions destinées a évacuer les blessés. Devant les tranchées de chaque camps, on peut voir un « mur » de barbelés qui est la délimitation

De plus il s'agit d'une longue guerre de position. Les troupes s’enterrent dans les tranchées et se font fassent. On croyait que la guerre allait durer quelques mois mais au final elle a duré 4 ans. On peut le voir grâce : - A des barbelés qui montrent que les deux camps se faisant la guerre, chacun de leur cotés. - Aux objets personnels des soldats éparpillés dans toute la tranchée. Cela nous montre qu'il s'agit d'une guerre de position longue. En effet, entre deux offensifs les

« C'était la guerre des tranchées » A- L’œuvre Titre de l’œuvre : « C'était la guerre des tranchées » Sujet : La vie des soldats dans les tranchées pendant la Première guerre Mondiale. Domaine artistique : Art du visuel. Nature / Genre de l’œuvre : Bande Dessinée en noir et blanc. Date de création : 1993 B- L'auteur. Jacques Tardi, né le 30 Août 1946, est un dessinateur spécialement de bande dessinée. Il passe ses premières années dans l'Allemagne de l'après guerre, son père étant

soldats, blessés bravant la boue et la neige sont conduits à la tranchée Bingo Crépuscule. On apprend que ces soldats sont condamnés à mort pour mutilation volontaire. La Grande guerre n’en finit plus et ils se sont blessés volontairement pour quitter cet enfer. Le conseil de guerre les a condamnés à mort . Cette première partie est construite sous de forme de correspondances entre les soldats set leurs familles. Le narrateur décrit la vie que menaient Kleber Bouquet, Francis Geignard, Benoit Notre-Dame

Nous allons tout d’abord nous attarder sur les conditions de vie déplorables des soldats. L’auteur met en évidence leur rythme de vie calquer sur le rythme des attaques et des pluies d’obus. « L’un des matins suivants, assez semblable aux autres », il évoque une routine, les soldats connaissent une vie ponctuée par les bombardements même s’ils ne peuvent en connaître l’heure et l’intensité, ils savent de quoi la journée sera faites. Une vie qui se résume à de longues périodes d’ennui ponctuée de moments