La Vie Tranchée

qualité de vie pour les habitants du quartier traversé par le projet. La rocade permettra en effet de réduire le trafic et donc la pollution. La ville pourra envisager de mettre en place des transports collectifs sur des espaces réservés. Tracé du projet de L2 Le 15 octobre 1979, L'Etat devient maître d'ouvrage et en 1986, l'aménagement de cette rocade est fixé sous la forme d'une autoroute urbaine à 2 x 3 voies. Une première section centrale, de 1,2 km de longueur, la tranchée des Tilleuls

conditions de vie dans les tranchées étaient très dures. Les soldats ne faisaient qu’un repas par jour . Chaque soldat avait un peu de chocolat dans une boîte en fer qu’il n’avait le droit d’ouvrir que sur ordre dans le cas où il n’y aurait plus rien d’autre à manger. Pour aller chercher de l’eau, ils sortaient la nuit afin de ne pas être vus des soldats ennemis. Les tranchées étaient étroites et très humides ; l’eau traversait les parois il y avait de la boue et des rats. Parfois les tranchées s’écroulaient

pour aller prendre la relève dans une tranchée, Demachy découvre enfin la réalité de la guerre, les marches interminables, les tirs incessants des Allemands. Il voit les morts, les obus, la vie rude des tranchées. Mais quand le capitaine demande un volontaire pour guider une patrouille en difficulté, Gilbert montre un courage surprenant. Son dévouement impressionne l’escouade qui le prenait pour un pleutre. Chapitre 4 : La bonne vie L’escouade quitte la tranchée pour s’installer dans une ferme voisine

Présentation des personnages : Paul Baümer : Paul Baümer est le narrateur de cette histoire , malgré toutes les horreurs qu’il voit il reste généreux , compatissant et bon avec ses camarades de tranchée . Alber Kropp : Alber Kropp est un bon amis de Paul et un camarade de classe. Müller : Müller est un bon amis a Paul , c’est un peu « la tête » de la bande . Il emporte avec lui des tas de livres de classe pendant les bombardements. Tjaden : Tjaden est un amis de Paul et un ancien camarade

un véritable esprit de famille s’installe alors entre les combattants qui se sentent pourtant seuls. La mort est omniprésente. La guerre des tranchées est une guerre immobile où les ennemis se font face. Lorsque les soldats sortent des boyaux où ils sont abrités ils se lancent alors pour des assauts suicidaires. Parcourant le front, ils risquent leur vie sous les balles et les obus du camp adverse « ce sont les obus qui les enterrent » Le second document est un témoignage d’un ancien combattant

Des combats d’une extrême violence ont eu lieu (Verdun, la Somme…) et la situation semble alors bloquée : la «guerre de position» pratiquée dans les tranchées par tous les pays dans le nord de la France ne donne aucun résultat. Les soldats sont épuisés et traumatisés par la violence des affrontements et les conditions de vie terribles dans les tranchées. Ils meurent par dizaines de milliers tous les mois et ont de plus en plus le sentiment d'être envoyés à la mort pour rien. La même année, un vent

5) et 2 nominations au Oscar ainsi qu’au Golden Globe le film fera 4,400,000 entrées dans le monde. En réalisant cette fiction, Jeunet nous montre l’absurdité de la guerre, la violence de masse que la guerre a pu faire. Nous découvrons, la vie dans les tranchées dans des conditions terribles, les mutineries des soldats épuisés par cette guerre. Jeunet nous fait visualiser aussi l’amour, la force des sentiments, la ténacité et l’espoir autour du film. * Résumé : En 1919, Mathilde a 19 ans. Deux ans

restent à s’occuper des champs et des bêtes…L’auteur raconte en alternance la vie au front avec Joseph puis Olivier ainsi que la vie à l’arrière avec Julia et Madeleine. Dans cette oeuvre Giono va décrire ce qu’il a vécu durant ses années au front. Le grand troupeau est donc un témoignage du quotidien du soldat. On y lit la peur, la mort, la folie que les hommes côtoient tous les jours. Giono décrit aussi les conditions de vie des soldats affrontant le froid, les intempéries, la boue ainsi que les

Français face à la guerre A) Un conflit brutal : horreur des combats et brutalisation des esprits 1- la dure vie dans les tranchées Ex. La tranchée des baïonnettes à Verdun 11 juin 1916, 57 soldats sont morts debout ensevelis sous la terre et l’acier après un bombardement d’une intensité exceptionnel… Un monument protège aujourd’hui cette tranchée… Des conditions de vie horrible : boue, rat, froid, poux… les « poilus », la mort présente à chaque instant… 2- Tenir Comment tenir

est stoppée sur la Marne (6-13 septembre) aux prix de lourdes pertes. La " course à la mer " n’est pas une simple tentative stratégique d’encerclement, c’est une succession d’offensives meurtrières. A l’automne les deux armées s’enterrent dans des tranchées, le long d’un front étiré de la Manche à la fron- tière suisse. Sur le front Est, les Allemands arrêtent les Russes à Tannenberg dès le mois d’août. • Aucoursdelaguerredeposition(automne1914-fin1917),unesuccessiond’offensives saigne les armées sans