La Vie Tranchée

C et album consacré, comme son titre l’indique, à la vie dans les tranchées pendant la Première Guerre mondiale est constitué d’ une suite de récits sans autre relation entre eux que la guerre . Ainsi que l’écrit Tardi dans sa préface, « il ne s’agit pas de l’histoire de la Première Guerre mondiale racontée en bande dessinée, mais d’une succession de situations non chronologiques (...). Il n’y a pas de “héros”, pas de “personnage principal”, dans cette lamentable “aventure” collective

de classe et lui-même s'engagent volontairement dans l'armée allemande. Parmi ses camarades, deux amis lui sont chers : Kropp et Katczinsky. Il survit depuis plusieurs mois sur le front à la frontière française dans les tranchées allemandes. Les conditions de vie dans les tranchées sont rudes, les hommes vivent au milieu des bombardements… Paul raconte ces jours de guerre, ses angoisses, ses rêves, ses souffrances, ses instants de joie avec ses amis… C’est un témoignage réaliste qui comporte de nombreuses

Tardi, C'était la guerre des tranchées, casterman, 1993, planche 46 Introduction : Editée par Casterman, «c’était la guerre des tranchées » a été dessinée en 1993 par Jacques Tardi, auteur et dessinateur de bande dessinée française, lauréat en 1985 du Grand Prix de la Ville d'Angoulême et en 2011 de deux prix Eisner. Son grand-père a participé à la première guerre mondiale et il fut gazé, hanté par ces horreur, il en fera le sujet de ses œuvres. La planche ci-dessus est la 46eme planche de

 Existe-t-il des moyens de soulager la souffrance des combattants ? Sur un front de 800 kilomètres s'étendaient les tranchées.La tranchée n'a pas uniquement modifié le déroulement de la guerre, elle a également changé les hommes et leur façon d'y survivre.Dans ce type nouveau de conflit, il faut des soldats endurcis, solides psychologiquement,moralement pour résister aux nombreux fléaux que sont la boue, les intempéries, l'attente, le manque d'hygiène

La vie des poilus sur le front Introduction: Sur le front, dans les tranchées, les conditions de vie des soldats sont éprouvantes. Ils vivent dans la boue et dans le sang. Les combats sont meurtriers : près de 23 % des fantassins français y sont tués. Comment ces « poilus » , qui n'ont ni l'eau ni le temps pour se raser, ont-ils pu résister si longtemps à l'enfer du front ? I. La vie du poilu 1. Le poilu, nerf de la guerre • Près de 66 millions d'hommes (dont 8,5 millions en France) ont été

Boris. Et de ma tranchée. Je croise des hommes que je ne connais pas. Tous ceux-là. Les nouveaux arrivés. En rang par deux. Je ne veux pas les regarder. Juste marcher. Droit devant moi. Qu’ils me laissent passer sans m’arrêter. Sans me questionner. Que veulent-ils que je leur dise ? Que nous avons tenté une offensive massive et que nous avons échoué ? Qu’une telle marée d’hommes et de fusils, je n’en avais encore jamais vu ? Que Boris a cru que je lui avais sauvé la vie mais que ce n’est

Les tranchées Tranchée britannique dans la Somme en juillet 1916. Article détaillé : Tranchée. Ce conflit mondial est caractérisé par une ligne de front continue de 700 kilomètres119, fortifiée, qui ne sera jamais rompue par aucune des armées en présence avant 1918. Le front est constitué de plusieurs lignes de défense creusées dans la terre, les tranchées, reliées entre elles par des boyaux d’accès120. Les conditions de vie dans ces tranchées sont épouvantables, bien que les tranchées allemandes

se  doit  de  quitter  Mathilde,  sa   fiancée,  pour  partir  sur  le  front.  Avant  la  guerre, Manech était courageux et intrépide, puis la guerre va le détruire et va le rendre  extrêmement  craintif.  Une  seule idée le consolait dans les tranchées : la perspective de  revoir  Mathilde  et  de  l’épouser  dès  son  retour  de  la  guerre.  Cette  préoccupation  devenait  tellement  obsédante  qu’il a  tenté  à  deux reprises d’obtenir une permission. La  première  fois  en  se  rendant  malade 

sont très difficiles. En effet, les souffrances auxquelles les soldats font face sont nombreuses : souffrances physiques comme le gaz, le manque d’eau et de nourriture lors des attaques ainsi que le manque de sommeil. De plus, la pluie rend les tranchées dangereuses. Les soldats peuvent y mourir noyer. À ces souffrances physiques, il faut ajouter des souffrances morales tels le risque de mourir lors d’une attaque et ne plus revoir sa famille ainsi que voir ses camarades tombés sous le feu de l’ennemi

372ème régiment de l’infanterie et a été envoyé à Salonique en Grèce de 1915 jusqu’à la fin de la guerre. Les extraits dans ce passage date de l’été 1917, entre le mois de juin et juillet. Il y écrit ses pensées et idées et parle de ses conditions de vie entant que soldat. Contexte historique: L’expédition de Salonique était une opération des alliés (France, Angleterre et Russie) menée sur les fronts de l’Orient, notamment sur le front de la Macédoine. Elle était destinée a plusieurs fins différents