La Ville En Poésie

la ville qui est décrite négativement, une ville boueuse, Baudelaire va part le procédé d’écriture poétique la ville boueuse en beauté. (Alchimie)1er huitain (octain) : Les deux premiers vers nous proposent donc un paysage, « vieux faubourg » (1857-quartier parisien qui est dégradé et pauvre). On s’aperçoit dans les deux mots à la rime « masures » et « luxures », Baudelaire exprime la dégradation, c’est-à-dire la pauvreté « masures » et la débauche « la luxures ». Qui montre que la ville est semblable

même auteur Les yeux des pauvres tiré du recueil posthume Petits Poèmes en Prose aussi connu sous le nom du Spleen de Paris paru en 1869, le poème Zone de Guillaume Apollinaire publié en 1913 dans le recueil Alcools et pour finir un extrait de La ville de Emile Verhaeren publié en 1893 dans le recueil Les campagnes Hallucinées. Ces textes datent du dix-neuvième et vingtième siècle, qui sont avant tout des siècles de changements et de modernisation très importante. Ils ont pour thème commun la représentation

Alfred de Musset- Madrid : Analyse + Biographie : p.7 2.3 Guillaume Apollinaire- Le Pont Mirabeau : Analyse + Biographie : p.9 2.4 Paul Verlaine- Paris : Analyse + Biographie : p.12 2.5 Maurice Carême- Ville : Analyse + Biographie : p.14 2.6 Emile Verhaeren- Londres : Analyse + Biographie : p.16 3. Choix des poèmes : p.18 4. Conclusion : p.19 5. Bibliographie: p.20

La Création Poétique. Thèmes et langage dans la poésie française du XVI° siècle à nos jours. De Michel Quesnel La poésie est au-delà de toute formule. Il est trop facile de prétendre qu’il existe autant d’arts poétiques que de poètes, de conceptions de la poésie que de lecteurs. Mais est-il licite de vouloir passer outre à la simple émotion d’une lecture immédiate ? La poésie n’est pas un savoir ; elle dégage une séduction et détermine des façons d’être. Et si elle fonde une vérité, cette

moderne qui fascine Apollinaire. Annonce du plan Dans cette lecture analytique, nous verrons tout d’abord qu’Apollinaire affirme dans « Zone » une esthétique novatrice (I), puis nous nous demanderons à quel point ce texte représente une rupture avec la poésie traditionnelle (II). Pour terminer, nous remarquerons que c’est son quotidien qu’Apollinaire place au centre de ce poème (III). I – « Zone » : une esthétique nouvelle A – Dans la forme Un bref survol du texte suffit pour que la structure du poème surprenne le

grâce à son chant. Importance de ces figures toujours présentées à la rime-Le poète lui est présent aux vers 22 et 24 "mes années"/ "mal aimé" au mi- lieu de ces menaces mais sans être détruites par elle. Il a donc surmonté les dangers grâce à la poésie. Conclusion: Les 5 dernière strophes de "la Chanson..." présentent à la fois l'exemple d'un lyrisme tradi- tionnel et l'ébauche d'une manière poétique neuve. Apollinaire , en effet, y chante la tristesse d'un amour perdu et y glorifie la création

Horace disait « Ut pictura poesis », la poésie est une peinture. Des siècles plus tard, cette citation résonne encore de manière moderne comme une vérité indéniable. Peinture de l’âme, des sentiments et de la ville comme de la nature, la poésie offre à l’homme un moyen d’expression sans égal aux fonctions variées. Qu’elle soit lyrique ou engagée, elle séduit depuis la nuit de temps et est considérée à la fois comme un chant de l’âme et comme un instrument d’action ou de connaissance. Eugène Guillevic

Même s’il ne cite pas une seule fois le dieu de la poésie lyrique, Apollon, son pseudonyme y fait évidemment allusion. Plusieurs figures féminines du recueil (comme dans les poèmes “Marie” ou “Annie”) pourraient évoquer les Muses, filles d’Apollon et protectrices des arts, surtout à partir du moment où la poésie classique puis romantique les ont réduite à une seule Muse, qui se confond souvent avec la bien-aimée. De même, parmi les

« fourre-tout » de poèmes divers, à première vue disparates, dont la valeur varie n’ayant rien d’innovant. Cette vision négative du recueil s’oppose à la vision d’Apollinaire sur son travail qu’il décrit dans son discours sur l’Esprit nouveau : « poésie et création ne sont qu’une même chose ».Peut-on caractériser le recueil Alcool d’apollinaire par la métaphore d’une « boutique de brocanteur » qui « revend » et « ne fabrique pas » ?Alcools est-il qu’une pâle copie des recueils de grands auteurs antérieurs

La poésie a souvent été pensée comme illustrant la beauté et la joie de la réalité et vue comme quelque chose de positif, dans laquelle beaucoup aiment se réfugier; elle est alors considérée comme esthétique. Mais la poésie doit-elle nécessairement embellir cette réalité, ce monde réelle qui est pourtant celui dans lequel tout le monde vit? Pourquoi le poète ne témoignerait-il pas de cette routine, ces réalités sociales, événementielles ou politiques qui nous concernent personnellement et nous touchent