La Ville Fernand Léger

l’Antiquité. Après quinze ans de troubles incessants, l’ère napoléonienne requérait des édifices fonctionnels symbolisant sa grandeur et son autorité. Ledoux, Salines royales d’Arc-et-Senans : en incluant de manière fictive toutes les institutions de sa ville idéale dans cette typo restreinte, Ledoux élabore une « physiognomonie » architecturale qui symbolise la visée sociale de formes par ailleurs abstraites. Après la Révolution, le néoclassicisme évolua pour satisfaire aux nouveaux besoins en institutions

à la révision Comité de correction Responsable à la logistique et aux communications Graphisme Postures, critique littéraire Université du Québec à Montréal Département d’études littéraires, local J-4205 Case postale 8888, succursale Centre-ville Montréal (Québec) CANADA H3C 3P8 ISSN : 1496-7715 Dépôt légal — Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 Dépôt légal — Bibliothèque et Archives Canada, 2009 critique littéraire Engagement : imaginaires et pratiques Actes du colloque

avoir ressenti de vocation dès le plus jeune âge. De la même façon, dans le même état d’esprit, un autre policier avoue sans la moindre gêne : « Ce n’est pas par vocation que je suis devenu flic. C’est par nécessité, pour la sécurité ou 14 15 Fernand Cathala : « Délinquances et enquêtes policières ». Editions du Champ de Mars, 1987. P.276 Commissaire Leclerc. « De l’antigang à la criminelle ». Editions Plon, 2000. p. 9. 16 Michel Alexandre. « Lettres à un jeune flic ». Editions Balland. p.11.

ap. J.-C.) se montre plus circonspect envers le rire. Dans Institution oratoire, il décrit les différentes pratiques du «risus», son préféré étant «l’urbanitas»: «…un langage où les mots et le ton, et l’usage révèlent un goût vraiment propre à la ville et un fond discret de culture emprunté à la fréquentation des gens cultivés, en un mot le contraire de la rusticité». Quintilien se méfie du rire, il l’associe à des forces sombres et incontrôlables. Il doit être un des premiers à diaboliser le rire

limitative) Des extraits d’œuvres littéraires de Maurice Genevoix, Erich Maria Remarque, Bertolt Brecht, Colette, Alexandre Soljenitsyne, Vassili Grossman, Primo Levi, Simone de Beauvoir… Des œuvres d’Otto Dix, Pablo Picasso, Marcel Duchamp, Fernand Léger, Sonia Delaunay, Giacometti, Andy Warhol, Louise Bourgeois… Des exemples d’œuvres produites dans le cadre des régimes totalitaires… Des photos de Robert Doisneau, Henri Cartier-Bresson, Robert Capa, Gerda Taro… Des édifices de Le Corbusier

chroniques. L’édition des Peintres cubistes, méditations esthétiques (l’auteur y analyse l’œuvre de neuf peintres représentatifs de la nouvelle tendance : Pablo Picasso, Georges Braque, Jean Metzinger, Albert Gleizes, Marie Laurencin, Juan Gris, Fernand Léger, Francis Picabia, Marcel Duchamp et un sculpteur, Duchamp-Villon) et celle d’Alcools (recueil de ses meilleurs poèmes) fait de 1913, l’année de sa consécration littéraire. Dans un manifeste L’Antitradition futuriste, Apollinaire indique les voies

moins par sa forme que par son nom qui, par synecdoque (le contenu pour le contenant), appelle à la pensée l’idée d’une poitrine « contre [laquelle se] blott[ir] ». La voix de Jeanne apparaît donc comme une voix nostalgique du passé (l’origine, la ville-mère), une voix qui refuse l’expérience présente du « voyage […] terrible ». Refus qui trouve une éclatante confirmation dans le sommeil auquel elle s’abandonne plus loin dans le poème : « Elle dort / Et de toutes les heures du monde elle n’en a pas

STYLE EN QUELQUES LIGNES MULTIPLICITÉ DES SUPPORTS L’artiste expérimente une grande diversité de supports. Il s’écarte de la toile pour travailler sur des bâches en vinyle, des vêtements, des badges, des voitures, un zeppelin, les murs de la ville, etc. Il préfère des matériaux peu coûteux et facilement disponibles à la traditionnelle toile tendue sur châssis. La bâche en vinyle, conçue industriellement, disponible dans toutes sortes de formats et dans une gamme de couleurs vives, devient

partagé et transformé. Si l'on s’intéresse de plus près à la notion de territoire on peut étudier la définition de Claude Raffestin qui dit « le territoire est un espace transformé par le travail humain », et également la définition de Pierre George et Fernand Verger qui défini le territoire comme « un espace géographique qualifié par une appartenance juridique, une spécificité naturelle ou culturelle ». Quelle que soit l'approche de ce concept, un territoire implique obligatoirement des frontières ou

différentes tournées à venir et pouvoir définir si l’une d’entre elles pouvait être intéressante. J’ai ensuite fait un rapport à Mme DUMANGE, pour la tenir informée et nous avons pris la décision ensemble de participer à la tournée de septembre pour la ville de Chicago. Page | 2  Contact partenaires touristiques Lors de mon stage, il avait été convenu que je contacte les partenaires touristiques, cependant compte tenu des autres tâches qui m’ont été attribuées, je n’ai pas eu le temps nécessaire à consacrer