La Violence Est Elle Larme Des Faibles

pendant la guerre d’Espagne, par l'aviation nazie, alliée de Franco. Ce bombardement a marqué les esprits non seulement à cause de l'ampleur du massacre mais aussi et surtout à cause de la valeur terroriste qui lui a été attribuée, car elle avait une faible valeur stratégique militaire. Après qu’il ait sillonné les expositions, Picasso a souhaité que le tableau ne bouge plus du MoMA de New York, sauf pour revenir en Espagne «quand les libertés publiques seraient rétablies». Il est actuellement exposé

lignes du soldat main sont brisés, c’est une sorte de comparaison à la vie du soldat. Ses yeux sont renversés, encore une fois, cela montre la mort. Le démembrement de son corps montre la violence du combat, de la lutte jusqu’à la mort. La fleur qui tient dans sa main symbolise l’espoir, mais c’est un dessin faible et effacé, cela symbolise un espoir qui disparait, et la fragilité de la vie. L’épée brisée montre la défaite et l’inégalité du combat. Tout à droite (femme bras levé, fenêtre et flamme) :

dualité est suggérée par l'opposition ombre/lumière de l'image du taureau. Les lames acérées du croc  de la gueule, des oreilles, suggèrent la violence de l'affrontement. La mère défie au plus près la bête, tête tendue vers le ciel, d'où sont venues les bombes incendiaires. L'allongement et la tension du cou, la bouche et son fin dard, l'œil en forme de larme, expriment le paroxysme de la douleur et de la détresse. La tendresse de ses bras qui enveloppent la frêle victime, la grâce du petit corps inerte

de la cruauté. En dessous du taureau on aperçoit la mère portant son enfant mort, la douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler plus difficile d’accès. Ses yeux en forme de larme, sa langue en forme de couteau, son visage tourné vers le ciel, tout en elle exprime la souffrance et le désarroi. 3 Les choeurs des femmes a droite représente sur le coté droit de la composition, forme un chœur antique, pleurant la liberté

chevaux et le soldat agonissant. Les lames acérées des cornes et les oreilles suggèrent la violence de l'affrontement et symbolise la brutalité l'obscurité via son corps noir. D'un autre coté sa forme enveloppe et protège la mère et son enfant mort dans ses bras. La mère défie la bête, le visage tendu vers le ciel d'où sont venues les bombes. L'allongement et la tension du cou, son cri, l'œil en forme de larme, expriment une douleur et une détresse inimaginable. La tendresse de ses bras qui enveloppent

contact physique: - "j'échauffai ses mains" - "en touchant ses mains" - "le serrement de ses mains" - "des marques d'amour" Présence affirmée; mais contact: M'suffisant et inutile puisque Manon (accablée par la fatigue, froide et tremblante, voix faible => on note description + importante) meurt. b) Une vive transformation d’attitude Des Grieux est incapable de raconter en détail : il s’en excuse auprès de ses auditeurs par deux fois à travers des impératifs de prière (« Pardonnez si

Guernica est une des œuvres les plus célèbres du peintre espagnol Pablo Picasso. Il la réalisa à la suite du bombardement de la ville de Guernica qui eut lieu le 26 avril 1937, lors de la guerre d'Espagne, et qui devint rapidement un symbole de la violence de la répression franquiste avant de se convertir en symbole de l'horreur de la guerre en général. Toile monumentale s'apparentant à un puzzle aux formes démantelées caractéristique du cubisme, elle est initialement commandée pour décorer le pavillon

bombardement a marqué les esprits non seulement à cause de l’ampleur du massacre mais aussi et surtout à cause de la valeur terroriste qui lui a été attribuée, du fait de l’apparente faible valeur stratégique militaire que représentait la ville et de l’énorme disproportion entre les capacités de riposte des défenseurs et la violence de l’attaque. Si il a longtemps été considéré comme le premier raid de l’histoire de l’aviation militaire moderne sur une population civile sans défense, alors que la Légion Condor

Picasso prennent des aspects de plus en plus dramatiques : les corps et les visages sont « triturés et déformés ». Picasso sera même accusé par les nazis et les « staliniens » de donner une image dépravée de la figure humaine, et de l’avilir. Cette violence que l’on pressent chez Picasso fait écho aux évènements de la sombre période de la guerre civile en Espagne. Suite au bombardement meurtrier de Guernica le 26 avril 1937, Pablo Picasso répond à une commande du gouvernement officiel républicain

une forme de célébration de la femme, où l’auteur ne va vanter qu’une seule partie du corps de la femme. Maurice Scève a écrit cinq blasons pour un concours organisé par Marot en 1536, où il développe le front, le sourcil, la gorge, le soupir et la larme. Cette tradition lyrique va perdurer à travers les siècles, jusqu’au XXème siècle, avec notamment Paul Éluard. Mais ce sont surtout les auteurs du XVIème siècle qui ont inspiré Baudelaire dans les écritures de son œuvre Les Fleurs du Mal Baudelaire