La Voie Du Silence

ma pierre, les lectures, les instructions de mon second surveillant, mes activités maçonniques et visites accompagnés dans d’autres Ateliers, et surtout, les échanges avec mon parrain et mes autres frères ont contribué à m’aider à me mettre sur ma voie. J’ai aussi eu le plaisir de vivre plusieurs tenues et ensuite j'ai traversé une période noir et ai été touché par la mort de mes proches. Sur un plan maçonnique j’ai ressenti quelque chose de fort au travers du soutien de la Loge et de mes

relation mère fille laisse légèrement à désirer, je ne lui adresse la parole qu’en cas de nécessité absolue. Elle est très consciente que sa décision me rend malheureuse et respecte mon silence tout en espérant, secrètement, que je tombe amoureuse de notre nouvelle vie. Impossible!!! Je me sens mal de lui imposer ce silence, car notre relation était très bien avant. Il est vrais que nous sommes l’opposé l’une de l’autre, mais cela a toujours été notre façon de se complété. Avec papa toujours absent, nous

jusqu’au développement de troubles du comportement et des symptômes suicidaires. LA VICTIME : STOP AU SILENCE Ce silence laisse la voie libre aux pratiques des agresseurs, qui restent impunis suite à cela. LE SPECTATEUR Si le harcèlement se joue principalement entre l’agresseur et l’agressé, il se maintient car il est soutenu et encouragé par les spectateurs ou cautionné par leur silence. Deux types de spectateurs : • Le spectateur passif : Il ne participe pas directement aux violences

d’un Surveillant en général ? Le surveillant a pour mission la formation maçonnique. Il ne s’agit pas de former un frère, il s’agit de lui communiquer ce qu’il faut pour que lui, il se forme. Le nouveau frère est ainsi amené à s’engager dans la voie initiatique, à s’engager dans une pratique. Le Surveillant, vis-à-vis du nouveau frère, va agir pour qu’il entre dans cette communion. Là aussi en n’imposant pas, mais en suscitant. C’est là le rôle « d’éveilleur » du Surveillant: éveiller le frère

jour/la nuit, abstrait/concret, parole/silence, esprit/émotion, la dualité de l'esprit et du corps. -4- Le nombre deux me fait penser aux jumeaux, j'ai une sœur jumelle dans ma loge, ce fut un merveilleux moment de la découvrir aprés mon initiation. Nous avons vécu une double naissance, vraiment créé des liens fraternels, faits de paroles, de silences, de communion de fous-rires aussi

gardent le silence. Je suis contente d’avoir fait cet accueil ça m’aide dans ma réflexion ce qui me permet de murir sur certains points de la vie. Ce que m’a apporté cette journée c’est une meilleure compréhension de l’empathie envers les personnes en difficulté, une amélioration de la compétence en écriture, le côté relationnel envers les personnes. Je sais que maintenant il faut éviter au mieux les préjugés. Grace à cette seule journée mais très enrichissante j’ai pu voir que la voie sociale

du temps… de l’espace… une conscience… qui invite au voyage… à l’exploration d’une nature… où les choses sont déjà là… toutes créées… En tant que chemin… le corps… nous donne une destination… et l’on découvre… à chaque pas… où l’on va… en tant que voie… le corps nous montre une route… où chaque pas… ramène à soi… pose en soi [pause]. Où que l’on soit… il s’agit d’être là… d’être présent à l’ici … disponible au maintenant… tout en étant… ailleurs et autrement… voguer… de la rive du conscient…

Lecture de la première lettre de Saint Paul apôtre aux Corinthiens (1Co 12,31-13,8) Parmi les dons de Dieu, vous cherchez à obtenir ce qu’il y a de meilleur. Eh bien, je vais vous indiquer une voie supérieure à toutes les autres. J'aurais beau parler toutes les langues de la terre et du ciel, si je n'ai pas la charité, s'il me manque l'amour, je ne suis qu'un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante. J'aurais beau être prophète, avoir toute la science des mystères et toute la connaissance

élèves m’a dit: «Vous connaissiez quelqu’un qui est mort madame?». Oui, comme vous tous. Nous allons en parler. Silence respectueux, attentif, plein Cette classe est d’ordinaire frémissante. Les blagues potaches fusent souvent, la parole est difficile à canaliser. Ils ont toujours quelque chose à dire, en lien ou non avec le cours. Je tape du poing sur la table, souvent, pour avoir le silence, mais ils sont rarement dupes. Ils savent que je rirai trop souvent à leurs blagues pour réellement me fâcher

cour de Néron. Ce dernier, pourtant jaloux de l’amour de Junie par Britannicus, accepte l’entrevue entre ces deux, mais, à la scène 4, il menace Junie en lui disant « sa fortune dépend de vous plus que de moi. Madame, en le voyant, songez que je vous voie. » Cependant, en quoi cette scène est-elle tragique ? I- Une scène à témoin caché a) L’Omniprésence de Néron « Sa puissance » v.712 : adjectif qualificatif désignant Néron « Ces murs peuvent avoir des yeux » : personnification des murs