La Volonté Libre

dissertation : 1ère partie I) Le sentiment immédiat de notre liberté : la théorie du libre arbitre a) Tout homme se juge spontanément libre Dans le langage courant, la liberté renvoie au pouvoir que possède tout homme de n’obéir qu’à lui-même, qu’à sa propre volonté, et d’agir uniquement en fonction de ses désirs, indépendamment de toute contrainte ou de toute pression extérieure. Tout homme se sent donc spontanément libre, tout simplement parce qu’il se croit capable de faire des choix de petite ou

pouvoir le " libre arbitre "), capacité à être le propre principe de ses actions, sans être contraint par rien d’extérieur à nous. Or, on a coutume de parler de la liberté en plusieurs sens, i.e., d’attribuer la caractéristique d’être libre en fonction de considérations différentes. Par exemple, on dit d’un tel qu’il est libre parce qu’il n’est contraint par rien ni personne à agir de telle sorte, i.e., parce qu’il n’est pas esclave ; on dit d’un autre, par exemple, un prisonnier, qu’il est libre de penser

à la raison? La liberté est un terme qui s'applique à beaucoup de choses. On définit généralement "être libre" comme étant le fait de faire "ce que l'on veut". La liberté est l'état d'une personne qui agit sans être contrainte. Spontanément, on définirait la liberté comme l'absence totale de contrainte étrangère ne venant pas de l'individu considéré. Au sens quasi populaire du terme être libre signifie obtenir ce qu'on a voulu. En philosophie la liberté est comme un détachement complet de tout

qui fonctionnerai sur un principe de Libre-Arbitre, un pouvoir de choisir, mais sur le Déterminisme est la volonté . Tout d’abord nous allons défendre un point de vue raccordant la volonté et le déterminisme qui est en principe en contradictions avec la liberté (du début jusqu'à la ligne 3 … liberté), Puis défendre la théorie Que la liberté n’est pas sans condition donc la liberté n’a pas la liberté mais est d’abord baser sur les souhaits, les vœux, la volonté (de « La discussion jusqu'à la fin »)

qui déplaît à d’autres, et cela ne s’appelle pas un état libre. La liberté consiste moins à faire sa volonté qu’à n’être pas soumis à celle d’autrui ; elle consiste encore à ne pas soumettre la volonté d’autrui à la nôtre. Quiconque est maître ne peut être libre, et régner c’est obéir. Vos Magistrats savent cela mieux que personne, eux qui comme Othon 7 n’omettent rien de servile pour commander. Je ne connais de volonté vraiment libre que celle à laquelle nul n’a droit d’opposer de la résistance

Etre libre, est-ce faire ce que l’on veut ? Qu’est-ce qu’être libre ? Il s’agit de l’absence de contraintes. Faire ce que l’on veut ? Cela signifie, agir sous la conduite de nôtre volonté. D’après Descartes, il n’y a rien de mécanique dans les comportements humains donc cela signifie que nous sommes toujours responsable de ce que nous faisons et toutes actions est issu d’une volonté. Selon lui, la volonté, présente seulement chez l’homme, n’est soumise à aucune contraintes et parait donc libre

spontanée, immédiate que l’on se fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous ses désirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre aussi, paradoxalement, l’être humain soumis à de nombreuses contraintes à la fois externes (physiques, sociales

La liberté est-elle une illusion ? I) La liberté est un sentiment immédiat : la thèse du libre arbitre II) La critique déterministe du libre arbitre III) La liberté est à conquérir : de la libération à la quête d’autonomie   Introduction à la dissertation 1) Amorce : Il nous faut partir de ce constat de départ que le sentiment commun et immédiat éprouvé par tout homme est de se sentir libre : en effet, chaque homme peut faire l’expérience, du moins intérieure, d’une liberté de penser et

essentiel à l'existence humaine? Si les philosophes ont attachés autant d'importance à la liberté humaine, c'est qu'elle paraît la validité de la condition et de la morale. Sinon quels fondements pourraient avoir les valeurs morales si l'homme n'était pas libre de donner ou de refuser son consentement au bien ou au mal? Si il était réduit à une simple expression de l'existence, celle-ci n'aurait aucun droit existentiel? Cette question pose le problème de la nécessité de la liberté et de la contingence.

Le concept de libre arbitre a fait l’objet de trois catégories de critiques, l’une théologique (attribuer à l’homme un libre arbitre, n’est-ce pas nier ou du moins, minimiser le rôle de la grâce divine dans l'œuvre du salut ?), l’autre philosophique (le libre arbitre ne revient-il pas à nier l’influence des motifs ou des mobiles qui déterminent nos choix et nos actions ?), et la dernière d'ordre soit psychanalytique (le libre arbitre n'est possible que si l'on est en mesure de dominer son inconscient)