La Vraie Liberté Est De Pouvoir Toute Chose Sur Soi

La SujetsEtre libre, est-ce faire ce qui nous plaît ?Etre libre, est-ce pouvoir choisir ?La liberté réside-t-elle dans la spontanéité ?Suis-je d’autant plus libre que je suis indifférent au jugement d’autrui ?Définitions, conceptsLa liberté s’oppose d’abord à tout ce qui est de l’ordre de la contrainte. Champ conceptuel : être libre c’est ne pas être contraint à, ne pas être forcé de, ne pas dépendre de quelque chose d’extérieur. Cf. rapports maître/ esclave (à l’origine, être libre, c’est ne

que peut-être la démocratie, accordant le pouvoir au peuple ? Dans un premier temps, on pourrait affirmer que la démocratie n’est pas critiquable. Elle est en effet par définition la source de toute légitimité et véhicule des valeurs universelles, telles que les libertés individuelles ou l’égalité. Elle fait ainsi figure de régime idéal, de régime le plus égalitaire possible. Dans une démocratie, le pouvoir est donné au peuple. Est-ce une bonne chose ? On pourrait répondre positivement, du fait

entre une passion et un simple désir ? - La passion a beaucoup de puissance et en général, on n’en connaît qu’une : ce qui la caractérise est l’exclusivité, le passionné ne reconnaît qu’une seule valeur (ex. Pour l’argent, c’est l’avarice ; le pouvoir, c’est l’ambition ; l’amour pour un être plus précis...). Et le passionné dévalorise tout le reste. Lamartine : (poète romantique) « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. » Le désir n’est pas unique, on en connaît plusieurs, parfois le

abstraction de ses instincts afin de s'écarter de toute influence or ce n'est pas le cas.Si l'homme est une machine au même titre que les animaux il serait alors logique qu'il soit doté du premier degré de la conscience : la conscience spontanée qui est aussi le degré le plus bas de la conscience mais l'homme, en réalité ,bénéficie du plus haut degré de la conscience qu'est la conscience réflective et qui lui permet d'avoir conscience de soit sans pour autant pouvoir rejeter les besoins qui constituent sa nature

La liberté est-elle un fardeau ? Un fardeau peut se définir comme quelque chose de lourd ou d’encombrant qui n’est pas agréable à « porter », on souhaite s’en débarrasser, un fardeau peut être autant réel que métaphorique. On peut donc ce demander pourquoi la liberté serait-elle un fardeau ? Cela sous-entendrais qu’elle n’est pas agréable voir insupportable, et qu’on souhaiterait s’en débarrasser. La liberté qu’en a elle est un concept définissant l'état d'une personne ou d'un peuple

raison A. Raison – Fondement des connaissances 1. Développement total – Beaucoup d’expérience 2. Raison vide a. Pas de phénomènes de références b. Pas d’expériences de références 3. Raison présente le monde 4. Rationalistes – Trop de pouvoir à la raison a. Descartes b. Spinoza 5. Problèmes fondamentaux : réponse – Raison a des limites B. Sens – Reconnaître le monde 1. Sens perçoit le monde 2. Empiristes – Limitation aux expériences sensibles a. Locke b. Berkeley

et Dummet, soutiennent que toute recherche sur le concept de vérité resterait vide si elle n’était pas susceptible de nous montrer comment nous pouvons reconnaître la vérité d’un jugement donné. Pour eux, la réponse à apporter à la première question dépend de la prise en considération de l’exigence exprimée par la dernière. Mais que la question concernant la détermination de la nature de la vérité soit considérée comme un « problème », voilà qui a quelque chose de problématique ou de paradoxal

D- La morale par provision de Descartes (Discours de la méthode, Troisième partie)DEUXIÈME MÉDITATIONIntroduction : résumé des Méditations dans le Discours de la méthode, 4e partie : le cogitoI- COMMENTAIRE DE LA DEUXIÈME MÉDITATION.A- Je suis une chose qui penseB- Le morceau de cire (§10 à 18)II- LA NATURE DE LA CONSCIENCE CHEZ DESCARTESIII- RESUME DES MEDITATIONS METAPHYSIQUES (3 et 6)CONCLUSIONEXERCICE : COMMENTAIRE D'UN TEXTE DE DESCARTES | Introduction : l'œuvre et le projet cartésiens  

lecture, XVIIIème siècle. Introduction : François-Marie Arouet : philosophe des Lumières. Pouvoir absolu, Louis XVI, 18ème siècle. Toujours condamné à l’exil. Texte écrit par Voltaire en 1756. Combat liberté individuel. Ecrit pour faire progresser la société. Lutte pour défendre droit de l’homme & fanatisme religieux. Parodie sous forme édit, permet à l’auteur de critiquer ironiquement l’abus de pouvoir, l’obscurantisme et fait l’apologie du siècle des Lumières. Problématique : Comment ce texte

Sujet : « La liberté n’est-elle qu’une illusion ? » Introduction La conscience me donne le sentiment d’être libre. Mais puis-je en déduire qu’elle me démontre que je suis réellement libre ? Non répond le déterminisme : se sentir libre n’est pas être libre. La croyance en notre liberté repose sur une ignorance des causes réelles qui nous font agir. A ce propos, Spinoza affirme dans l’Ethique que « ceux donc qui croient qu’ils parlent ou se taisent ou font quelque action que ce soi,  par un libre