La Vulgarité Du Luxe

de son mari et remporte une « rapide victoire »; Julien devra seulement passer une semaine à Verrières dans la maison du maire. Julien devient la coqueluche des notables de Verrières. Lors d'un dîner chez Valenod où s'étalent le luxe de mauvais goût et la vulgarité, Julien ne peut s'empêcher d'être dégoûté par ces parvenus qu'il compare à la famille de Rênal. Mais dans la ville, l'isolement politique du maire s'accentue au profit de Valenod. Devant la persistance des rumeurs scandaleuses à

perdu l'habitude de l'usage de l'honneur. Car c'est un outil difficile. Si quelque ancien fond naturel les poussait à se servir de ces grandes armes elles échappaient de leurs mains trop faibles. Alors, commença l'utilisation du déshonneur, de la vulgarité collective et de la petitesse. Ils essayèrent de se soulager par la politique, la jonglerie spirituelle, l'esquive des responsabilités. C'était un opium qui s'ajoutait à la morphine; avec de terribles réveils où ils appelaient farouchement la délivrance

Satire des Chats Noir (dont il fait partie) tension ironique car il en fais partie , il en raille la concupiscence, leur matérialisme et leurs tendances sexuelles déviantes. Gongora adore polémiquer , on lui reproche d'introduire du prosaique et des vulgarité en poesie sur un mode sublime ainsi que ses trop grande innovation linguistique : latinisme , italianisme et distortion syntaxique parfois perçus comme hermétique. Il dota pourtant la poésie d'une nouvelle langue , la preuve en est qu'après la production

ton cercueil, aimable pestilence ! Le témoin de ta force et de ta virulence, Cher poison préparé par les anges ! Liqueur Qui me ronge, ô la vie et la mort de mon cœur ! – 72 – XLIX. – Le poison Le vin sait revêtir le plus sordide bouge D’un luxe miraculeux, Et fait surgir plus d’un portique fabuleux Dans l’or de sa vapeur rouge, Comme un soleil couchant dans un ciel nébuleux. L’opium agrandit ce qui n’a pas de bornes, Allonge l’illimité, Approfondit le temps, creuse la volupté, Et de plaisirs

serai ton cercueil, aimable pestilence ! Le témoin de ta force et de ta virulence, Cher poison préparé par les anges ! Liqueur Qui me ronge, ô la vie et la mort de mon cœur ! 42 XLIX. – Le poison Le vin sait revêtir le plus sordide bouge D’un luxe miraculeux, Et fait surgir plus d’un portique fabuleux Dans l’or de sa vapeur rouge, Comme un soleil couchant dans un ciel nébuleux. L’opium agrandit ce qui n’a pas de bornes, Allonge l’illimité, Approfondit le temps, creuse la volupté, Et de plaisirs

serai ton cercueil, aimable pestilence ! Le témoin de ta force et de ta virulence, Cher poison préparé par les anges ! Liqueur Qui me ronge, ô la vie et la mort de mon cœur ! – 72 – XLIX. – Le poison Le vin sait revêtir le plus sordide bouge D’un luxe miraculeux, Et fait surgir plus d’un portique fabuleux Dans l’or de sa vapeur rouge, Comme un soleil couchant dans un ciel nébuleux. L’opium agrandit ce qui n’a pas de bornes, Allonge l’illimité, Approfondit le temps, creuse la volupté, Et de plaisirs

"Pourquoi ne viens-tu pas plus souvent ? Tu me plais beaucoup, mon chéri." Mais déjà il se dégoûtait d'elle, la voyait bête, commune, sentant le peuple. Les femmes, se disait-il, doivent nous apparaître dans un rêve ou dans une auréole de luxe qui poétise leur vulgarité. Elle lui demandait : "Tu es passé l'autre matin avec un beau blond à grande barbe, est-ce ton frère ? - oui, c'est mon frère. - Il est rudement joli garçon. - Tu trouves ? - Mais oui, et puis il a l'air d'un bon vivant." Quel

moment d'oubli. Aux vilenies de l'adversaire, répondez par la froideur hautaine, ou le mot juste prononcé sans courroux ; sans que rien dans la voix ne trahisse votre émotion. Dites posément ce que vous voulez dire, sans vous abaisser jusqu'à la vulgarité des moyens employés contre vous. Celui qui vous outrage sera lui-même forcé de reconnaître votre maîtrise, et ses emportements, ses cris ne serviront qu'à masquer sa défaite. 18 Pour faire son chemin dans la vie Que toutes vos paroles soient

ton cercueil, aimable pestilence ! Le témoin de ta force et de ta virulence, Cher poison préparé par les anges ! liqueur Qui me ronge, ô la vie et la mort de mon cœur ! 90 XLIX. – Le Poison Le vin sait revêtir le plus sordide bouge D’un luxe miraculeux, Et fait surgir plus d’un portique fabuleux Dans l’or de sa vapeur rouge, Comme un soleil couchant dans un ciel nébuleux. L’opium agrandit ce qui n’a pas de bornes, Allonge l’illimité, Approfondit le temps, creuse la volupté, Et de

n’aime qu’elle, et qu’il est avec Rosanette par dépit. Elle fait soudainement irruption dans l’appartement. Elle venait pour demander de l’argent à Arnoux, afin de rembourser Mlle de la Vatnaz. Elle est enceinte de Frédéric. Il ne supporte plus la vulgarité de ses manières. Rosanette a des dettes, et pour les rembourser elle voit d’autres hommes. Frédéric se met dans l’idée de conquérir Mme Dambreuse car il souhaite la « considération bourgeoise ». Il lui fait par de ce qu’il a ressenti avec Mme Arnoux