La Vérité Peut Elle Nous Rendre Heureux

| |L Verbes exprimait «ne réalité |Souhaiter Bouter 11 semble que | |Espérer |Tous les verbes de sentiment | |Se douter |■ Etre heureux que | |Il parait que |Il est possible/ peu probable que | |Il me semble que ; |Il est peu vraisemblable que | |Sentir

étudie avec « connaissance » (l.4). Le champ lexical de la connaissance est très présent dans ce texte, on le trouve à la ligne 1 avec « connaître », puis à la ligne 4 avec « connaissance » et enfin ligne 39 « étudie ». De plus de la ligne 2 à 4 on peut voir une phrase avec un rythme ternaire : « Le philosophe au contraire démêle les causes autant qu’il est en lui, et souvent même les prévient, et se livre à elles avec connaissance ». Ce rythme, caractéristique de l’argumentation, met en avant le

Numéros 1 Sujet : La science peut elle tenir lieu de philosophie ? Tenir lieu de quelque chose signifie que l’on peut remplacer l’objet duquel on parle par un autre, de même équivalence. La science étant elle-même une partie de la recherche du savoir philosophique on peut dire qu’elle y tient un tant soit peut sa place dans la démarche visant à approfondir ses connaissance du cosmos. Ici l’objet serait la philosophie qui est synonyme de recherche du savoir qui ne peut commencer qu’à l’unique condition

dans la durée. Dans cette même ordre d’idée, le Stoïcien Epictète nous encourage, pour atteindre cet état de plénitude à travailler l’imperturbabilité, en changeant les choses qu’on peut et en acceptant celles qu’on ne peut changer .En effet, il vaut mieux admettre ce qui ne dépend pas de soi si on veut être heureux, car on prend conscience que ,d’une part, tout ne dépend pas de nous et d’autre part quand on n’admet pas quelque chose qui est indépendant de soi ,on ne fait du mal qu’à soi-même.

LA PHILOSOPHIE PEUT-ELLE S’ACCORDER AVEC LA RELIGION ? Philosophie et religion se présentent comme deux entreprises humaines orientées vers les mêmes objets, la même fin, répondant toutes deux à un même souci. Nous pouvons en effet déceler dans ces deux phénomènes humains la quête d’un sens, d’une vérité éternelle et absolue permettant de définir l’essence et le sens de tout ce qui existe; de comprendre la nature profonde de l’être dans son universalité. Ceci dit, philosophie et religion n’empruntent

l’autre Avantages illusion = agréable + maintient forme d’espérance, entretient ressort de l’action Inconvénients = perdre sens des réalités + pas courage de regarder vérité en face + impuissance, on ne peut améliorer la réalité qu’on ne voit pas Avantages lucidité = courage, dignité + sens des réalités + possibilité d’action, on peut améliorer réalité Inconvénients = Forme de souffrance c. Le choix de l’illusion : Matrix, Baudelaire d. Les motifs du choix On pose plaisir comme principe

s’est écoulée dans les plaisirs et dans l’indolence, sans que rien d’utile en ait marqué l’emploi, le dernier, l’inévitable moment vient enfin nous presser : et cette vie que nous n’avions pas vue marcher, nous sentons qu’elle, est passée. Voilà la vérité : nous n’avons point reçu une vie courte, c’est nous qui l’avons rendue telle : nous ne sommes pas indigents, mais prodigues. D’immenses, de royales richesses, échues à un maître vicieux, sont dissipées en un instant, tandis qu’une fortune modique

Selon Albert Camus dans son roman « La Chute » (1956) : « La vérité comme la lumière, aveugle. Le mensonge au contraire est un beau crépuscule qui met chaque objet en valeur ». Dans cette citation, Albert Camus, grand écrivain et philosophe Français du 20ème siècle introduit en opposition le concept de vérité et de mensonge En effet, la vérité est ici présenter comme quelque chose d’extrêmement désagréable, c’est à dire qu’elle serait tellement lumineuse que par conséquent celle ci rendrait

qui nous est donnée de Caius est loin d’être positive. Tandis que dans la version d’Albert Camus même si ce que l’on peut percevoir comme de la folie et en effet fortement mis en relief, certains passages nous font paraître Caligula comme un homme perdu et seul ce qui entraîne notre pitié. Caius nous paraît donc beaucoup moins cruel. Tel dans l’acte I, scène XI : « Je sortirai peut-être de là. Mais je sens monter en moi des êtres sans nom. Que ferais-je contre eux ? » Dans cet extrait de Caligula

de la nature. Et que de ce que lui paraîtra ce petit cachot, où il se trouve logé, c'est-à-dire ce monde visible, il apprenne à estimer la terre, les royaumes, les villes, et soi-même son juste prix. Qu'est-ce qu'un homme dans l'infini ? Qui le peut comprendre ? Mais pour lui présenter un autre prodige aussi étonnant, qu'il recherche dans ce qu'il connaît les choses les plus délicates. Qu'un ciron, par exemple, lui offre dans la petitesse de son corps des parties incomparablement plus petites