La Vérité Peut Elle Nuire

limites. Dans le langage courant, le mensonge est une affirmation contraire à la vérité, faite avec l’intention de tromper comme nous le montre l’interview de Gilbert Maurey dans le magazine du Nouvel Observateur de 1998 « Le mensonge structure de l’enfant » où il est dit que «la parole peut être trompeuse». Le mensonge, tout le monde y a eu recours un jour ou l’autre, par besoin, par nécessité ou pour ne pas “avouer” une vérité. Pour Molière, dans sa pièce de théâtre «  Le Misanthrope » de 1666, le mensonge

je l’estime le plus profitable pour le bien général […] Il faut garder secret dans l’intérêt public […] il faut que rien… pas un seul mot, ne parvienne à la connaissance des gens dans cette fâcheuse affaire. » Et « L’ennemi le plus dangereux de la vérité et de la liberté parmi nous, c’est la majorité compacte. Oui, cette maudite majorité libérale compacte,… c’est elle! (p.367) » On comprend facilement ici que ces gens disent dirriger pour le mieux, car la masse de gens n’en seraient pas capable, que

religions prescrivent un comportement c’est qu’elles prétendent posséder une vérité transcendante (parole de Dieu). Seul le représentant de Dieu sur terre peut avoir accès à cette vérité. Cette vérité s’appelle le dogme comme ont les sectes. Le dogme ne peut pas être remis en cause puisque par définition il existe des vérités transcendantes qui ne sont pas accessibles au profane (laïc), on parle de vérités dogmatiques (vérité qui n’est pas prouvée et démontrée mais affirmée par l’autorité d’une religion

La vérité est-elle toujours bonne à dire? I: Introduction 1) Accroche: lapin: «la souris dit la vérité»(10) souris:«le lapin ment» 2) Contextualisation: -définition vérité -définition de mensonge (par omission,...) -différents sens de bon/ne 3) Problématique: Dans quelles circonstances est-il préférable de dire la vérité ou de mentir ? 4) Annonce du plan: dialectique II: Corps 1) thèse: mentir a des conséquences irréversibles et entraîne souvent une perte de confiance

n’avait pas agi de mauvaise foi, malice, ou intention de nuire en omettant volontairement de citer l’oeuvre et le nom du savant décédé. Que par conséquent sa responsabilité ne pouvait être engagée pour réparer le préjudice résultant de l’omission. Les consorts, requérants, se pourvoient en cassation. Des lors, la question posée à la cour de cassation est de savoir si l'abstention, même non dictée par la malice et l'intention de nuire, engage-t-elle la responsabilité de son auteur lorsque le

mensonge est un manque de respect. Problématique : Le mensonge est-il toujours une faute morale ? Le mensonge ne s’oppose pas à la vérité. La vérité s’oppose à la fausseté, au faux, à l’erreur. Mentir c’est déformer la réalité, inventer des choses volontairement. I) Il ne faut jamais mentir. La nécessité de dire la vérité est au fondement de notre société. Dire la vérité instaure une relation de confiance. Kant dit qu’il ne faut jamais mentir, les jurisconsultes disent que le mensonge qui nuit à personne

pages, inconsciemment ou non, des éléments qui s’écartent du cours réel des choses. Cependant, il y a eu et il y a encore de nos jours de multiples tentatives pour se rapprocher au mieux du réel en littérature… Plan : I- La réécriture du réel peut nuire à l’authenticité du témoignage A) Le témoignage sur les autres s’avère souvent ne pas être authentique B) Il est impossible de parler de soi en termes objectifs C) Moi passé / Moi présent D) Une manipulation de l’Histoire

par la connaissance du vrai, liée à la volonté délibérée de cacher cette vérité et d’abuser de l’autre. Le mensonge s’oppose alors à la véracité. Bien que le caractère de devoir de la véracité ne puisse être contesté, pouvons-nous pour autant dire que le mensonge est toujours condamnable ? Rien n’est moins sûr dès lors que l’on distingue les différents motifs de dissimuler la vérité. Si le mensonge peut nuire à autrui, ne peut-il parfois considérer son intérêt, ou encore vouloir épargner sa souffrance

atteindre ce sommet, le savoir absolu et arriver à être heureux du plus profond de notre être. Notre savoir peut se diviser en deux savoirs : les savoirs sensibles (qu'on identifie par les sens) et les savoirs rationnels (qu'on identifie grâce à l'expérience). Mais il ne faut pas oublier que lui aussi, comme Platon et Socrate, il utilise la morale et la connaissance pour arriver à ces fins. On peut aussi comparer sa philosophie à une maïeutique ; l'art d'accoucher des idées. Une maïeutique est une méthode

correctement la conclusion. Ceci est en contradiction avec la rationalité, mais sert la politique. Or, Socrate considère que persuader n'est pas convaincre rationnellement, il prône la  recherche d'une vérité universelle. La démocratie privilégie la persuasion aux dépens de la vérité du raisonnement ; la politique peut se vendre et la parole publique se monnayer quand la rhétorique oriente la politique à coup de démagogie. La méthode socratique gêne les personnages influents de l'époque dont la réputation