La Vérité Religieuse

en communs avec les sophistes, ce dernier n’était pas un sophiste .D’abord, parce qu’il était à la quête de la vérité contrairement aux sophistes qui n’avait qu’une efficacité persuasive. Puis, j’expliquerais que Socrate contrairement aux sophistes ne prétendait pas avoir le savoir. Premièrement, Socrate au cours de sa vie a toujours prit comme quête première la recherche de la vérité, il était prêt a défendre ses idées jusqu’au bout et pour Socrate valait mieux être seul contre tous que de rentrer

hypothèses contredîtes par l’expérience ou qui prétendraient être vraies en dehors de toute expérience possible et mauvais des préjugés intolérants qui justifieraient la violence et la domination de l’homme par l’homme au nom même du respect de la vérité et du bien universels raisonnables. Comment sortir de cette contradiction apparente ? Toutes les opinions se valent-elles ? Sont-elles toutes également  respectables, même celles qui récusent la notion de respect de l’autre ? Disposons-nous, et dans

notamment par rapport au monde Occidental, dans lequel elle semble régresser, face au culte nouveau de la modernité. C'est alors dans cette optique que nous pourrons nous demander : la tradition à l'heure d'aujourd'hui : source d'obstacles ou de vérité ? Question à la lueur de laquelle nous considérerons dans un premier temps les aspects polymorphes de la tradition ; puis ce qui nous permet de la remettre en cause ; et enfin ce qui légitimiste sa pérennité . La tradition évoque diverses notions

et la valeur d'une expression. Lorsqu'on dit " A chacun sa vérité ", on considère que la vérité est relative à chaque individu et qu'elle ne possède aucune dimension universelle. Vous remarquerez qu'on emploie cette expression bien souvent à la suite d'une discussion dans laquelle nous ne parvenons à aucun accord considérant alors que ce que chacun pense se vaut. Demandez-vous alors si une telle attitude ne conduit pas à identifier la vérité à l'opinion. Que nous ayons des opinions différentes est

un tel pouvoir politique. Par contre, cela n’arrêtera aucunement certains philosophes, scientifiques et écrivains de publier leurs opinions controversées. Ces « rebelles » ressentaient une obligation de vocaliser leurs opinions versus l’autorité religieuse pour éduquer leur société. Ce mouvement de révolution spirituelle a débuté avec le réformateur religieux allemand, Martin Luther (1483-1546). Il s’oppose à plusieurs pratiques de l’Église, dont la vente des Indulgences (une façon de soudoyer le

consacra surtout à des publications «philosophiques» ou rhétoriques (De l'art de persuader, De l'esprit géométrique) et religieuses (Écrits sur la grâce, Écrits des curés de Paris). En 1659, Pascal, dont la santé n'a jamais été bonne, tombe sérieusement malade. Il mourut le 19 août 1662, ses sœurs, en 1661 et 1687. Malade toute sa vie, Pascal ne cessa jamais de conjuguer réflexion religieuse et science expérimentale, se penchant sur des questions très concrètes aussi bien que sur des questions mystiques

idéal de vie. L’opium est une préparation psychotrope obtenue à partir du latex du pavot somnifère. Ses effets provoquent notamment une somnolence chez le consommateur. La religion pose le problème de la croyance. Croire c’est attacher une valeur de vérité, ajouter foi à ce que dit une personne; tenir quelqu'un pour sincère, pour véridique; estimer vraies ses paroles. C’est d’avoir des opinions contre quelque chose et de les tenir vraies. Cependant ne faut-il pas juger la croyance comme simple illusion 

de la signification concernant la vérité des croyances des autres religions, Voltaire met en scène des personnages représentatifs de plusieurs religions, qui commencent à se disputer. Chaque personnage défend la verité de sa religion, mais les preuves qu’ils emploient ne portent aucune signification, puisqu’ils sont tous superstitieuses. En plus, Voltaire se concentre sur l’absurdité de l’haine contre les autres religions qui devient la fanaticisme religieuse, et qui provoque les guerres à cause

chacun, sa foi religieuse est sacrée; il devrait en être| |par conséquent de même pour toi. | PHILALÈTHE |Je nie la conséquence ! Je ne vois pas pourquoi je devrais, en raison de l'ingénuité d'autrui, respecter le mensonge et la | |tromperie. En tout lieu je respecte la vérité, mais non, pour cette raison précise, ce qui lui est contraire. Jamais sur terre | |ne brillera la vérité aussi longtemps

Ou bien elle n'est pas une chose relative? Il s'agit d'une question insidieuse." [...] "Alors, si c'est comme ça, tout est permis ?"» La loi morale semble, au moins dans la tradition judéo-chrétienne, s’annoncer d’abord sous la forme de la loi religieuse. Le Décalogue est le modèle de cette conception : la loi s’impose à tous parce qu’elle n’a pas une origine humaine. Et cette transcendance est nécessaire pour que la loi puisse s’imposer car, sans cela, les hommes n’auraient aucune raison de l’adopter