Lady Macbeth

de quoi Macbeth est-il visiblement une allégorie ? Du mal ? impossibilité de réduire le personnage si complexe à une seule figure, à une idée générale nécessité de lire l’œuvre en additionnant les hypothèses interprétatives – du mal au Mal ; du Mal au libre arbitre ; du libre arbitre à l’action historique ; de l’action historique à la trahison d’autrui et de soi-même ; de la trahison à la folie (réservée aux plus fous d’entre nous) ou à l’aliénation (que nous subissons tous) De quoi Macbeth est-il

du Bien et du Mal, tout en les précipitant hors du jardin d’Eden. Dans Macbeth, les trois sorcières maléfiques aux ordres d’Hécate soumettent Macbeth, au moyen de leurs prophéties, à une tentation diabolique à laquelle il cède et à cause de laquelle il devient un criminel et un tyran, (c’est-à-dire la figure politique du Mal), qui fait régner la terreur. Or, deuxième point, les œuvres proprement littéraires du programme (Macbeth et Les âmes fortes) ne se réfèrent à ce dualisme que pour le questionner

| | | | |Macbeth : Shakespeare |Profession de foi du vicaire savoyard : J.J Rousseau |Les âmes fortes : J.Giono | |1- Le point de vue générique | |

UBU ROI, Jarry SOMMAIRE: {text:soft-page-break} I] Présentation Jarry II] Personnages du livre III] Résumé du livre IV] Histoire de la Pièce A) Ubu Roi B) Macbeth, Shakespeare. V] Les thèmes {text:soft-page-break} I] Présentation Jarry En 1888, sa mère s’installe avec ses deux enfants à Rennes. Jarry entre en rhétorique au lycée de Rennes en octobre 1888. Au lycée de Rennes, M. Hébert, professeur de physique, incarne aux yeux de ses élèves « tout le grotesque qui

Macbeth: Serpentine Imagery The snake has long been used as a symbol of sly subtlety. A serpent’s presence has been characterized by cunning cynicism dating as far back as biblical times, when the snake persuaded Eve to eat the forbidden fruit of Eden’s garden. Even the phrase “snake in the grass” expresses latency. Shakespeare uses this treacherous reptile in Macbeth to convey the same evil. In his poetic prose, Shakespeare may not speak of a character’s malevolence directly; rather, he alludes

l'homme ? Au lieu d'être un allié, le mal peut être au contraire pensé comme ennemi juré de l'homme, comme une force destructrice et malfaisante. Alors, le mal : allié ou ennemi ? (Annonce du plan .) Nous nous appuierons sur la tragédie shakespearienne Macbeth, sur la Profession de foi du vicaire savoyard du philosophe des Lumières Rousseau ainsi que sur le roman de Giono intitulé Les Ames fortes, afin de montrer tout d'abord que le mal se révèle nocif et dangereux (I) mais que, paradoxalement, il peut

Comte et Bazile. Chérubin et Le Comte se cachent derrière et sur le fauteuil au centre de la pièce. Sans la représentation, ce passage est assez confus. De plus, on peut aussi prendre l'exemple du monologue de Lady MacBeth dans la pièce de Shakespeare. Ce monologue est très prenant, Lady MacBeth est a ce moment somnambule, et totalement perturbée, avec la représentation, on peut ainsi voir la détresse sur son visage, chose qui n'est pas possible lors d'une simple lecture de ce monologue. A partir de

Macbeth, 1623 1) L’auteur : -Né le 23 avril 1564 et mort le 23 avril 1616 à Stratford-upon-Avon dans le Royaume d’Angleterre, William Shakespeare était un poète et dramaturge Anglais qui appartenait au théâtre élisabéthain et qui avait pour genre littéraire la comédie, la tragédie et l’historique. Il demeure l'un des plus grands auteurs de l'histoire du théâtre. Il est réputé pour sa maîtrise des formes poétiques et littéraires ; sa capacité à représenter les aspects de la nature humaine est souvent

plus souvent que l’amour sup-­‐ pose le souci de l’autre, son épanouissement semble la condiHon de notre bonheur ; Macbeth : Macduff est anéanH par la nouvelle de la mort de sa famille, qu’il aime et qu’il n’a pas pu sauver des mains du tyran -­‐ c’est pourtant le principe même de l’amour, comme le remarque Lady Macduff : le roitelet même combat pour ses enfants ; Les Âmes fortes : Pour M. Numance « vivre c’était donner parce

aussi il a essayé de créer une réelle ambiguïté en renonçant à produire une image unique clairement interprétable. On en déduit que le mal relève à la fois d'une réalité et d'un imaginaire. * L'image du meurtre et du sang : le crime perpétré par Macbeth et sa femme est particulièrement odieux comme il le rappelle lui même dans son monologue de la scène 7 acte 1 : non seulement ils se montrent ingrats e tuant un roi bon mais e outre ils tuent leur hôte qu'il se croit en sécurité chez eux. Shakspear