Lamartine Tristesse

leur petite maison de campagne d'un pas plutôt rapide, de peur d'être surprises par l'approche de la nuit. Durant le retour, Rose ne cessait de pleurer et de sangloter : « mon pauvre Pierrot, mon Pauvre Pierrot », répétait-elle à voix basse. La tristesse la paralysant peu à peu, elle ralentissait sa marche au fur et à mesure des pas qu'elle faisait, donnant de plus en plus d'avance à Mme Lefèvre. Celle-ci grognait plus qu'elle pleurait. Elle marmonnait : « quatre francs, quatre francs. Il est fou 

peut entrainer une inhibition de la pensée et prépare l'individu à fuir ou à se défendre. Certains psychologues tels que John B. Watson, Robert Plutchik et Paul Ekman ont suggéré que la peur était créée par un flux d'émotions incluant la joie, la tristesse et la colère. La peur devrait être distinguée de l'état d'anxiété. Par ailleurs, la peur est générée par les comportements spécifiques de l'évitement et de la fuite, alors que l'anxiété est le résultat de menaces perçues comme étant incontrôlables

3 et 4 p 12) : a) Définition : Les émotions sont des réactions physiques et/ou mentales liées à une situation vécue positivement ou négativement par l’individu. b) Les différentes émotions : On distingue six émotions fondamentales : la peur, la tristesse, le dégoût, la joie, la colère et la surprise. c) Le rôle des émotions dans l’organisation : Une émotion est ressentie avec plus ou moins d’intensité en fonction de la personnalité de l’individu et des circonstances qui l’ont déclenchée. Les émotions

 La bataille de Verdun faisait rage , rien ne pouvait arrêter les français qui acharner, continuais à débarquer dans les tranchées adverse malgré les trous d'obus qui les empêchait de marcher droit . Le bruit des obus qui atterrissait à quelques mettre de lui ne le déstabilisa pas un seul instant . François n'était pourtant le plus courageux de tous les soldats comme lui répétait sans cesse le chef de son régiment "si tous les soldats était comme cette fillette de François vl a qu'on serais mal

acquises ainsi que de la réalité externe. La capacité de penser est ce qui nous différencie de l’animal. En effet, à ce que j’ai compris, les animaux ont des sentiments, ils peuvent sentir la douleur comme les êtres humains, ils peuvent sentir de la tristesse ainsi que de la joie, par contre, à ce que vous dites, il y a une grande différence entre les animaux et l’homme. Cette différence est la raison. Seulement l’être humain est capable d’avoir un jugement envers ses actions tandis que l’animal va agir

sentiment de danger imminent. Elle peut entraîner une inhibition de la pensée et prépare l'individu à fuir ou à se défendre. Selon certains psychologues tels que John B. Watson et Paul Ekman, la peur est créée par un flux d'émotions, dont la joie, la tristesse et la colère. La peur devrait être distinguée de l'état d'anxiété. Par ailleurs, la peur est générée par les comportements spécifiques de l'évitement et de la fuite, alors que l'anxiété est le résultat de menaces perçues comme étant incontrôlables

des animaux en pagailles....). Un jour, sur un banc, il rencontre un homme du même age( perdu sa femme, il y a deux mois d'une fièvre et elle travaillait au parc en face, comme directrice de manège, il est gros, aimable, mélange de joie et de tristesse dans ses yeux en lui même mais il est triste). Même si il ne comprend pas la langue, il aime la voix de l'homme, il ne voit pas les reproches et ce qu'il ne veut pas entendre. Ils ont discussion particulière car l'homme parle et Linh essaye de comprendre

avec Pragerstrasse sont :Les journaux écrits en Allemands au dessus des 3 Hommes. Ces hommes sont défigurés et mutilés comme les personnages qui se trouvent dans Pragerstrasse. Un des hommes a une main en bois. Ce tableau exprime également de la tristesse car ce sont les conséquences de la guerre. Cette œuvre a été qualifié de dégénéré par les nazis elle était trop réaliste. Les différences entres ces deux tableaux sont que les personnages ont l’air d’avoir gardés la joie de vivre. Les personnages

discours plus direct. Le poète, Arthur Rimbaud, fait appel au registre lyrique : « (…) dans l’été, dans l’herbe, dans ta joie Nature ! » (vv.7-8) pour exprimer ce qu’il ressent dans la première partie. Il exprime plus particulièrement sa douleur, sa tristesse pour les victimes de ce carnage à l’aide du registre pathétique, avec l’utilisation d’exclamations « pauvres morts » (v.7) ou encore d’interjections comme « ô » (v.8). Le poète évoque la nature qui fit les hommes « saintement » (v.8). La nature

| | | |A2 |- peut prendre part à une discussion formelle courante sur un sujet familier conduite dans une langue standard. |X | | |B1 |- peut réagir à des sentiments tels que la surprise, la joie, la tristesse, la curiosité et |X | | | |l’indifférence et peut les exprimer | | | | |S’EXPRIMER