Langues mayas

Comme les Romains ou les Mayas avant nous, notre civilisation moderne et industrielle pourrait bien être condamnée à disparaître. C’est ce qu’assure une étude du Centre de vols spatiaux Goddard de la Nasa, rapportée par The Guardian. Ce n’est pas la première fois que l’on prédit la fin du monde. Mais cette fois-ci, ce sont des scientifiques qui avancent l’effondrement de la «civilisation industrialisée». La Radio Télévision Belge (RTBF) appuie en outre la «crédibilité» de cette étude sur le fait

crées; des symboles utilisés pour regrouper des bâtons, les chiffres romains, les caractères égyptiens. Mais la véritable avancée fut l'attribution au même symbole différentes valeurs en fonction de son emplacement. Une invention des Babyloniens et des Mayas. Il est aussi possible que ce fut le cas pour les Chinois et les Indiens. C'est la numération que nous employons encore aujourd'hui: le chiffre 1 ,vaut 100 dans 125 et 1 dans 31. Quelques millénaires après, il apparaît dans ces civilisation un besoin

habitants de la Terre ont construit quatre grandes civilisations soit l’Atlantide, Lémurie, Mieyhun et Mu. Ce serait les Itzas* qui auraient apporté les crânes avec eux. Ils ont gardé les précieux objets dans une pyramide gardé par les Olmèques, les Mayas et finalement les Aztèques. Ces derniers seraient à l’origine de la dispersion et de la perte de certains des crânes. Une version de la légende maya racontait qu’il fallait aligner les treize crânes de cristal lors du dernier jour du calendrier maya

ambassadrice de bonne volonté auprès de l'ONU. Elle est membre honoraire du Club de Rome[2]. En 2007 et 2011, elle est candidate à l'élection présidentielle de son pays. Elle a créé le mouvement WINAQ, plateforme regroupant de nombreux mouvements mayas de tout le pays et reçoit le soutien moral et logistique du MAS, parti bolivien qui a amené à la victoire Evo Morales ainsi que le soutien personnel du 1er président indigène. Néanmoins, elle est éliminée dès le 1er tour, ne recueillant que 3 % des

avant JC, la baisse du niveau de la mer permet aux hommes préhistoriques sans doute venus d’Asie de s’installer en Amérique en passant par le détroit de Béring émergé. Les premières traces d’installation au Mexique datent de 20000 ans avant JC. Les mayas apparaissent vers 500 avant JC. Après leur déclin apparaît le grand empire Aztèque vers 1300 après JC. Christophe Colomb découvre le nouveau monde en 1492. Après plusieurs conquistadors, Hernan Cortès arrive de Cuba à Véra Cruz en 1519 avec 10 navires

Religieux et langues indigènes: le cas du nahuatl En découvrant les terres sud-américaines, les conquistadores espagnols découvrent plus que des nouveaux territoires, mais aussi de nouveaux peuples, des cultures, des coutumes, des religions et aussi des langues inconnues. En effet, plusieurs civilisations étaient déjà établies et chacune s'était constitué une culture propre à elle-même. Il existe un nombre incroyable de famille de langues et de langues différentes en Amérique Centrale et en Amérique

EXPOSE LES CITES PERDUES DES MAYAS Introduction Le livre que j’ai choisi de vous présenter s’intitule Les cités perdues de Mayas de Claude Baudez et Sydney Picasso. Claude Baudez a été directeur de recherche au CNRS et archéologue, Sydney Picasso est photographe et elle également travaillé au CNRS dans le cadre d’un programme sur l’art rupestre (art pratiqué sur la pierre, dans les cavernes et sur les roches extérieures) d’Amérique du Sud. Ce livre retrace les découvertes de la civilisation

L'écriture des mayas était gravés sur de la pierre. Pour l'écriture mérovingienne et gothique on utilisait une plume ou un pinceau qu'on trempée dans de l'encre Gutemberg utilisa pour les premiers livres imprimés un système de moules qu'il imbibés d'encre et qu'il plaquait sur une feuille. Le stylo à bille fait partie de ces objets courants qui ont révolutionné notre quotidien. Aujourd'hui encore, cet objet pratique et peu coûteux permet d’écrire dans toutes les langues du monde et dans tous

« luna ». Cependant les quatre nasales du français n'existent pas en espagnol et représentent pour les apprenants une difficulté particulière. En effet, le crible phonologique de leur langue complique la perception de ces nouveaux sons. Le [y] est aussi compliqué et le lien graphie-phonie établie dans leur langue maternelle les pousse souvent à prononcer cette voyelle comme le [u] qui leur est familier. J'ai aussi pu constater au cours de nos conversations qu'ils ajoutaient parfois un [ɔ] à la

d’humains, ayant pour seul défaut, la couleur de leur peau. Noir, oui noir, telle est l’origine de cette histoire, telle est la couleur qui a poussé à tant d’atrocités… Au départ, ils étaient différents, d’horizons différents, de vécus différents, de langues différentes, mais au fur et à mesure avaient obtenu un point commun : leur mise en esclavage. Il existait cependant des exceptions, des êtres forts, refusant cette idée d’appartenir à quelqu’un, des êtres tels ces quatorze femmes. L’ouvrage en