Langues occitano-romanes

Publicacions de la Universitat de València, 2006, 615 pàgs [Rezension). In: Revue de linguistique romane 72 2008, 285-286, 239-243 Casanova, Emili: Lèxic i cultura popular : la creació lèxica dels colombaires valencians entre el segle XVIII i el XX. In: Zeitschrift für Katalanistik 18 2005, 93-113 Colón, Germán: "flamenc", "flamenco", "fiamingo" 'Phoenicopterus ruber'. In: Revue de linguistique romane 68 2004, 271-272, 321-334 Colón, Germán: Coromines i l'estudi del català. In: Zeitschrift für Katalanistik

Le terme français « Dieu » et ses équivalents dans les autres langues romanes (Dio, Dios, etc.) viennent du latin deus, lui-même issu de la racine indo-européenne reconstituée *deiwos[3]. Cette racine signifie « lumière du ciel ou du jour » et provient de la base linguistique dei-, « luire, briller »[4],[5]. On la retrouve dans le mot grec « Θεός » (Theόs) et dans le nom du dieu Zeus. Ce mot « Θεός » est lui-même soumis à de multiples flexions ou variantes dialectales [6], tout comme le nom « Zeus

e français est une langue romane. Sa grammaire et la plus grande partie de son vocabulaire sont issues des formes orales et populaires du latin, telles que l’usage les a transformées depuis l’époque de la Gaule romaine. Les Serments de Strasbourg, qui scellent en 842 l’alliance entre Charles le Chauve et Louis le Germanique, rédigés en langue romane et en langue germanique, sont considérés comme le plus ancien document écrit en français. Au Moyen Âge, la langue française est faite d’une multitude

de la langue française Généralités : ❖ 3 à 4 mille langues dans le monde ❖ Le français et l’anglais sont des langues parlées dans tous les continents du monde. ❖ Le français est la 11e langue pratiquée dans le monde ( elle est donc utilisée par beaucoup de monde. ❖ Le français est une langue romane (Romanus, a, um= romain) Elle est dérivée du latin au même titre que l’italien, le roumain et l’espagnol ( il y a donc beaucoup de similitudes entre ces langues.

La langue française est une langue indo-européenne, comme l’allemand, l’anglais ou le russe. Mais c’est une langue romane, venu du latin (c’est-a-dire du latin populaire), comme l’italien, l’espagnol, le portugais, le roumanien etc. Jusqu’au IX siecle, le gaulois et le franc a participer au developpement lexical de la langue francaise. Mais la langue a qui le francais a emprunte le plus grand nombre de mots est le latin vulgaire (la langue commune de l’Empire romain). Ces trois langues sont

I. PRÉAMBULE Ce phénomène affecte parmi les langues romanes le français et le portugais, et parmi les langues celtes le breton. En français, il touche toutes les voyelles sauf le [], lorsqu'elles sont suivies d'une des trois consonnes nasales [m], [n], []. Ce phénomène se passe du XIème au XVème siècle. Au XVème siècle toutes les voyelles sont nasalisées. II. PROCESSUS DE NASALISATION A. AVANT LA NASALISATION Au VIIème siècle, les voyelles suivies d’une consonne nasale ont tendance

origines du roman : du Moyen Age à la Renaissance Si certains font remonter le roman à l’Antiquité grecque et latine (Le Satiricon de Pétrone, L’Ane d’or d’Apulée), les origines du roman coïncident surtout avec l’abandon progressif du latin et de l’épopée (poème qui célèbre un héros et des faits guerriers). a) Un terme linguistique Le roman désigne à l’origine un récit en la langue vulgaire, c’est-à-dire la langue utilisée pour communiquer à l’oral par opposition au latin classique, langue savante

couramment ; tandis que le gallo est parlé en Haute-Bretagne, où le breton ne s'est jamais imposé. Le breton est une langue très proche du gallois. Le gallo est quant à lui une langue romane de la famille des langues d’oïl, mais possédant quelques similitudes de vocabulaire et de prononciation avec la langue bretonne. Depuis la seconde moitié du XXème siècle, le français s'est imposé comme langue maternelle des Bretons. La Bretagne et les Bretons sont considérés comme l’une des six nations celtiques. Le

l'on nomme « province » au Canada ou encore « états » aux Etats Unis. Il existe 17 communautés autonomes réparties sur tout le territoire, parmi celles-ci 13 utilisent le castillan qui est la langue officielle de l'Etat et la langue habituelle de la majeure partie des habitants du pays, en effet c'est la langue maternelle de 72, 8 % de la population. Les 27% restant utilise d'autres dialectes comme le galicien, le basque, le tsigane ou encore le catalan. Ce dernier est utilisé par environ 10 millions

3-4). En français classique la structure bipartite s’est finalement imposée, et au XVIIIe siècle elle a été définie comme norme grammaticale par l’Académie française. Dauzat s’explique ce développement du ne de la façon suivante : Toutes les langues romanes ont éprouvé le besoin de renforcer la négation qui accompagne le verbe ; mais c’est en français que cette tendance s’est développée au maximum, surtout parce que non, atone, s’était affaibli en nen, puis ne, n’, particule phonétique trop faible