Langueux

L'expression du « mal d'amour » A- Les symptômes de sa maladie : - Champs lexicale de la maladie : « me nuit », « souffrir beaucoup de mal », « pleurer », « une langueur extrême », « fièvre », « mon mal », « furieux », « mon mal est fatal », « muette ». - Différents stades contradictoires de la maladies : « front joyeux »/ « langueur extrême », « chaud »/ «froid », « me taire »/ «crier merci », « dit »/ « muette » → Antithèses. - Procédés d'amplification : Gravité de ce mal : « mal » 3fois (v

en adéquation avec ses émotions et "le chant de la pluie" semble en écho avec la peine qui le submerge. Le poète emploie aussi beaucoup le "!" et le "?" pour souligner l'intensité de ses émotions et de son questionnement. Il s'interroge sur cette "langueur", cette nostalgie qui pourrait se traduire en anglais par "spleen". Lisez donc, à la suite, "Spleen" qui insiste dès le premier distique sur la sensation visuelle : ce sont les couleurs qui prédomine comme dans un tableau "rouge, noir, bleu, vertes"

Verlaine : En effet, les mots : «langueur », « deuil » et « peine » représentent la tristesse, mais un sentiment paradoxal est partagé avec les points d'exlamations qui évoque un certain plaisir. Yanna : Nous retrouvons régulièrement dans les vers de votre recueil, des

blèsement le poème imite le voayage de l’eau dans la Seine. D’autre part on voit la répetition du son [ou] et [on] qui symbolise la langueur et l’ennui du poète. Cela rappele au sentiment du « mal de siècle » des romantiques. La strophe qui resume tout le poème serait la troixième car elle affirme que l’amour s’en va. Mais s’en va comme l’eau et lentement comme la langueur de la vie. Içi, le mot « Espérance » est écrit en majuscule et personifiée «  Espérance violente » car l’auteur montre cela comme

Commentaire Il pleure dans mon cœur Paul VERLAINE   (1844-1896) Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits !  Pour un coeur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine

« Chanson d'automne » in Poèmes Saturniens, Verlaine Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte De-cà, de-là, Pareil à la Feuille morte. Si Verlaine se déclare saturnien, né sous une « Influence maligne », ce n’est point par jeu. En effet, il boit, peut être pour échapper à

brièveté. En effet le poème, comme indiqué par son titre, apparaît comme une chanson. Il est composé de trois sizains de quatre pieds à chaque vers. Le rythme est donc régulier et monotone comme accentué au dernier vers de la première strophe, « D’une langueur/ monotone. ». Les vers courts participent à ce que les lecteurs reconnaissent ce poème comme une chanson. Verlaine effectue une recherche de sonorités en employant une majorité de consonnes adoucies comme « l », « m » ou « n » dans la première strophe

diphtongue pour former deux syllabes Ex  : Les sanglots longs Des v io lons De l’automne Blessent mon cœur D’une langueur Monotone . Mon paletot aussi devenait id éa l . Verlaine La diérèse de violon semble prolonger l’écho de la musique.La synérèse est l’association

donne » au vers 5. La nature a donc un rôle actif et elle est généreuse. - La langueur tropicale : « île paresseuse ». Remarquez que c’est la générosité de la nature qui permet à l’homme de rester oisif. - La nudité qui ne suggère pas l’érotisme mais l’innocence, le naturel dénué de toute faute : « dont le corps est mince et vigoureux » L’assonance en « eu » qui se fait entendre dans tout le poème souligne la langueur (le phonème « eu » est doux et long et suggère ainsi la paresse et le bonheur

Stéphane Mallarmé, Charles Cros, Jules Laforgue, Tristan Corbière. Poèmes : Il pleure dans mon cœur (1874) Paul VERLAINE Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce cœur qui s'écœure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison.