Lapidaire

Phèdre à tenter de vivre, celle de sa vie la ramène à un désir de suicide. L’évocation de cette mort culmine dans les vers 837, 838 et 839. Le verbe « mourir », annoncé à l’hémistiche précédent par le mot remords, est au cœur d’une suite de formules lapidaires, dans lesquelles il fait l’objet d’un polyptote qui souligne le changement de situation de la reine. Dans un style sublime, proche de l’adynaton, cette expression d’un impossible, Phèdre énonce sa disparition au passé : « Je mourais ce matin digne

texte / présentation du plan retenu) ***éviter les banalités, et songer plutôt à ce qui relie une époque et une vie (celles de l’auteur) à la page que l’on va commenter / poser une problématique simplifiée, vous détaillerez plus loin / ne pas être lapidaire pour présenter le plan, mais rédiger*** 6/ rédiger une CONCLUSION en trois ou quatre paragraphes (les idées et/ou les qualités essentielles de la page étudiée / problématique résolue (ou pas, le dire...) / littérarité du texte / ouverture comparative

plateforme téléphonique dont les intervenants n’ont aucune formation sur les problématiques du chômage ». Le rendez vous fixé arbitrairement et en fonction uniquement des problèmes de l’agent dure en moyenne 5 minutes, les questions réponses sont lapidaires du style pour un jeune possédant un bac plus 5 et travaillant dans la restauration rapide ;- « Vous cherchez chez Macdo ? » Rappelons à nos dirigeants et aux milliardaires qui ne connaissent pas le prix d’une baguette que l’indemnisation chômage

d’exécution dont les représentants de la France pourront disposer en 1789. Les trois fameuses questions de la première page révèlent son talent politique : les aspirations du tiers sont formulées de façon apparemment mesurée, mais cette concision lapidaire est porteuse d’une audace extrême. « Qu’est-ce que le tiers état ? – Tout. » Reprenant sous une forme amplifiée et théorisée les notions, nouvelles au XVIIIe siècle, d’utilité sociale et d’égalité civile, Sieyès identifie le tiers à la nation

Document sans titre=:Synthèse Français ie : le classique et le baroque 1. Le classique : période : 2e moitié du 17e siècle au début 19e signification : - qui ne se démode pas (universel ≠ original). - courant artistique datant de la 2e moitié du 17e siècle, on trouve déjà des manifestations de celui-ci fin 16e siècle. caractéristiques : - sources antiques, réécriture de ceux-ci - oeuvres portant un message général et universel (donc toujours d’actualité) - les 3 règles (au théâtre) : - vraisemblance

qui est généralement interprétée comme l'expression d'un profond pessimisme quant à la condition humaine (la seconde guerre mondiale est encore bien présente dans les esprits). Avec le temps, il traite ces thèmes dans un style de plus en plus lapidaire, tendant à rendre sa langue de plus en plus concise et sèche. En 1969, il reçoit avec désarroi le prix Nobel de littérature, qui lui est attribué pour « son œuvre, qui à travers un renouvellement des formes du roman et du théâtre, prend toute son

mérite personnel n'est pas pris en compte => Figaro veut la reconnaissance de son travail. b) La satire politique Figaro vise le pouvoir royal ; il faut rendre public le langage (dénoncer, juger). 2- Les procédés polémiques Formules lapidaires : les relevés... Conclusion •Un morceau de bravoure : Certaines phrases de ce long monologue brillant sont devenues proverbiales (ex : dans un passage autre que celui étudié : "sans la liberté de blâmer il n'est point d'éloge flatteur" qui

Connotation : Le sens second d’un mot : La connotation d’un chien = Ami Fidèle. Dénotation : Le sens premier d’un mot : définition du Dictionnaire : un chien = Quadripède Bref = court = concis = succinct = laconique = lapidaire. Récit Linéaire : Récit ligne par ligne / dans un ordre chronologique. Protagoniste : Le personnage principal Apologie : défendre une thèse. Dénonciation : c’est le contraire de l’apologie : Dire non à la peine de mort. L’analèpse : C’est un retour

n’ose pas encore se déclarer et cherche des couleurs à ses méchantes actions ». Mais, Albine ne croit pas un mot de ce que prédit Agrippine. Les vers 19-20 « Tout lui parle, Madame en faveur d’Agrippine. Il vous doit son amour. » Une réponse lapidaire est donnée par la mère qui reste sur son doute. Albine défend Néron. On comprend que Néron doit être ainsi perçu par l’ensemble du peuple. V.25-26 : « Depuis 3 ans entier, qu’a-t-il dit ? qu’a-t-il fait ? qui ne promette à Rome un empereur parfait »

succession des scènes, ainsi que les tenants et les aboutissants de la situation. Ces précieux documents, malheureusement fort sommaires, contiennent avec le schéma des pièces les principaux effets ou lazzi, faisant parfois l’objet de recommandations lapidaires. Les intrigues — si tant est qu’on puisse employer ce terme — sont inexistantes ; car les scènes sont plus juxtaposées que liées organiquement. Ce qui détermine leur succession, c’est la nécessité de faire intervenir les différents acteurs de la