Larme

Bonjour, je suis en première littéraire, et j'ai une dissertation à faire (vous inquiétez pas c'est pas pour demain o_O) sur le sujet suivant : A Athènes, dans l'Antiquité, les citoyens assistaient en masse aux représentations théâtrales. Le théâtre y était considéré, non seulement comme un divertissement, mais comme un moyen d'éducation morale et civique. Vous montrerez, en vous appuyant sur les oeuvres dramatiques, anciennes ou modernes que vous avez étudiées ou découvertes, que le théâtre

La vie est belle La vie est belle, V.F. Genre : Comédie dramatique Pays : Italie Durée : 1h57 min. Date : 1997 Film : Couleur Réalisateur : Roberto Benigni Distribution : Roberto Benigni, Nicoletta Braschi, Giorgio Cantarini et Giustino Durano. C’est un jeune homme nommé Guido qui rencontre et séduit une jeune institutrice, Dora. Quelques années plus tard, ils auront un petit garçon nommé Giosué et, en tant que Juifs, ils sont déportés vers un camp de concentration allemand. Guido

L'amoureuse Elle est debout sur mes paupières Et ses cheveux sont dans les miens, Elle a la forme de mes mains, Elle a la couleur de mes yeux, Elle s'engloutit dans mon ombre Comme une pierre dans le ciel. Elle a toujours les yeux ouverts Et ne me laisse pas dormir. Ses rêves en pleine lumière Font s'évaporer les soleils Me font rire, pleurer et rire, Parler sans avoir rien à dire. Paul Eluard, >, Capitale de la douleur,1926 Ed. Gallimard.

gie, S.manageriales, S. l’organisation. Gestion :R.humaines, R.materiel, G. des stock, G. comptable. La personnalité est l’E des C qui définit l’individualité d’une P. Ces C. permettent de la distingué de tout autres être humain. Innés :issus du patrimoine héréditaire de chacun Acquis :apportés par l’experience personnelle, familiale et scolaire et par le milieu socioculturel d’appartenance . Introversion-extraversion,autonomie-soumission,stabilité-instabilité,logique-affectif. Peur,Joie

L''AMOUREUSE Elle est debout sur mes paupières Et ses cheveux sont dans les miens Elle a la forme de mes mains Elle a la couleur de mes yeux Elle s'engloutit dans mon ombre Comme une pierre sur le ciel. Elle a toujours les yeux ouverts Et ne me laisse pas dormir. Ses rêves en pleine lumière Font s'évaporer les soleils, Me font rire, pleurer et rire, Parler sans avoir rien à dire. Paul ELUARD Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais

… : Sting attend moi ! Une jeune fille au cheveux blond mi-long court dans un jardin parsemé de fleur. Il fait si beau. Dans ce petit coin de paradis deux blonds joue ensemble. La petite fille en question a beau essayer de rattraper son frère jumeau elle n'y arrive pas. Celui-ci grimpe dans un arbre et la jeune fille essaye vainement de le suivre mais elle est trop petite pour ne serais-ce que monter dans l'arbre. Sting : Toujours aussi petite Lucy... Il rigola doucement, perché en haut

La tonalité du texte Il s'agit d'une manière de s'exprimer dans un texte, susceptible de produire un effet sur le lecteur [ rire, colère, pitié, etc.]. TONS | OBJECTIF | PROCÉDÉS UTILISÉS | Ton pathétique | Il déclenche un senti-ent d'attendrissement. Il inspire la pitié face à des situations inhumaines, à des souffrances humaines. | champs lexicaux des larmes, de la douleur; exclamations, lamenta-tions; métaphores et comparaisons à forte charge émotive | Ton tragique | L'émotion qu'il

 F   F/E  Je me lève et je te bouscule  Cm6/Eb   D7  Tu ne te réveilles pas comme d'habitude  Gm   Gm/F  Sur toi je remonte le drap  C7   F  J'ai peur que tu aies froid comme d'habitude  F   F7  Ma main caresse tes cheveux  Bb   Bbm  Presque malgré moi comme d'habitude  F/D   C7  Mais toi tu me tournes le dos  Bb6/F   F  Comme d'habitude...  F   F/E  Alors je m'habille très vite  Cm6/Eb   D7  Je sors de la chambre comme d'habitude  Gm   Gm/F  Tout

Chapitre VII L’Ingénu repousse les Anglais L’Ingénu, plongé dans une sombre et profonde mélancolie, se promena vers le bord de la mer, son fusil à deux coups sur l’épaule, son grand coutelas au côté, tirant de temps en temps sur quelques oiseaux, et souvent tenté de tirer sur lui-même ; mais il aimait encore la vie, à cause de mademoiselle de Saint-Yves. Tantôt il maudissait son oncle, sa tante, et toute la Basse-Bretagne, et son baptême ; tantôt il les bénissait, puisqu’ils lui avaient

Mathilde, le regard vide, retourna dans son misérable logement, seul en attendant son mari après avoir appris cette triste nouvelle. La porte s'ouvrit elle s'avançait près de lui l'air abattue, triste et bredouilla : « C... Ch... Charles -Qu'y a t-il ? -J'ai j'ai parlé avec Mme Forestier et … -Et ?  -Et elle m'a dit que c'était une fau... une fausse ! -Mais enfin Mathilde explique toi mieux je ne comprends pas un seul mots. Qu'est ce qui était faux ? -La rivières de diamants ! » Son mari