Lart Sert Il à Divertir

l'art n'est pas un travail lart cest la création. cela suppose déja un savoir faire, et une culture. on ne confondra pas l'artiste et l'artisan, ou le métier artistique par exemple pour un musicien il faut travailler les gammes. pour un écrivain, lire, lire apprendre et encore lire. pour le philosophe cest la réflexion qui forge la pensée etc Or le travail au contraire est la répetition de la technique mais aussi d'un principe de vie. c'est manger, boire, se loger, gagner un salaire dans les

1939. Et aussi «La chanson du bavard» enregistrée en 1930 pour une première fois par La Bolduc, une musicienne autodidacte considérée comme la première chansonnière au Québec qui se servait de la musique pour aider sa famille ainsi que son époux à passer à travers les temps difficiles et la pauvreté. Nous allons analyser ces deux œuvres en faisant ressortir les éléments qui mettent bien en évidence la façon que chacun des textes présentent le thème de la parole. http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89mile_Coderre

La fontaine, fables Afin que sa morale soit bien perçu il met en scène un schéma narratif convainquant Nous avons affaire à ses mots mais pas a lui. Il met en scène un discours et polémique (8 ET9). VERS 10, on prete pas attention a ses paroles, ils préfèrent s’intéresser à des disputes d’enfant plutôt que de l’écoute Son approche est mauvaise car c’est pour cela que les athéniens ne l’écoutaient pas et il changea son approche explicité par un oxymore. Alors il décida de les distraire

propritaire Ioeuvre de Rabelais abonde en souvenirs du terroir familial et en allusions aux gens de justice. Dabord, il fut instruit dans Iabbaye, toute proche, de SeuiIIy. Puis, en 1511, il fut novice au couvent de Ia Baumette (aux portes dAngers). Il a ainsi subi les mthodes scolastiques, quil eut en horreur. De 27 33 ans (1521-1527), devenu moine, il poursuivit son activit studieuse. Il fut dabord chez les franciscains du Puy-Saint-Martin, Fontenay-le-Comte, capitale du Bas-Poitou. Il se passionna

femmes de son tat et vivant comme un ange avec son mari, quoiquelle ne laime plus... Surtout, travers la rupture dun autre couple, celui du matre et de son serviteur, Almaviva et Figaro jadis allis pour conqurir Rosine et maintenant rivaux, Beaumarchais a su faire entrer dans sa pice la critique dune foule dabus qui dsolent la socit (Prface du Mariage) les complaisances de la justice, loppression seigneuriale et celle, plus subtile et moderne, de largent. Rien toutefois, lespace dune folle journe, ne

familial touffant, o lamour manquait. Et il tait cartel par ses dsirs dabsolu. Dune part, il remplissait avec srieux ses devoirs de religion dans ses premires annes au collge, il attira lattention de laumnier par une pit pousse jusqu la mysticit et on a gard le souvenir dune querelle quil eut un jour avec dautres collgiens qui profanaient leau bnite en sen aspergeant au sortir de la chapelle il se jeta contre ces sacrilges qui le traitrent de sale petit cagot. Dautre part, ses premiers rves naquirent

aller la recherche de son pre, absent depuis quelque temps, et dont on est sans nouvelles. Mais lui, qui passe pour indiffrent lamour, veut aussi fuir Aricie, seule survivante des Pallantides, branche de la famille de Thse que celui-ci a fait massacrer, tandis quil a fait de la jeune fille une esclave. Scne 2 La seconde pouse de Thse, Phdre, va paratre. Oenone, sa nourrice et confidente, fait fuir tout le monde. Scne 3 Phdre, triste, lasse, puise, est accable dun mal mystrieux qui lui fait ce point

la nouvelle dans cet aphorisme Tout homme porte en soi un crime inconnu qui suinte et quil expie (page 95), cette ide de la culpabilit fondamentale, du pch originel, qui est la base du catholicisme, expliquant lenchanement des fautes de la mre qui a pch dans sa jeunesse et veut expier en se faisant souffrir et en faisant souffrir son fils qui est certainement le fruit de ce pch et qui se rvolte en commettant une faute encore plus grave, en tuant sa mre et qui est poursuivi ensuite par la mme culpabilit

Blaise Cendrars, dans une dcision de dernire heure, sur les preuves mmes, alors que ses pomes avaient initialement paru encore ponctus, il supprima partout la ponctuation. Il pousuivait ainsi le but constant des potes, qui a toujours t de saboter la langue. Sans ponctuation, il ny a plus de concurrence entre le mtre et la syntaxe on ne marque pas de pause, mme l o le sens lexige et on en marque une l o il ne lexige pas la versification prend contre-pied les rgles du discours normal. Perdre lordre