Le 3ème Voyage Du Compagnon

fournissant à Ulysse un voile magique, lui permet d’échapper à la tempête. Ulysse et ses compagnons côtoient des êtres surnaturels, des monstres, sans s’étonner de leur présence parmi les humains ; cette présence admise du merveilleux n’est pas sans rappeler l’univers des contes. Enfin, comme dans les contes, la magie intervient : la magicienne Circé transforme les compagnons d’Ulysse en pourceaux. 3. Voyage dans deux mondes. Ulysse affronte successivement deux types de dangers, ceux du monde

jour : Jacques et son maître font un voyage sur lequel nous n’avons pas d’informations, Jacques commence le récit de ses amours avec son engagement dans l’armée. 2ème jour : Jacques parle de sa blessure au genou qui est selon lui la plus cruelle qui soit. La discussion est interrompue par un chirurgien qui approuve Jacques. Ce dernier explique à son maitre qu’après avoir été blessé à une bataille il a été recueilli par une paysanne. Les deux compagnons s’arrêtent ensuite dans une auberge où

récit d'U.  énuméra° des escales - Cicones  pillage  attaque  1ère perte ds l'équipage - Lotophages  lotus fait perdre la mémoire - Cyclopes  U. souhaite « le voir » malgré les supplica° de ses compagnons  Polyphème revendique son inhumanité & sa brutalité  P. mange des compagnons d'U.  ruses d'U.  pieu acéré, P. enivré, se nomme Personne, cachés sous des béliers MAIS U. défie P. 1 x libre  vengeance de Poséidon sur supplica° de P. Repères de lecture. - Début d'un périple initiatique

comme une révélation· Référence au « voyage », thème fondamental de la poésie baudelairienne avec les références au voyage en navire, à la mer (l’albatros oiseau marin)· Présence du jugement, du mépris de la part des marins (les hommes) envers l’albatros (le poète)le mépris se caractérise par le refus de la différence, mais aussi une forme d’ignorance <2ème LECTURE>Thème général du poème : le mépris= thème général/ la moquerie/la mer (voyage)/l’oiseau Registre comique ?

grades de compagnons ou commis de cuisine. La tenue sera la même mais le tablier change il devient blanc et sans bavette, il va voyager, comprendre les différentes cultures de la cuisine, se peaufiner, se polir, toujours sous les conseils aviser de ses maîtres. Tout comme le compagnons FM après sa planche de passage, initié aux grades de compagnons il aura son tablier bavette en bas. Pour le reste je n'en dirai pas plus pour respecter le degré où nous sommes ce soir. 3ème étape Notre

Thème d'étude : Voyages et découvertes, XVIe et XVIIIe siècle Christophe COLOMB et la découverte de l'Amérique Introduction : A la fin du XVe siècle, la majorité des Hommes croient encore que le Terre est un disque. Christophe Colomb animé par sa foi chrétienne et sa conviction qu'il peut parvenir aux Indes en empruntant la route de l'Ouest, propose des services au grand souverain de l'époque. Tandis que le roi Jean II du Portugal refuse, la reine Isabelle de Castille, séduite par les promesses

L'ALBATROS DE BAUDELAIRE Le XIXème siècle est marqué par l'époque du romantisme. Partisan de cette nouvelle idée, Charles Baudelaire (1821-1867), poète français, rédige L'Albatros en 1857. Ce poème tiré du recueil parle de voyage. Baudelaire ayant beaucoup voyagé exploite facilement ce thème avec sa propre expérience. Ce poème est écrit en quatre quatrains et ses vers sont des alexandrins. Il décrit surtout les différents aspects physiques et psychologiques de l'oiseau... (Chaque quatrain

: Jacqueline Mirande est née en 1925 dans le Bordlais près de Bordeaux, elle a actuellement 75 ans. Elle est de nationalité française. Après ces études d'histoire à Paris, Jacqueline Mirande épouse un marin et commence à voyager avec lui. C'est au cours de ces nombreux voyage qu' elle commence à imaginer des histoire, qu'elle écrira de retour en France. Elle partage désormais son temps entre Paris et Arcachon. Jacqueline Mirande à écrit plusieurs romans historiques dont >, ... Ses romans sont

Baudelaire L’Albatros Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. 5 À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! 10 Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace

tandis que la dernière est dédiée au poète. A/ une conscience douloureuse de la marginalité: Ce poème est Absent de l'édition de 1857, il occupait la deuxième place dans l'édition de 1861. S'il reflète peut-être quelque lointain souvenir du voyage exotique effectué par Baudelaire dans sa jeunesse, l'oiseau est ouvertement allégorique dans le dernier quatrain en remplaçant le champ lexical maritime par celui de la difficile "marche sur le sol", terrestre et dénuée de toute fluidité. Une telle