Le Baiser mortel du dragon

distraction et à la subversion. I.1.Ia métaphore théâtrale : La représentation théâtrale, avec ses codes et ses rites, est la symbolisation parfaite du factice, du faux. Le spectateur sait pertinemment que tout ce qu’il verra entre le lever et le baisser de rideau est faux, même si l’illusion de la réalité est parfois frappante, même si les intrigues, les péripéties s’assimilent aisément à notre vie que les dramaturges considèrent comme une comédie jouée sur « le grand théâtre du monde. » 130 Aussi

qui met en scène les êtres humains partants dans tous les sens avec une incomparable immaturité. Ils font le choix d'une vie où règnent confusion et anarchie. Attitude incohérente que Baudelaire compare à une danse, une Danse Macabre :La troupeau mortel saute et se pâme , sans voirDans un trou du plafond la trompette de l'Ange...(5)L'être humain qui est présenté, dans ce poème, comme sot et inconscient de la vie qui s'offre à lui, s'avère, toutefois, consciencieux et dangereux dans Le Crépuscule

administration par un mur de vingt pieds de hauteur et de trente ou quarante toises de long. Le parapet de ce mur pour lequel M. de Rênal a dû faire trois voyages à Paris, car l'avant-dernier ministre de l'Intérieur s'était déclaré l'ennemi mortel de la promenade de Verrières, le parapet de ce mur s'élève maintenant de quatre pieds au-dessus du sol. Et, comme pour braver tous les ministres présents et passés, on le garnit en ce moment avec des dalles de pierre de taille. Combien de

d’immortaliser son administration par un mur de vingt pieds de hauteur et de trente ou quarante toises de long. Le parapet de ce mur pour lequel M. de Rênal a dû faire trois voyages à Paris, car l’avantdernier ministre de l’Intérieur s’était déclaré l’ennemi mortel de la promenade de Verrières ; le parapet de ce mur s’élève maintenant de quatre pieds au-dessus du sol. Et, comme pour braver tous les ministres présents et passés, on le garnit en ce moment avec des dalles de pierre de taille. Combien de fois, songeant

d’immortaliser son administration par un mur de vingt pieds de hauteur et de trente ou quarante toises de long. Le parapet de ce mur pour lequel M. de Rênal a dû faire trois voyages à Paris, car l’avant-dernier ministre de l’Intérieur s’était déclaré l’ennemi mortel de la promenade de Verrières, le parapet de ce mur s’élève maintenant de quatre pieds au-dessus du sol. Et, comme pour braver tous les ministres présents et passés, on le garnit en ce moment avec des dalles de pierre de taille. Combien de fois, songeant

d'immortaliser son administration par un mur de vingt pieds de hauteur et de trente ou quarante toises de long. Le parapet de ce mur pour lequel M. de Rênal a dû faire trois voyages à Paris, car l'avant-dernier ministre de l'Intérieur s'était déclaré l'ennemi mortel de la promenade de Verrières, le parapet de ce mur s'élève maintenant de quatre pieds au-dessus du sol. Et, comme pour braver tous les ministres présents et passés, on le garnit en ce moment avec des dalles de pierre de taille. Combien de fois, songeant

d’immortaliser son administration par un mur de vingt pieds de hauteur et de trente ou quarante toises de long. Le parapet de ce mur pour lequel M. de Rênal a dû faire trois voyages à Paris, car l’avant-dernier ministre de l’Intérieur s’était déclaré l’ennemi mortel de la promenade de Verrières, le parapet de ce mur s’élève maintenant de quatre pieds au-dessus du sol. Et, comme pour braver tous les ministres présents et passés, on le garnit en ce moment avec des dalles de pierre de taille. Combien de fois, songeant

d’immortaliser son administration par un mur de vingt pieds de hauteur et de trente ou quarante toises de long. Le parapet de ce mur pour lequel M. de Rênal a dû faire trois voyages à Paris, car l’avantdernier ministre de l’Intérieur s’était déclaré l’ennemi mortel de la promenade de Verrières ; le parapet de ce mur s’élève maintenant de quatre pieds au-dessus du sol. Et, comme pour braver tous les ministres présents et passés, on le garnit en ce moment avec des dalles de pierre de taille. Combien de fois, songeant

jalousie. Mais ces romanciers semblent aller plus loin en dotant les personnages de certaines qualités extraordinaires. Les hyperboles utilisées par Steinbeck font de Man une véritable héroïne, qui, par ses qualités, se distingue du commun des mortels. Par l’intermédiaire de « ses yeux noisette », le romancier fait le portrait de cette mère qui semble « avoir connu toutes les tragédies » et s’être élevée jusqu’à une « compréhension surhumaine ». Le personnage est également « aussi infaillible

tout le monde, regardezmoi ! Non seulement j’ai fait la stupide erreur d’opter pour la monogamie à vie, mais en plus je l’ai inscrit à la vue de toutes les gonzesses qui voudraient m’aborder. » 51 « Hé, tout le monde, regardezmoi ! J’ai un dragon terrifiant sur le bras ! Ca t’effraie ? Parfait, parce que j’espère que ce bébé repousse les voleurs qui oseraient s’introduire chez ma mère. » 52 TATOUAGE TRADUCTION « Hé, tout le monde, regardezmoi ! Ma vie est gouvernée par une