Le Banquet Chrétien

tenue. Certaines tenues sont consacrées à des événements particuliers : ouverture de la loge en début d'année, installation du collège des officiers, initiation de profane, passage au grade de Compagnon, élévation au grade de Maître, banquet rituel (parfois nommé banquet d'ordre) aux solstices d'hivers et d'été, élections de fin d'année, etc. On trouve aussi d'autres cérémonies maçonniques rituelles qui ne sont pas des « tenues » en ce sens que les assistants ne sont pas nécessairement francs-maçons

genre d’amour n’est accessible qu’au contact de l’autre. Cet amour suppose une certaine affection ayant un support physique, dont le contact se nourrit de présence. Dans l’amour éros, l’affection demeure frustrée en l’absence de contact. Dans le Banquet, l’éros caractérise la conception platonicienne de la relation à l’ami-amant. Deuxièmement l’amour « philia » désigne une relation empreinte de réciprocité et d’estime mutuelle. Il arrive que ce terme soit traduit par l’amitié, mais en lui-même

uriné sur Paris et la jument de Gargantua qui s’était débarrassée des mouches. Ici c’est le contraire. Echange de plaisanteries entre Eudémon, Gymnaste et Gargantua : c’est dire que le rire se partage. Allusion au retour du fils de prodigue dans le banquet que donne Grandgousier pour fêter le retour de son fils à ses côtés. Gargantua et les pèlerins. Reprise de deux thèmes traditionnels. Pèlerins personnages présents dans les œuvres de fiction du Moyen-Âge. Monstre avalant les humains est un motif

univoque que l'on rapprocherait aujourd'hui de l'altruisme. Il se caractérise par sa spontanéité, ce n'est pas un acte réfléchi ou une forme de politesse mais une réelle empathie pour les autres qu'ils soient inconnus ou intimes. Dans la tradition chrétienne des pères de l'Église, ce mot est assimilé au concept de charité, bien que celui-ci soit plus proche d'une relation matérielle établie avec des personnes en souffrance. L’agapè originel ne revêt pas cette connotation morale de responsabilité devant

théologiquement que le monde et la sainteté ne sont théologiquement pas incompatibles. Le concile Vatican II l’a promulgué, notamment dans la constitution Lumen Gentium, la théologie spirituelle d’après le concile l’enseigne : tous les fidèles du Christ (les chrétiens) sont appelés à la sainteté. Or ces fidèles du Christ sont des hommes évoluant dans le monde que Dieu Tout Puissant a créé et leur a donné comme espace de vie. Comment serait-il donc possible que Dieu, appelant ses fidèles à devenir saints « comme

la philosophie, le désir a été longtemps conçu comme niant ce qu’il y a de plus noble dans l’homme. * Platon le comprend comme absence de plénitude (dans son acception érotique, il résulte, ainsi que le rapporte le mythe d’Aristophane dans Le Banquet, de la séparation d’un androgyne primitif qui trouvait en lui-même toute satisfaction) et comme symptôme d’une prédominance du corps sur l’âme. Soumis à la concupiscence, les artisans, dans La République, sont exclus de l’organisation communautaire

étaient couverts. Dans les lieux d’instruction religieuse, ils se trouvaient substitués comme par enchantement aux catéchismes; et, jusque dans le temple de la Madeleine, des Dictionnaires portatifs, habillés comme des psautiers, traînaient sur les banquettes, où ils ne laissaient pas d’être ramassés par quelqu’un. On est pris de vertige rien qu’en lisant (dans l’ouvrage de M. Gaberel: Voltaire et les Genevois(1)) l’énumération abrégée de ces pièges continuels tendus par « l’infernal vieillard »sous

théorie de la réincarnation des âmes. Il dit que l'âme reste après la mort, mais qu'il faut la purifier, la libérer du corps. La mort signifierait la dissolution des liens avec le corps, c'est le moment de la libération ( théorie égale à celle des chrétiens ). Le but de la philosophie dans ce cas, serait comparé à l'accomplissement de l'âme, car la philosophie permettrait à l'âme de se libérer au cours de la vie de l'Homme. On s'assagit, on est libéré des envies et des désirs du corps. De plus, il

et limitaient la durée de travail des artisans au sein des corporations, parce que l’église l’exigeait. Lafargue analyse le résultat en ces termes : « ils avaient des loisirs pour goûter les joies de la terre, pour faire l’amour et rigoler ; pour banqueter joyeusement en l’honneur du réjouissant Dieu de la Fainéantise ». La fin de l’Ancien Régime a mis fin à ces lois avec l’accord des prolétaires, ils sont donc en partie responsables de la durée excessive du travail qu’on leur impose. - D’autre

moitié XVIe s.) Mouvement littéraire dominant Caractéristiques Auteurs, œuvresclés PLÉIADE HUMANISME - Nombreux personnages - Métaphores - Merveilleux - Didactisme - Chanson de gestes - Amour courtois ou fin’amor - Les valeurs chevaleresques - Chrétien de Troyes - Homère, Iliade - Virgile, Énéide - Le Roman de Renart - Tristan et Iseult - Aucassin et Nicolette Mouvement littéraire secondaire 1. Pléiade - Références à l’Antiquité - Jeux sur les mots et les formes - Hermétisme 2. Humanisme - Promotion