Le Beau Kant L Un Aime Le Son

religieuse ne pose pas seulement le problème de la vérité mais 1 aussi de la liberté et de la paix. Tout le problème est donc celui de l’éducation philosophique: « penser et vivre la religion dans les limites de la simple raison », (ouvrage éponyme de Kant). Les enjeux de cette réflexion sont: - métaphysique: pourquoi y a t il quelque chose plutôt que rien, pourquoi l’homme existe til, y a t-il une vie après la mort; - existentiels: la foi religieuse donne t-elle sens à l’existence; - éthique et social:

290 115 300 314 127 146 23. Bjerkely ...un vieux miroir magique que son arrière-grand-mère avait acheté à une gitane... 24. Le siècle des Lumières ...delà manière de fabriquer une aiguille jusqu'à la manière de fondre des canons... 25. Kant ... le ciel étoile au-dessus de ma tête et la loi morale en moi... 320 166 338 175 358 191 26. Le romantisme 377 ... c'est vers l'intérieur que va le chemin mystérieux... 27. Hegel ...ce qui est raisonnable, c 'est ce qui est doué

la vie avec sa cargaison de gènes... 441 ...un vieux miroir magique que son arrière-grand-mère avait acheté à une gitane... 24. Le siècle des Lumières ...delà manière de fabriquer une aiguille jusqu'à la manière de fondre des canons... 338 25. Kant ... le ciel étoile au-dessus de ma tête et la loi morale en moi... 358 26. Le romantisme 377 ... c'est vers l'intérieur que va le chemin mystérieux... 14 LE MONDE DE SOPHIE 3î. Freud ... ce désir inavouable et égoïste qui avait surgi en elle

contradiction avec elle-même, et (comme le dit Leibniz) ce qui est non-contradictoire indique (voire démontre) ce qui est possible mais non pas ce qui est réel et existant ; seule l’expérience sensible peut montrer ce qui existe réellement. On peut ainsi (avec Kant) distinguer ce qu’est penser et ce qu’est connaître : penser est l’activité de l’esprit qui raisonne aussi rigoureusement que possible, c’est-à-dire enchaîne les représentations (les idées, les énoncés) en veillant à ne pas se contredire (et en le

désir inextinguible fait progresser le sujet désirant, "d'un seul beau corps à deux, de deux beaux corps à tous les beaux corps, et des beaux corps aux belles occupations, et des occupations vers les belles connaissances" (Platon, Banquet, 211c). Une vie bien remplie est donc une vie qui sait de quoi elle manque, et s'en met résolument en quête. Au terme de ce parcours ascendant, l'âme pourrait espérer atteindre à "la science du beau lui-même", et ainsi contempler "la beauté en elle-même, celle qui

des autres hommes, et d’allumer, généreuse, des foyers de générosité. Les grands hommes de bien, et plus particulièrement ceux dont l’héroïsme inventif et simple a frayé à la vertu des voies nouvelles, sont révélateurs de vérité métaphysique. Ils ont beau être au point culminant de l’évolution, ils sont le plus près des origines et rendent sensible à nos yeux l’impulsion qui vient du fond. » Explication : Bergson se situe dans la ligne de ceux pour qui il y a une Providence dans la nature. Pour

l’intelligence progresse par rectification sur le chemin de la conscience ou de la sagesse. C’est dire qu’un élève sérieux doit avant tout prendre conscience du fait qu’il y’a en lui quelque chose d’exceptionnel : La pensée que le philosophe Emmanuel Kant définit comme la faculté qui rend possible la conscience élaborée chez l’être humain. Dans une telle perspective, un élève qui est incapable de réfléchir, d’analyser des sujets, de questionner ou d’interroger les zones d’ombre d’un cours qu’il reçoit

créé en réaction au romantisme dont il refuse la subjectivité, l’engagement et la supériorité de l’inspi sur le travail. Les caractéristiques de ce mouvement : · Un style impersonnel avec des descriptions, des mythes…· Le primat du travail : le poète aime travailler les forme contraignantes comme les formes fixes.· « l’art pour l’art » : vocabulaire soutenu, versification, érudition(savoir approfondi) = se met au service de l’art.Baudelaire reprend l’importance du travail, le refus de l’engagement de

admirable. On l'a appelé le siècle des Lumières. Les écrivains de cette époque, les philosophes des Lumières, vont se livrer à une révision critique des notions fondamentales concernant l'homme et son destin et l'organisation de la société. Emmanuel Kant, un philosophe allemand de l'époque, dans son texte « Qu'est-ce que les Lumières ? », publié en 1784, les a définis ainsi : « Les Lumières sont ce qui fait sortir l'homme de la minorité» de « l'incapacité où il est de se servir de son intelligence

communiquer une félicité dans la quelle « même les hommes de condition inégale peuvent être amis, car ils seront ainsi rendus égaux » Éthique à Nicomaque, livre VIII, chapitre 10). C'est dans cette amitié que s'incarne de façon concrète la justice. Le juste aime son prochain car il est son frère en humanité qui, comme il participe à la Création, mérite le même amour que celui qui est porté à Dieu. Cette continuité entre la justice divine et la justice humaine, rendue possible par une charité fondée en raison