Le Beau Kant étapes Argumentation

d’autant plus facile de voir du premier coup leur racine commune. La séparation n’existe pas non plus entre l’absence d’engagement de l’esthétique et l’engagement de l’éthique, entre le beau et le bon. Il apparaît d’autant plus clairement que le beau n’est pas beau sans être bon, et que le bon n’est pas bon sans être beau. À propos du rôle que joue la métaphysique chez Confucius, on pourrait souligner d’abord avec Jaspers que « l’élan vers l’illimité, l’inconnaissable, la question dévorante des grands

de gouverner et de s'affirmer en public > les sophistes. Les sophistes désignent des personnes qui possèdent une habileté dans un art ou dans un autre, des experts dans l'art de la parole, la discussion, des experts en rhétorique, en débat et argumentation. Les sophistes vont se faire payer fort chers et cela va leur valoir un nombre d'accusation de la part de Socrate et de Platon. Socrate leur reproche d'être trop cher et d'enseigner des choses sans valeur. Il pense que ceux-ci vont plutôt procurer

problème - Détermination du sens de la question et de ses termes tels qu’ils rendent le problème possible et significatif, et élimination de ceux qui ne correspondraient pas à un problème philosophique, c’est-à-dire tel que l’on puisse le traiter par argumentation fondée sur l’analyse des notions, mais, par exemple à une question de fait]. [1 - Diversité de fait des connaissances humaines et de leur origine] Si, d’une part, par « connaissances », nous entendons tout ce dont nous « avons connaissance »

plus le beau singulier, mais le Beau en soi ? Puis comment transmettre ce que l'on a contemplé ? C'est à tout cela que répond la théorie de la "pédagogie amoureuse" que met en place Platon dans le Banquet. Les problèmes méthodologiques du Banquet Dans quelle mesure est-il possible d’abstraire une théorie générale sur l’Amour à travers les différents discours que Platon prête aux divers convives du Banquet ? C’est que les cinq premiers convives ont déclaré qu’Amour était beau, bon, heureux

alors que cet élément n’est jamais donné seul dans la | | |réalité, la pensée abstraite ne tient pas compte du concret. | | |Chez Kant, l’abstraction fait partie des actes de l’entendement qui produisent les concepts. | |absurde |Qui est contraire à la raison, qui s’oppose au bon sens.

progrès et inscrit son objectif dans l’histoire de l’humanité en général. ← Condorcet écrit par exemple Esquisse d’un tableau historique des progrès humains, ouvrage dans lequel il inscrit la notion de progrès au cœur de l’humanité. ← Emmanuel Kant (penseur de l’Aufklerung, Les Lumières en Allemand) écrit l’Idée d’une histoire universelle du point de vue cosmopolitique où il affirme que toute l’histoire des hommes est orientée vers la liberté rationnelle de l’individu (arriver à l’autonomie d’un

consiste à isoler par la pensée un élément d’une représentation. 3 L’abstraction permet de détacher un élément d’une partie alors que cet élément n’est jamais donné seul dans la réalité, la pensée abstraite ne tient pas compte du concret. 4 Chez Kant, l’abstraction fait partie des actes de l’entendement qui produisent les concepts. | absurde | Qui est contraire à la raison, qui s’oppose au bon sens. 5 La logique distingue le faux de l’absurde. Un raisonnement absurde renferme une contradiction

demandé : " Dis-moi, Socrate, d'où sais-tu quelles sont les choses belles et quelles sont les choses qui sont laides ? Voyons, peux-tu me dire ce qu'est le beau ? ". N'ayant pas réussi à répondre à cette question (car Socrate " ne sait rien " !), il va donc profiter d'être en compagnie d'un savant, Hippias, qui prétend savoir ce qu'est le beau. Il va revêtir le personnage de celui qui l'a mis dans l'embarras, et poser à Hippias les questions qu'il aurait posées à Socrate s'il avait prétendu savoir

obligée de travailler en utilisant son énergie intellectuelle mais aussi son énergie musculaire. MAIS, on est parfois épanoui au travail, et le loisir permet certaines activité comme la philosophie qui peuvent être aussi épuisante que le travail. KANT : Selon lui, la nature a fournit les mains de l’homme pour qu’il puisse travailler. Car il ne pourrait pas survivre sans travailler. Car le travail permet la transformation de la nature et donc la création d’artifices. L’homme doit donc utilisé la

appartenance de l’homme au monde, sera reprise ensuite dans la fameuse citation de Socrate, « Je ne suis ni Athénien, ni Grec mais citoyen du monde ». Au xVIII siècle, ce concept prend une signification empirique et, notamment, à travers l’analyse de Kant qui situe l’individu dans une certaine pratique du monde, à savoir non pas dans une patrie mais bel et bien dans la terre, comprise dans toute sa globalité. Le citoyen est ainsi chez lui où qu’il se trouve : « cosmopoliter, selon l’expression de Louis-