Le Beau Peut Il Ne Pas Plaire

(Hegel) 4 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 8 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 9 3. Le créateur selon la

une mode peut être un moyen d'afficher clairement sa personnalité et ses idées; une personne qui adopte, par exemple, un style gothique montrera directement à quel groupe elle appartient et même quelles convictions religieuse elle défend. Le style vestimentaire peut donc parfois en dire plus que ce que les gens pensent sur une personne. De plus, adhérer à une mode est aussi une manière de se sentir mieux dans sa peau, se sentir plus beau et avoir confiance en soi surtout dans le but de plaire! Cela

Le goût dépravé dans les arts, écrit Voltaire, c'est se plaire à des sujets qui révoltent les esprits bien faits, préférer le burlesque au noble, le précieux et l'affecté au beau simple et naturel. C'est une maladie de l'esprit. » Même un oeil exercé peut ne plus « voir » ce qu'il a constamment sous les yeux. Les uns récusent, instinctivement, ce qui « ne leur rappelle rien ». Les autres tiennent pour admirable tel objet qu'ils associent, à tort, à une oeuvre belle. Ces derniers ont fait les beaux

opéra de Lully Jean R ousseau, Traité de la Viole,1687 « De tous ceux qui ont appris à joüer de la Viole de Monsieur HOTMAN, on peut dire que Monsieur de SAINTE COLOMBE a esté son Ecolier par excellence, & que mesme il l'a beaucoup surpassé ; car outre ces beaux coups d'Archet qu'il a appris de Monsieur HOTMAN, c'est de luy en particulier que nous tenons ce beau port de main, qui a donné la dernière perfection à la Viole, a rendu l'execution plus facile & plus dégagéee, & à la faveur duquel elle

d'une redingote de velours vert, il était ganté de gants jaune ». Rodolphe décide de séduire Emma Bovary pour sa beauté mais notamment par ennui de sa dernière conquête. Il agit de la même manière avec toutes les filles qui sont susceptibles de lui plaire. Ce personnage a de l'expérience en amour cependant il n'est pas réellement capable d'aimer. La rencontre avec Rodolphe est une césure dans la vie d’Emma, parce qu’elle va suivre ses sentiments. Il va montré par la suite sa vrai nature, c'est à dire

réflexions qu’elles génèrent ont une fonction instructive indéniable. Le fait que ces morales concluent une histoire distrayante permet aux enfants de se souvenir toute leur vie de cette leçon à retenir. Pour illustrer la nécessité d’être prévoyant on peut prendre l’exemple d’un général partant en guerre en pays hostile sans prévoir une voie de retraite et qui de ce fait périt avec toute son armée. Raconter l’histoire d’un bouc qui croit la parole d’un renard sans réfléchir et se fait ainsi piéger au

décision sur quelque chose, en fonction de plusieurs facteurs qui nous sont proposés. Pour le choix d’un vêtement dans un magasin, plusieurs éléments nous sont proposés comme la coupe du vêtement, la couleur, la matière. Le choix d’un vêtement peut être libre, à partir du moment ou l’on fait ce que l’on veut, que l’on décide de soi même, qu’il n’y a pas de contraintes du monde extérieur. Lorsque l’on parle d’être libre pour soi, c’est tout d’abord sentir en soi une sensation de bien-être, ce

repentit : « Pourquoi mon Dieu je me suis mariée ». Elle maudit donc ce mariage, s’évadant dans ces rêveries. Suite à un Bal dont elle parada de par sa beauté et sa façon de danser avec d’autres Hommes que son mari, elle dit émerveillée : « C’est le plus beau jour de ma vie », elle avait découvert un autre monde. Mais par la suite, son ennui fut encore plus fort : « Elle but du vinaigre pour se faire maigrir. » Par la suite Charles L’emmènera vivre à Yonville l’Abbaye. Une page venait de se tourner, c’est

promptement après son arrivée dans le Hertfordshire. Elle craignoit qu’il ne fût toujours voltigeant d’un endroit à l’autre sans jamais être établi à Metterfield, comme il le devoit. Lady Lucas calma un peu ses craintes, en lui faisant naître l’idée que peut-être il étoit allé à Londres chercher du monde pour le bal, et bientôt le bruit courut que M. Bingley devoit conduire à l’assemblée douze dames et sept messieurs. Quelques personnes s’affligeoient de ce grand nombre de dames ; elles se consolèrent

l’importance de ce personnage (peut s’asseoir en présence du roi + la reine). Le personnage est décrit de manière méliorative voir hyperbolique mais un peu vague. -« grand emploie »(ligne 79) = on sait pas lequel -« la vie était glorieuse » (ligne 79) = l’imparfait est employé ce qui montre que sa gloire et sa réputation