Le Beau Tétin

morte Voici le gage de mon amour De nos fiançailles Ni le temps ni l'absence Ne nous feront oublier nos promesses Et un jour nous auront une belle noce Des touffes de myrte À nos vêtements et dans vos cheveux Un beau sermon à l'église De longs discours après le banquet Et de la musique De la musique Nos enfants Dit la fiancée Seront plus beaux plus beaux encore Hélas ! la bague était brisée Que s'ils étaient d'argent ou

considérée comme une capitale. Texte 3 : Agrippa D’Aubigné, Les Tragiques, Livre I (v.97-131) Je veux peindre la France une mère affligée, Qui est, entre ses bras, de deux enfants chargée. Le plus fort, orgueilleux, empoigne les deux bouts Des tétins nourriciers ; puis, à force de coups 5 D'ongles, de poings, de pieds, il brise le partage Dont nature donnait à son besson l'usage ; Ce voleur acharné, cet Esau malheureux, Fait dégât du doux lait qui doit nourrir les deux, Si que, pour arracher à

Groupement 1 : Texte A : Le Rouge et le Noir, première partie, chapitre X, Stendhal, 1830 J’ai gagné une bataille, se dit-il aussitôt qu’il se vit dans les bois et loin du regard des hommes, j’ai donc gagné une bataille. Ce mot lui peignait en beau toute sa position, et rendit à son âme quelque tranquillité. Cette méditation sur ce qui avait pu faire peur à l’homme heureux et puissant contre lequel, une heure auparavant, il était bouillant de colère, acheva de rasséréner l’âme de Julien. Il

la Brenne et de Rouergue. En son âge virile, épousa Gargamelle, fille du roi des Parpaillos, belle gouge s et de bonne trogne, et faisaient eux deux souvent ensemble la bête à deux dos, joyeusement se frottants leur lard, tant qu'elle engrossa d'un beau fils, et le porta jusques à l'onzième mois. , i. Au. — 2. Plaisant compère. — 3. Œufs de mulet séchés. — \. Le poisOD. — 5. Fille s — 42 LIVRE I Car autant, voire davantage, peuvent les femmes ventre mêmement quand c'est quelque

morte Voici le gage de mon amour De nos fiançailles Ni le temps ni l'absence Ne nous feront oublier nos promesses Et un jour nous auront une belle noce Des touffes de myrte À nos vêtements et dans vos cheveux Un beau sermon à l'église De longs discours après le banquet Et de la musique De la musique Nos enfants Dit la fiancée Seront plus beaux plus beaux encore Hélas ! la bague était brisée Que s'ils étaient d'argent ou

........................................... 73 L. – Ciel brouillé ........................................................................ 74 LI. – Le chat............................................................................... 75 LII. – Le beau navire ................................................................. 77 LIII. – L’invitation au voyage.................................................... 79 LIV. – L’irréparable.................................................................

.............................43 L. – Ciel brouillé.................................................................................43 LI. – Le chat ...................................................................................... 44 LII. – Le beau navire..........................................................................45 LIII. – L’invitation au voyage ........................................................... 46 LIV. – L’irréparable .................................................

........................................... 73 L. – Ciel brouillé ........................................................................ 74 LI. – Le chat............................................................................... 75 LII. – Le beau navire ................................................................. 77 LIII. – L’invitation au voyage.................................................... 79 LIV. – L’irréparable.................................................................

morte Voici le gage de mon amour De nos fiançailles Ni le temps ni l'absence Ne nous feront oublier nos promesses Et un jour nous auront une belle noce Des touffes de myrte À nos vêtements et dans vos cheveux Un beau sermon à l'église De longs discours après le banquet Et de la musique De la musique Nos enfants Dit la fiancée Seront plus beaux plus beaux encore Hélas ! la bague était brisée Que s'ils étaient d'argent ou

savants, de précepteurs très doctes, de bibliothèques très vastes. Rabelais, Pantagruel, 1532. Je veux peindre la France une mère affligée, Qui est, entre ses bras, de deux enfants chargée. Le plus fort, orgueilleux, empoigne les deux bouts Des tétins nourriciers ; puis à force de coups D'ongles, de poings, de pieds, il brise le partage Dont nature donnait à son besson l'usage. Agrippa d'Aubigné, Les Tragiques, 1616. texte.php?id=4 Un idéal Vous le voyez, ces deux textes s'opposent et présentent