Le Beau Tétin

Es gens du ciel, viendra en son befroy; Lors les haratz, qui estoient estommis, Triumpheront en royal palefroy. Et durera ce temps de passe passe Jusques à tant que Mars ayt les empas. Puis en viendra un qui tous aultres passe, Delitieux, plaisant, beau sans compas. Levez vos cueurs, tendez à ce repas, Tous mes feaulx, car tel est trespassé Qui pour tout bien ne retourneroit pas, Tant sera lors clamé le temps passé. Finablement, celluy qui fut de cire Sera logé au gond du Jacquemart. Plus ne sera

les nouveau-nés et les petits bébés qui ne peuvent pas encore rester assis tout en sécurité sur le grand tapis du salon. Ce grand salon/séjour de Kalima est idéalement lumineux, grâce à des grandes baies vitrées par lesquelles se dénude un grand et beau jardin. Les quatre chambres sont composées de berceaux pour les plus petits, et de lits-parcs pour les plus grands. Tandis que dans la pièce collective les couleurs prédomine, dans les chambres et surtout des plus grands, le blanc est dominant.

…………………………. ………………………….. ……………………...... ………………………….. Jeudi 4 juin • Complète le tableau de la météo à l’aide des informations qui sont données. Dimanche 31 mai : temps nuageux, vent fort, température 26° Lundi 1 juin : beau temps, vent faible, température 30° Mardi 2 juin : temps pluvieux, vent fort, température 25° Jour Numéro du jour Mois Etat du ciel Vent Température ………………… ……… ………… ……….. ………………… ……… ………… ………

pouce-index. Livres en tissus, cartonnés, jeux d’eau, porteurs sans pédales, chariots. CAP Petite Enfance 6 De 13 mois à 3 ans 13 à 18 mois : « touche à tout », plus autonome, pas la notion du danger, égocentrique, ballon au pied, 4 à 6 mots, « pas beau », désigne des images dans un livre, comprend ordre simple, imite bruits, commence à chanter, phase d’agressivité (tire les cheveux, mord).Ballon, jouets démontables, empilables, encastrables, musique, aime que l’adulte racontes des comptines, marionnettes

................................. 107 Le Chat........................................................................................ 76 La Cloche fêlée........................................................................................ 108 Le Beau navire........................................................................................ 78 Spleen (Pluviôse irrité)....................................................................................... 109 L'Invitation au voyage...........

Hélas ! Je m’en souviens, un jour votre grand-père 10 Pour apaiser sa faim entra dans un hameau. Dès qu’on s’en aperçut : O bête carnassière ! Au loup ! s’écria-t-on ; l’un s’arme d’un hoyau, L’autre prend une fourche ; et mon père eût beau faire, Hélas ! Il y laissa sa peau : De sa témérité ce fut le salaire. Sois sage à ses dépens, ne suis que la vertu, Et ne sois point battant, de peur d’être battu. Si tu m’aimes, déteste un crime que j’abhorre. » Le petit vit alors dans la gueule

Le Poison . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .91 L. Ciel brouillé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .93 LI. Le Chat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .94 LII. Le Beau Navire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97 LIII. L’Invitation au voyage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .99 LIV. L’Irréparable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .101 LV. Causerie . . . . . . . .

nuque pèse sur ta douce épaule ; mais nos pensées s’aiment discrètement à travers cette aube bleue, si prompte à grandir… Bientôt la barre lumineuse, entre les rideaux, va s’aviver, rosir… Encore quelques minutes, et je pourrai lire, sur ton beau front, sur ton menton délicat, sur ta bouche triste et tes paupières fermées, la volonté de paraître dormir… C’est l’heure où ma fatigue, mon insomnie énervées ne pourront plus se taire, où je jetterai mes bras hors de ce lit enfiévré, et mes talons

et ma nuque pèse sur ta douce épaule ; mais nos pensées s’aiment discrètement à travers cette aube bleue, si prompte à grandir… Bientôt la barre lumineuse, entre les rideaux, va s’aviver, rosir… Encore quelques minutes, et je pourrai lire, sur ton beau front, sur ton menton délicat, sur ta bouche triste et tes paupières fermées, la volonté de paraître dormir… C’est l’heure où ma fatigue, mon insomnie énervées ne pourront plus se taire, où je jetterai mes bras hors de ce lit enfiévré, et mes talons

morte Voici le gage de mon amour De nos fiançailles Ni le temps ni l'absence Ne nous feront oublier nos promesses Et un jour nous auront une belle noce Des touffes de myrte À nos vêtements et dans vos cheveux Un beau sermon à l'église De longs discours après le banquet Et de la musique De la musique Nos enfants Dit la fiancée Seront plus beaux plus beaux encore Hélas ! la bague était brisée Que s'ils étaient d'argent ou