Le Bel Inconnu

25/10/12 1L Arts plastiques Les deux œuvres comparés ici seront Les trois philosophes de GIORGIONE (Zorzo de Castelfranco de Geoffroy, de son vrai nom) et L’Effigie funéraire de Geoffroy Plantagenet dont l'auteur est inconnu. La première œuvre, la plus récente, est une huile sur toile aux dimensions de 124x145cm datant de 1509 et provenant de Vienne. On y voit trois hommes, le premier en partant de gauche tenant un compas et une équerre, le troisième tenant un manuscrit où l'on vit distinctement

plus prier ». Ainsi on peut supposer que Camille, ne pouvant plus se tourner vers l’Eglise, a succombé aux belles paroles de Perdican. De plus, les actions de Camille montrent de façon encore plus flagrante sa détresse, comme on le voit au début de la scène finale : « elle se jette au pied de l’autel ». Cette hypothèse d’abandon de la religion par Camille au profit de Perdican, du fait des belles paroles de ce dernier est appuyée par son dialogue qui charmera finalement Camille : « Ô mon Dieu, le bonheur

pour montrer le martèlement qui torture B) L'enfermement promiscuité tordre le cou, renverser la nuque = groupes verbaux = promiscuité du lieu, posture d'un corps en souffrance étouffement mortel, l'air ne circulait pas, les ténèbres, un noir inconnu = absence d'air et de lumière = le corps privé d'éléments vitaux et préfiguration de la mort luisaient des blocs de houille, allumés d'un reflet de cristal = termes mélioratifs = associés aux éléments qui occupent tout l'espace // avec le terme noirceur

qui permet une nouvelle naissance, celle qui symbolise le passage entre le connu et l'inconnu, Devant elle, il faut changer : oser la franchir et passer dans une nature inconnue. Qu'y a-t-il derrière cette porte ? Fermée, il suffit de la pousser, elle s'ouvre, c'est communiquer, c'est aussi la jouissance d'entrer dans un lieu inconnu mais désiré. Je frappe à grands fracas trois coups, en apprenti. Je suis debout, fier comme Artaban. Je veux la franchir. Surpris, quelqu'un appuie sur ma tête. Et

qui la voyait, voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses, qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et l'honnêteté , était avec cela une des plus belles filles qu'on 1 eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et, en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse.    

* Rapporteur d’angles ± 0,5° * Règle ±0,5 mm * Compas * Deux bassins semi-circulaires * Boîte à faisceaux * Plaquette à une fente * Deux liquides inconnus * Deux feuilles blanches * Crayons de couleurs Résultats : Tableau de résultats #1 : Angles incidents et réfractés des substances inconnues | Angles incidents ( ͦ) | Angles réfractés ( ͦ) | Angle critique ( ͦ) | | Θ1 | Θ2 | Θ3 | Θ4 | Θ5 | Θ1 | Θ2 | Θ3 | Θ4 | Θ5 | | Substance 1 | 10 | 20 | 40 | 55 | 65

Lorsque que Duroy entre dans le salon, il a l’impression « de pénétrer dans une serre » car « de grands palmiers ouvraient leurs feuilles dans les quatre coins de la pièce », « sur le piano deux arbustes inconnus, ronds et couverts de fleurs, l’un tout rose et l’autre tout blanc » avaient l’air « trop belles pour être vraies ». Mais ce salon est aussi élégant avec de nombreux fauteuils de styles différents. Temps qui s’écoule durant le chapitre Ce chapitre comprend 13 pages (édition Larousse) et correspond

sa cassette, alors que Valère de la fille qu’il aime qui est Elise de la fille de Harpagon. Acte V scène 3 ligne 4 à 7 « Valère_ Un dieu qui porte des excuses de tout ce qu’il fait faire : l’Amour. Harpagon_ Amour ? Valère_ Oui Harpagon_ Bel amour, bel amour, ma foi ! L’amour de mes louis d’or. » (L’Amour : aimé une personne. amour : aimé un bien) La deuxième façon de faire rire passe par les personnages, son caractère, sa manière de parler…Exemple Martine servante de cuisine

son poème du même nom que l’objet : « Horloge ! Dieu sinistre, effrayant, impassible ». Elle est au centre de nos vies et l’est même, telle la divinité mythologique qui a le pouvoir sur nos vies, tout comme sa fidèle, la montre, qui est elle aussi, bel et bien un objet qui incarne la peur du temps qui passe. Notamment chez Dali et ses montres molles, qui nous rendent un malaise certain cette « Persistance de la mémoire », et qui recense des phobies du peintre et sa peur de la mort. Je mets ce tableau

 Samedi 12 juillet 2014 Cher Bel Inconnu, Je ne vous dirai pas tout de suite la raison de l’envoi de cette lettre, de peur qu’ensuite vous n’allez pas jusqu’au bout. Mais ce que je peux vous dire, c’est que je n’arrête pas de repenser à vous, depuis le premier jour de notre rencontre. Je ne sais pas si cela vous est déjà arrivé, de ne plus pouvoir vous défaire d’une idée, ou bien d’un rêve, tellement réel, qu’il vous trotte dans la tête du matin au soir, et qui vous empêche même de dormir