Le Bestiaire ou Cortège d'Orphée

mémoires d'un don Juan » 1903 – 1904 Publie sa propre revue Le Festin d’Ésope. Première version de l'Enchanteur pourrissant. 1907 il quitte le domicile de sa mère au Véniset. 1908 dans la Phalange publication d'onirocritique et du noyau du bestiaire. Apollinaire écrit une préface au catalogue de l'exposition du Cercle de l'art moderne du havre qu'il intitule « Les trois vertus plastique ». A partir de 1909 début de la collaboration en tant que critique d'art à l'intransigeant et au mercure

II - Apollinaire s'inspirant de la légende d'Orphée La légende d’Orphée relate un amour passionnel et tragique entre un poète : Orphée et une nymphe : Eurydice. Cette histoire date de la Grèce antique, et a été transmise oralement par les aèdes (poètes grecs). Plus tard, Virgile (les Georgiques) et Ovide (les Métamorphoses), ont proposé deux interprétations différentes du mythe. Qui est Orphée? Orphée est le fils d’Oegre, roi de Thrace, et de Calliope, muse de l’éloquence. Ayant un don réel

encore que ses contes, pleins de fantaisie et d'humour (l'Enchanteur pourrissant, 1909 ; l'Hérésiarque et Cie, 1910 ; le Poète assassiné, 1916), ses recueils poétiques, d'inspiration autobiographique et où le mystère est une constante (Le Bestiaire ou Cortège d'Orphée, 1911) ; Alcools (1913) ; Calligrammes (1918), constituent une quête constante de la beauté et une tentative d'association immédiate entre l'image et son expression verbale. Porte-parole de la modernité et de la « surprise » (L'Esprit nouveau

Calligrammes, emporté par une grippe infectieuse. → Les parisiens célèbrent la fin de la guerre. II- Ses œuvres : Poèsie : -1898-1913 : Alcools (receuil de poèmes) → Le Pont Mirabeau -1911 : Le Bestiaire ou Cortège d'Orphée -1913-1916 : Calligrammes (receuil de poèmes) → Mai Romans et contes : -1907 : Les Onzes Mille Vergers -1909 : L'Enchanteur pourrissant -1910 : L'hérésiarque et cie -1916 : Le poètes assasiné Théatre

encore que ses contes, pleins de fantaisie et d'humour (l'Enchanteur pourrissant, 1909 ; l'Hérésiarque et Cie, 1910 ; le Poète assassiné, 1916), ses recueils poétiques, d'inspiration autobiographique et où le mystère est une constante (le Bestiaire ou Cortège d'Orphée, 1911) ; Alcools (1913) ; Calligrammes (1918), constituent une quête constante de la beauté et une tentative d'association immédiate entre l'image et son expression verbale. Porte-parole de la modernité et de la «surprise» (l'Esprit nouveau

réalité et de l'imagination poétique. Réminiscences mythologiques En rédigeant le bulletin de souscription où figurent devise et licorne, Apollinaire précise ses intentions et son but : "Les sombres poèmes dont se compose le BESTIAIRE ou CORTEGE D'ORPHEE, de Guillaume Apollinaire, forment une des œuvres poétiques les plus variées, les plus séduisantes et les plus achevées de la nouvelle génération lyrique. Ce recueil très moderne par le sentiment, se lie étroitement par l'inspiration aux

les tranchées il écrit des poèmes érotiques publiés après sa mort en 1955 Poèmes à Lou (cf Louise de Chatillon-Luligny). Autre(s) métier(s) que celui d’écrivain : Précepteur, journaliste, poète, critique d'art, conférencier Œuvres : Le Bestiaire ou cortège d'Orphée (1911) Alcools (1913) Calligrammes (1918) Poèmes à Lou (1955 posthume) Conception littéraire : Il s'inspire de l'Antiquité, de ses déceptions amoureuses, de ses amis perdus au combat pendant la Grande Guerre, de la culture littéraire

d'obus en 1916, il retourne à Paris. Guillaume Apollinaire meurt en 1918 de la grippe espagnole. Il est enterré au cimetière du Père Lachaise à Paris. Bibliographie : Alcools (1913) / Calligrammes (1918) / La femme assise (1920) / Le bestiaire ou le cortège d’Orphée (1918) / Le flâneur des deux rives (1918) / Le guetteur mélancolique (1952) / Le poète assassiné (1916) / Les diables amoureux (1965) / Les mamelles de Tirésias (1918) / Les peintres cubistes (1913) / L'enchanteur pourrissant (1909) /

Orphée dans les poèmes d'Apollinaire Guillaume Apollinaire, dont le nom évoque Apollon, père d'Orphée, s'est-il senti proche du poète mythique ? Nouant avec la tradition ancestrale, il écrit " le Bestiaire ou cortège d'Orphée " en 1911, illustré par des gravures sur bois de Raoul Dufy. Les notes d'Apollinaires et les gravures de Raoul Dufy sont éditées dans le recueil " Alcools " par la nrf, Poésie/Gallimard. Le cycle de poèmes présente de façon rythmique Orphée, en le reliant directement à la

fois illustré par Derain, un ami de son groupe d'artistes. Apollinaire donne quelques conférences et devient critique d'art dans L'intransigeant et Au Mercure de France. Il publie ses poèmes dans La Phalange. En 1911, publication de Le Bestiaire ou Cortège d'Orphée, illustré par des gravures de Raoul Dufy. Cette année là il est soupçonné du vol de la Joconde et est inculpé durant cinq jour jusqu'à la preuve de son innocence. 
En 1912, il fonde la revue Les Soirées de Paris avec Salmon, Tudesq, Dalize