Le Bleu Dans Bovary

lendemain. Baudelaire à propos musique de Wagner : « Dès les 1ères mesures, les nerfs vibrent à l’unisson de la mélodie » André Breton « les mots ft l’amour entre eux » Sigmund Freud « on ne nait pas femme, on le devient » Paul Eluard « le ciel est bleu comme une orange » ŒUVRES ETUDIEES EN COURS, BUT ECT … Le Lac, (1820- XIX) poésie. Alphonse de Lamartine du recueil Médita° poétiques. Poète réfléchît sur ses faiblesses envers le tps. Lac= passerelle entre bonheur perdu et poète (lien entre passé

Contes de la Bécasse Chapitre 2 Corpus de textes : le réalisme de Balzac à Maupassant A. Lectures analytiques Texte 1 : Mérimée, Matéo Falcon Texte 2 : Balzac, Le Cousin Pons Texte 3 : Musset, Histoire d’un merle blanc Texte 4 : Flaubert, Madame Bovary Texte 5 : Flaubert, Un cœur simple B. Étude d’une nouvelle de Maupassant : Pierrot • Faire apparaître les caractéristiques de ces genres narratifs • Apprendre à expliquer le texte narratif Introduction A. Présentation B. Comment définir le

Problématiques du cours Chapitre 2 Corpus de textes : le réalisme de Balzac à Maupassant A. Lectures analytiques Texte 1 : Mérimée, Mateo Falcone Texte 2 : Balzac, Le Cousin Pons Texte 3 : Musset, Histoire d’un merle blanc Texte 4 : Flaubert, Madame Bovary Texte 5 : Flaubert, Un cœur simple B. É  tude d’une nouvelle de Maupassant : Pierrot Chapitre 1 Découvrir les caractéristiques du roman et de la nouvelle réalistes A. L es théoriciens du mouvement réaliste B. Les décors et les thèmes

réalisme et le romantisme. Le ton de l'extrait est plutôt romantique. 1er axe : - Coté statique : "assise", gardait la même attitude". Verbes purement descriptifs, à l'imparfait : "semblait" - Coté pictural : Champ lexical de la couleur : "roses, bleu". Impression d'éléments posés devant un décor. 2ème axe : - Concentré sur les manoeuvres employées par le focalisateur : il adopte une stratégie : "dissimuler sa manoeuvre", "affectait d'observer". - Présentation de la jeune femme par rapport

Musset, Lorenzaccio (1834) ou Confessions  d’un  enfant  du  siècle (1836) Gautier, Mademoiselle de Maupin (1835) (préface) Nerval, Sylvie (1853) ou Aurélia ou le rêve et la vie (1855) *Baudelaire, Les Fleurs du mal (1857/1861) *Flaubert, Madame Bovary (1857) ou L’Éducation  sentimentale (1869) Verlaine, Fêtes galantes (1869) ou Romances sans paroles (1874) *Zola, L’Assommoir  (1877) et La Curée (1871) ; ou Nana (1880) et Germinal (1885) Barbey  d’Aurevilly,  Les Diaboliques (1874) Maupassant

l’expliquer à des générations d’étudiants. Historien des sciences et agrégé de philosophie, il enseigne toujours, à plus de 80 ans. Ce prof baroudeur, académicien pas tout à fait comme les autres, scrute les transformations du monde et des hommes de son œil bleu et bienveillant. Son sujet de prédilection : la jeune génération, qui grandit dans un monde bouleversé, en proie à des changements comparables à ceux de la fin de l’Antiquité. La planète change, ils changent aussi, ont tout à réinventer. « Soyons indulgents

qu’il regrette puisqu’il attend le retour de la fillette avec impatience : « attendit Jeanine, espéra Jeanine, appela Jeanine de tout son cœur […] pleura Jeanine, etc »(pages 85 et 86). Mais Jeanine ne tarde pas à revenir à la charge avec sa « culotte bleu roi » à la page 94 et ses provocations : « Toi, t’as jamais vu une zizoute de fille, hein ? » ce qu’elle fini par lui monter à la page 101. Pour l’auteur, c’est un choc, mais il a longtemps gardé la culotte de Jeanine, et garde d’elle un souvenir tendre

rythme à ce que j’étais en train d’écrire ; Je me suis fixé des règles aussi strictes que celles du sonnet. J’ai écrit d’autres romans avec cette idée du rythme, cette intention de faire du roman une sorte de poème ». L’analyse formelle des Fleurs Bleues parues en 1965 souligne l’important travail sur la structure du roman : le Duc d’Auge apparait en 1264, 1439, 1614, 1789 et 1969. Ces cinq apparitions s’étalent sur sep cent ans et sont séparées par des intervalles réguliers de 175 ans. On a affaire

force ou leur séduction : mais aussi par sa plénitude inéluctable la photographie arrête ma rêverie. C'est une des raisons pour lesquelles – on l'a dit souvent – l'adaptation d'un roman à l'écran est presque toujours regrettable. Le visage d'Emma Bovary est indéfini et multiple, son malheur déborde son cas particulier ; sur l'écran je vois un visage déterminé, et cela diminue la portée du récit. Je n'ai pas ce genre de déception quand l'intrigue a été 1 conçue directement pour l'écran ; il me plaît

oubliées là depuis vingt ans s’y étalent le long de minces planches peintes d’une horrible couleur brune. Une marchande de bijoux faux s’est établie dans une des armoires ; elle y vend des bagues de quinze sous, délicatement posées sur un lit de velours bleu, au fond d’une boîte en acajou. Au-dessus du vitrage, la muraille monte, noire, grossièrement crépie, comme couverte d’une lèpre et toute couturée de cicatrices. Le passage du Pont-Neuf n’est pas un lieu de promenade. On le prend pour éviter un détour