Le Bleu du ciel

et des accapareurs. Nous sommes libres, nous ! Nous avons des terreurs Où nous nous sentons grands, oh ! si grands ! Tout à l'heure Je parlais de devoir calme, d'une demeure... Regarde donc le ciel ! - C'est trop petit pour nous, Nous crèverions de chaud, nous serions à genoux ! Regarde donc le ciel ! - Je rentre dans la foule, Dans la grande canaille effroyable, qui roule, Sire, tes vieux canons sur les sales pavés : - Oh ! quand nous serons morts, nous les aurons lavés ! - Et si, devant

bâtiment est traversé par la couleur bleue du ciel qui apparaît aux vitraux avec une nuance outremer foncé. On trouve sous des touches de formes différentes l’ocre dans les parties ensoleillées de l’herbe mêlé à des touches de vert. L’église qui est à contre jour fait une ombre sur l’herbe où le peintre a déposé de petites touches de blanc qui représentent des fleurs. Ces couleurs apportent de nombreux effets de contrastes : les coins sombres du ciel ; les arêtes du bâtiment soulignées par un

voir qu’un tableau tout bleu, mais ce bleu, comme l’a expliqué Klein, représente l’immatériel. Il faut savoir que lors de sa mise en exposition, il était installé sous forme d’un triptyque avec un tableau rose, un doré et le monochrome bleu. Le rose représente le corps, le doré …. Et le bleu c’est donc l’immatériel. C’est une couleur qui, contrairement au autres tel que le vert ou le rouge auxquelles on peut associer plein d’éléments naturels, nous rappelle tout au plus le ciel et le mer, mais ce sont

1er plan. Impression du ciel en feu. On dirait que la tete du perso est éclairée de l’intérieur. Rapport frontal violent du perso au spectateur. Forme d’identification ? Composition : Le perso occupe la moitiée du plan. Le ciel occupe l’autre moitié et paraît plombant. Les grandes lignes : la passerelle en point de fuite. La profondeur vient de ce faisseau de lignes, tout les reste est ondulé. Le perso fait écho au ciel. Les étagements de couleurs : perso au 1er plan bleu avec tete jaune puis passerelle

associé une note dans un de ses journaux a propos de cette oeuvre: « J'étais en train de marcher le long de la route avec deux amis - le soleil se couchait - soudain le ciel devint rouge sang – j'ai fait une pause, me sentant épuisé, et me suis appuyé contre la grille - il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville - mes amis ont continué à marcher, et je suis resté là tremblant d'anxiété - et j'ai entendu un cri infini déchirer la Nature ». C'est une composition

second plan il y a un arbre qui semble transpercer la terrasse, c’est un arbre mort sur la branche unique du quel est suspendu une montre. A l’arrière plan sur la gauche, un rectangle bleu dont on ne voit que le coté droit, pourrai représenter la surface d’une piscine. A droite et au fond du tableau, sous un ciel bleu et blanc. Les couleurs sombre du parallélépipède, les couleurs froides des montres molles. le gris de la tête et de l’arbre mort crée une atmosphère terne voir sombre. Seule la montre

cercle vicieux auquel on ne peut échapper. A propos de son œuvre, Edvard Munch écrit : « Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait. Tout d'un coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. Mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété. Je sentais un cri infini qui se passait à travers l'univers et déchirait la Nature. » C'est une

contestée. Prenez l'exemple d'un individu à qui l'on demande la couleur du ciel. Il est fort probable que ce dernier, ayant pris conscience de la réalité vous réponde que le ciel est bleu. Pour autant, ses propos ne peuvent être considérés comme vrais car la couleur bleu provenant du ciel n'est que le résultat de la diffusion de la lumière solaire dans l'atmosphère. Sans ce phénomène, nous pourrions voir les étoiles en plein jour. Le ciel n'a donc aucune couleur spécifique. Descartes expliquait également

effet, il représente une sorte de terre craquelée aride jaune mélangé avec du vert, sous un ciel bleu. Les lignes de forces du tableau sont des lignes plus ou moins droites. Il y a deux plans : au premier, Frida, et au second le champ et le ciel. Le personnage est au centre, il prend presque toute la place. Il y a des lignes horizontales au second plan, avec la ligne d’horizon (démarcation entre le ciel et le champ) et les fentes dans le champ Au premier plan les lignes horizontales sont reprise

couleurs, la lumière, le mouvement. Il s’agit d’un portrait effectuer en plein aire. Le tableau est dominé par des tons pastel et des transparences blanches aux reflets délicats renvoyaient par la lumière d’un jour d’été, le foulard bleu, l’embrelle vert palle, bleu du ciel, des nuages blancs et les herbes aux tons multicolores soumis aux effets changeants de la lumière On observant ce tableau on peu se demander d’ou vient la lumière et comment le peintre rend t il les effets de lumières ? La lumière