Le Bonapartisme De

d’élaboration. Il y a ensuite la présentation de la nouvelle constitution au peuple, par le Général De Gaulle, le 4 septembre 1958, place de la République. Il utilise d’ailleurs une mise en scène pleine de symboles, afin de répondre aux accusations de bonapartismes proférées par l’extrême gauche contre lui depuis le 13 mai 1958. Le choix de la date correspond à l’anniversaire de la proclamation de la IIIe république par les députés républicains de Paris en 1870. La place de la République est dédiée au régime

1814-1848 : I. Quelle restauration ? (1814-1827) 1. De la première à la seconde restauration. La charte de 1814 : 2/ Quelle interprétation de la Charte ?  Les Ultra-royalistes  Les royalistes ou les constitutionnels  Les libéraux  Le bonapartisme  Les républicains II. Entre crises et révolutions de la restauration à la monarchie de juillet (1827-1832). 1/ Charles X contre la monarchie parlementaire. 2/ Le temps des désillusions. III. La stabilisation (1835-1846) 1/ Les cadres de

monarchiste mais reconnaît la Révolution et assume son héritage libéral et parlementaire. Suffrage censitaire plutôt que suffrage universel. Orléanisme de pouvoir (Louis-Philippe), autoritaire, / Orléanisme d'opposition, plus libéral. c. Le bonapartisme , met en avant la personne du souverain, l'exercice solitaire et autoritaire du pouvoir. Mépris des hiérarchies naturelles et la recherche permanente du soutien des masses populaires (plébiscite). Reconnaît le suffrage universel (NIII) mais se

lui donne les moyens d’entrer dans la modernité par l’aménagement d’infrastructures de transports dans tout le pays. Le second Empire établi par Napoléon III est pensé comme une restauration du premier empire de son oncle napoleon 1er : c’est les bonapartisme : système de gouvernement inité par Napoléon 1ER et pratique par Napoléon III, marqué par l’attachement à un pouvoir exécutif autoritaire. C’est un régime autoritaire puisque la constitution accorde à l’empereur tous les pouvoirs : pouvoir exécutif

absout ») Une nouvelle constitution est votée dans laquelle est précisé le mandat du président : 10 ans et pst rééligible. Le 2 décembre 1852, l’empire est proclamé. Bilan de la seconde République : 1. Renforcement de 2 courants pols : le bonapartisme comme pensée pol originale associant la légende doré de l’oncle et le principe d’ordre et d’autorité (la gloire de L-N liée au souvenir de l’oncle) / union des droites car peur sociale : formation du parti de l’ordre (des notables). 2. Affirmation

Champ de bataille d’Eylau de Gros, au Triomphe de Trajan, opéra de Lesueur aujourd’hui bien oublié mais qui eut un énorme retentissement, à l’arc de triomphe du Carrousel, à la colonne Vendôme, qui devient à partir de la Restauration le symbole du bonapartisme. Le catéchisme impérial enseigné obligatoirement à tous les enfants surpasse les autres moyens de propagande. Ainsi Napoléon invente t-il la propagande moderne, chère aux régimes totalitaires. De son vivant, il a voulu s’imposer comme l’héritier

l’apprentissage de la Démocratie. Mais cette réaction est faible : le régime est déconsidéré, parce que la province avait divorcé de la capitale. 21 et 22 décembre 1851 : un plébiscite est soumis au peuple, il est approuvé à une écrasante majorité. Le Bonapartisme est ambigu, il conjugue autorité et démocratie, reposant sur l’idée d’un système impérial qui est le fait deNapoléon Ier, dans le sillage duquel se pose Napoléon III. Le césarisme démocratique (1852- 1870)[modifier | modifier le code] Article

plus, à la fin du siècle à la suite des élections de 1876-77 qui furent un fiasco pour la droite, les difficultés s’accumulent, à travers la mort du prince impérial et de Chambord, respectivement en 1879 et 1883, qui affectent terriblement le bonapartisme et le légitimisme, de même qu’au travers d’une forte vague anticléricale. Les droites traditionnelles affirment leurs idéologies, mais elles ont du mal à les faire accepter à la société, elles défendent des intérêts communs mais leurs points

prétendant avoir défendu la ville de Plassans (berceau des Rougon-Macquart) de la menace républicaine, en fait inexistante. Aristide avait quant à lui misé sur l'échec du coup d'État de Napoléon III, ce en quoi il eut tort, mais se convertit illico au bonapartisme avec l'aide de son frère Eugène, bonapartiste de la première heure et monté à Paris pour y réussir une carrière politique. A la fin de ce premier roman, Aristide s'apprêtait lui aussi à monter à Paris. Au début de La Curée, nous le retrouvons sous

de collèges électoraux censitaires limitent singulièrement la voix populaire. Mais les plébiscites, donnent sa légitimité à Napoléon Bonaparte. Le premier consul se place au dessus des partis, « je suis national » qui est une caractéristique du Bonapartisme. La paix signée par Bonaparte avec les russes, les autrichiens et surtout avec l'Angleterre lui donne un tel prestige qu'il est nommé consul à vie avec la contribution de l'an 10 (1802) 2. Un empereur sacré (1804) Avec la constitution de l'an