Le Bonapartisme De

elle affirme son unité face à la gauche, n’en demeure pas moins divisée ; et au niveau de l’extrême droite qui en extrayant de sa doctrine les éléments susceptibles de convaincre une plus grande partie de l’électorat, se rapproche faussement du bonapartisme. Enfin, les deux auteurs mettent l’accent sur les bouleversements institutionnels qu’a connu la Vème république depuis les premières cohabitations, qui ont permis de mieux saisir la véritable logique du régime et de ses institutions notamment

l’abrogation de la loi du 31 mai 1850. De nombreuses arrestations d’opposants à Louis-Napoléon Bonaparte ont lieu pendant la nuit. Malgré certains appels au peuple pour empêcher le coup d’Etat, la population reste attentiste en partie à cause du bonapartisme populaire. De maigres révoltes ont lieu et sont immédiatement réprimées, dès lors, le peuple n’oppose plus aucune résistance. Les résistances en province : Si le coup d’Etat s’est passé sans encombres à Paris, la province a failli le faire échouer :

Dès Octobre 1849, Louis-Napoléon Bonaparte affirme que désormais il choisira ses ministres comme il le souhaite. Il refuse alors le parlementarisme et instaure une forme d'autoritarisme dans son gouvernement. Il prépare donc un retour logique au bonapartisme. Il ne s’est jamais confondu avec la majorité conservatrice : ses idées sociales, le lustre de l’héritage napoléonien le distinguent du parti de l’Ordre. Il trouve alors l’occasion de jouer son propre jeu par les divisions des deux camps : la gauche

Français votent massivement pour une élection du président au suffrage universel, et la révision constitutionnelle est promulguée le 6 novembre 1962. François Mitterrand, quant à lui, parle de « coup d'État permanent »: De Gaulle est accusé de bonapartisme et de césarisme. De Gaulle prit différentes mesures économiques pour revitaliser le pays, notamment l'introduction du nouveau franc. Politique internationale : « une certaine idée de la France » Sur la scène internationale, refusant la domination

par référendum (article 11) qu’il utilisera 5 fois en 11ans comme en 1962 pour faire élire le président au suffrage universel directe. Cela marque la volonté gaullienne d’avoir l’approbation du peuple, leur confiance. On peut rapprocher cela du bonapartisme avec le plébiscite. Enfin la capacité à prendre les pouvoirs spéciaux en cas de crise grave (article 18), il détient alors tous les pouvoirs comme durant la prise de pouvoir des généraux en Algérie en 1961. Cependant, la recherche de la confiance

prises sur l'île lui ont ensuite servit à rédiger son ouvrage Mémorial de Sainte-Hélène. Il présente Bonaparte comme l'homme qui a voulut continuer la Révolution, en souhaitant la liberté du peuple ainsi que son bonheur. Ce livre pose les bases du bonapartisme, c'est à dire de l'idéologie politique s'inspirant de Napoléon. Las Cases En peinture L'art pictural a toujours contribué au mythe napoléonien, et ce déjà de son vivant. Bonaparte a été représenté de manière grandiose

présidentielle→ Ledru-Rollin est moqué car il est conseillé par une femme George Sand l’intectuelle qui milite pour la cause des femmes et sociales Louis-Napoléon Bonaparte → élu président de la République avec 75 % des voix→ grâce à une nostaligie du Bonapartisme Lamartine et Ledru-Rollin échouent + 25 % des français se sont abstenus Louis-Napoléon Bonaparte→ président conservateur mais influencé par le Saint-Simonisme1850 → 1/3 des électeurs perdent leur droit de vote à cause d’une nouvelle loi→ il faut

figure, lors de la seconde république, la première fois que le premier président soit élu au suffrage universel (Bonaparte), et fait un coup d'état lorsqu'il doit abandonné le pouvoir en rétablissant l'empire. De Gaulle fut donc accusé de faire un bonapartisme. Tout les parties politiques (sauf l'UNR) s'oppose à cette réforme et accuse De Gaulle de pouvoir personnel. Celui qui va le plus loin est un homme politique peu connu, c'est le second personnage de l'état ( président du sénat) Gaston Monnerville

rendre le peuple législateur par une pratique à tendance plébiscitaire. La fréquence du recours au référendum durant les premières années de son application conduisaient l’opposition à considérer que le texte et le pratique se résumaient dans un bonapartisme plébiscitaire, ce qui a pu être reproché au général de Gaulle en 1962 et 1969 car l’utilisation de l’article 11 qu’il en a fait a été déclaré comme étant inconstitutionnelle, l’article 11 n’a pas pour but initial de réviser la Constitution. Depuis

totale. Politique étrangère (sauf UE)= consensus nat°. clivages en politique intérieur : détériorat° situat° éco dès 1963, avec grève des mineurs= signal alarme que CDG perçoit pas. utilisation abusive TV, pouvoir monopolise, gaullisme = bonapartisme. Élect° prés de 1965 = + qu’1 avertissement. CDG ≠ campagne au 1e tour, attitude méprisante, mis en ballotage par double opposition = Mitterrand (candidat unique de la gauche) et l’Européen Jean Lecanuet. Élect° 1967= confirment recul gaullisme