Le Bonheur Chez Karl Marx

vérité. • On peut au contraire voir dans la conscience le résultat d'une histoire ou d'un processus. Cette histoire peut être naturelle (l'évolution des espèces, établie par Darwin), elle peut être sociale (comme chez Marx) ou en encore psychologique (à partir de l'inconscient, comme chez Freud). La conscience morale • Au sens moral, la conscience est la faculté de juger d'après des valeurs. • On peut considérer la conscience morale comme un surmoi social, résultant de l'assimilation profonde

dans l’activité commerciale, c’est parce qu’il est impossible d’énoncer la valeur en elle-même. Par conséquent, énoncer la valeur, c’est dire le prix de la chose acquise. Ayant donc en point de départ chez Galiani, prolongé par Turgot, la conception de la valeur trouvera un point d’aboutissement chez l’abbé de Condillac. Condillac note que les besoins de l’Homme sont la cause unique de tous les phénomènes. Pour Condillac, qui expose une théorie subjective de la valeur, une chose à une valeur lorsqu’elle

saboter son travail. Il dénonce la perte de la biodiversité des espèces végétales, il donne l’exemple des pommes, il en existait 60 espèces, il n’en reste aujourd’hui que trois sur le marché. Il parle aussi de l’augmentation des cancers de toutes sortes chez les jeunes adultes. Il dénonce en outre les stratégies peu scrupuleuses de la publicité, il existe des machines à laver incassable mais personne ne veut les commercialiser. Pour lui le monde est artificiel, il créé le besoin et le consommateur achète

il va chercher la cause dans une chose extérieure au monde même. La raison d'être du monde chez les Grecs était l'immortalité de ce monde par exemple. Dans le monothéisme, le monde n'a pas toujours existé et la raison même du monde est créatrice, dans ces religions, Dieu crée ex nihilo. Dans le monde polythéiste, Dieu crée à partir de ce qui existe. Il est ainsi fabriquant, tandis qu'il est créateur chez les monothéistes. Pour ce qui nous intéresse, la séparation entre le profane et ce qui est sacré

ECONOMIE Histoire de la pensée économique Introduction La réflexion économique apparait déjà chez les philosophes grecs (Platon - 7ème siècles avant JC ; Aristote – 4ème avant JC) qui étudient l’économie ou la gestion de la cité. Au moyen âge, la morale chrétienne inspire la pensée économique comme chez Augustin philosophe du 4ème siècles ou Saint Thomas d’Acquin du 13 ème siècle ou encore Nicolas Oresme du 14 ème siècle. Entre le 16ème et le 18ème siècle, les mercantilistes préconisent

dans la logique du contrat social, que l’on trouvera par exemple chez Montesquieu consiste en une fable qui dit qu’à l’origine les individus vivaient isolés et qu’un jour ils ont abandonné cet état de liberté naturelle ou une partie de cet état pour faire société à condition bien sûr que cette société leur garantisse ce qu’on appelle aujourd’hui les droits de l’Homme. Chez Rousseau et Montes ce contrat social est optimisme, pas chez Hobbes. Pour Durkheim il s’agit dans le contrat social d’une inversion

alors que celui des humains reste très subtilement choisit et obéit à une volonté pensée. L'Igloo est différent du château. Le travail est donc propre à l'Homme car il est réfléchi et non sous l'emprise de l'instinct, contrairement aux animaux. Karl Marx explique : «  Le travail est de prime abord un acte qui se passe entre l’homme et la nature... Notre point de départ, c’est le travail sous une forme qui appartient exclusivement à l’homme. Une araignée fait des opérations qui ressemblent à celles

de Speenhamland, du nom du district qui l'a initialement mis en place en 1796). Opposé aux lois sur les pauvres, Malthus propose donc un plan pour les abolir graduellement. Les arguments qu'il développe trouvent encore aujourd'hui un certain écho chez les libéraux quand il s'agit de réduire le chômage. Les pauvres soumis à ces lois "tyranniques", qui réduisent les inégalités, sont incités à la paresse. Malthus considère "qu'il faut désavouer publiquement le prétendu droit des pauvres à être entretenus

paradigmes (ensemble de pensées et de concepts) c'est-à-dire des ensembles structurés de concepts, des corpus théoriques. On distinguera : * Le paradigme néoclassique : nouveau * Le paradigme keynésien : de Keynes * Le paradigme marxisme : de Marx L’économie est en effet souvent présentée comme la science de l’allocation optimale de ressource rare. Dans la mesure où l’activité économique vise à satisfaire des besoins qui eux sont limité. Des phénomènes de rareté se produisent, auxquelles

hiérarchique. L’auteur définit le piston comme étant les rapports d’un employé, par parenté, alliance ou amitié, avec une personne qui lui est supérieure dans la hiérarchie. L’ascension au sommet grâce au piston est une chose que nous détestons et reprouvons chez les autres. Les collègues du pistonné le haïssent et ne se gênent pas pour le dire et pour faire des réflexion sur son incompétence. Paradoxe de Peter: dans une hiérarchie, les employés ne sont pas vraiment opposés à l’incompétence, ils se contentent