Le Bonheur Dans Les Liaisons Dangereuses

Questions sur les Liaisons Dangereuses Le libertinage : a) Le mot libertin vient du latin « libertinus » qui signifie « esclave qui vient d’être libéré, affranchi ». Le libertin au sens du XVIIIème siècle, est celui qui remet en cause les codes sociaux : il ne croit pas en Dieu et ne respecte pas les règles de l’Eglise, les croyances et les valeurs chrétiennes telles que la fidélité, la vertu. b) Le libertin est en quête permanente du plaisir charnel. Il aime le luxe et passe son temps

antithèses suivantes (l. 14-16) : tromperies/honnête, infidélité/vertu. Elle prône la lucidité, et « une extrême défiance de soi-même » (l. 18-19). La seule façon pour la mère de l’héroïne d’être vertueuse est de « s’attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d’une femme, […] aimer son mari, et en être aimée. » b) Vision de la cour et des hommes en particulier Le regard de la cour est primordial : « les yeux de tout le monde », « l’on doit croire », l’emploi du verbe modal « devoir » insiste sur

Certains auteurs partagent une conception du roman qui les amène parfois à concevoir des personnages mauvais et à les présenter comme un repoussoir, afin d’offrir au lecteur l’exemple à ne pas suivre. Choderlos de Laclos affirme avoir écrit Les Liaisons Dangereuses, dans l’optique de combattre l’ignorance des jeunes filles, responsables face au mal. C’est pour cette raison que la fin de son roman se veut morale, puisque les méchants sont punis. Le marquis de Sade atteint le paroxysme du roman immoral

comme les avancées de la science, parce qu'il exposait la doctrine du matérialisme de Locke, tout en affirmant (à propos d'une lecture des Pensées de Pascal) une foi optimiste en la nature humaine. Le livre fut interdit pour ses idées réputées dangereuses. Voltaire décida de braver l'interdiction et, menacé d'être arrêté, il fut contraint de s'exiler en Lorraine, à Cirey, chez son amie Mme du Châtelet. La publication des Lettres philosophiques donna le coup d'envoi du combat que Voltaire mena sa

période de rencontres d'éssais d'écriture , puisqu’il devient en 1907 l’ami de Picasso Il choisit alors de vivre exclusivement de sa plume, et finit par rencontrer Marie Laurencin, avec qui il formera le couple le plus légendaire. En 1913, la fin de la liaison avec Marie Laurencin coïncide avec une grande période d’engagement et d’écrits sur l’art . Il se place alors comme le poète défenseur des avant-gardes, en lien direct avec ses nombreux amis peintres. C’est dans cette logique avant-gardiste que paraît Alcools

Crébillon, Les Egarements du Cœur et de l’Esprit - R. de la sensibilité :Bernardin de St-Pierre, Paul et Virginie. - R. épistolaire : - Montesquieu, Lettres persanes (1721) - Rousseau, La Nouvelle Héloïse (1761) - Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782) - Mémoires fictifs : - Marivaux : La Vie de Marianne (1731-41) - Diderot : La Religieuse (1760) - Richardson : Pamela ou la Vertu récompensée (1740) Clarisse Harlowe (1748) (romans épistolaires)

d’enfance par Perec.- Récits de fiction. Roman Piquaresque- Trois mousquetaires de Dumas- tjr un personnage.- Conte de Monte Cristo.- Debut du pp central- Lintrigue se lie autour de lui. Dès 18eme- roman mémoire, libertin, épistolaire, [Liaisons Dangereuses] Jacques le fataliste- In medias res- Pas miroir de la société, décousue, projet romanesque , stop avant, la il faut faire réfléchir le lecteur, pas de mise en contexte. Le lecteur s’identifie a lui. I) Le personnage de roman, miroir

les correspondances privées des écrivains et des philosophes. Mais le genre épistolaire rend surtout compte des mœurs de ses contemporains et Laclos se pose alors en tend que moraliste. Il dénonce les liaisons sociales et amoureuses contractées imprudemment par des hommes et des femmes dangereuses. L’auteur rejoint l’objectif principal des Lumières, à savoir d’éclairer les hommes sur le monde qui les entoure, même si cet univers se restreint au culte du paraître et à l’hypocrisie sociale. Laclos

cette nouvelle vie. Il tombe sous le charme de Mme de Rênal et devient son amant. Mme de Rênal l'initie aux intrigues de la petite ville et aux mesquineries de la bourgeoisie locale. Grâce à la tendresse qu'elle lui manifeste Julien connaît alors un bonheur éphémère. A l'occasion de la visite d'un roi à Verrières, Julien le cœur empli de joie et de fierté défile à cheval, dans un bel uniforme. Cette soudaine ascension sociale fait jaser dans la petite ville. La maladie de son jeune fils réveille les

séduit par des paroles comme lors du discours lors des comices agricoles, c’est d’ailleurs un piètre séducteur davantage intéressé par l’issue de la séduction, c’est-à-dire consommer son plaisir avec Emma, il est à l’image de Valmont dans les Liaisons Dangereuses, un être comblé par le simple plaisir de la chair dont Emma est ici sa victime. Quant à Léon, lui, partage son goût pour le romantique avec Emma, ils aiment tous les deux les livres, leur relation n’est pas passionnelle et Léon est plus timide