Le Bonheur Divin Aristote

entre obéissance comme contrainte et obéissance à soi. Erasme: (De la Civilité Puérile): Faire la différence entre civilité et éducation. Aristote et l'éducation: Aristote (Ethique à Nicomaque): Manuel d'enseignement. Rousseau et l'éducation: Jean-Jacques Rousseau (Emile ou de l'Education): Manuel d'enseignement. Renversement par rapport à Aristote. Renvoie à l'individu. Conscience doit être éduquée. Henri Bergson (La Politesse): La politesse de l'esprit n'est guère autre chose qu'une

Sa Vie : En 384 av J-C, Aristote naît à Stagire, petite ville de Macédoine. Son père était le médecin du roi, ce qui explique en partie les relations privilégiées qu'Aristote aura avec la cour de Macédoine. A dix huit ans, il va faire ses études à Athènes. Il entre dans l'école de Platon (l'académie). Brillant disciple du maître, il en deviendra l'assistant. En - 347, Platon meurt et son neveu Speusippe lui succède à la tête de l'Académie. Aristote quitte Athènes pour Assos où il

dieu les hommes pensent la bonté au superlatif. Ils se représentent une perfection, quelle que soit la vertu envisagée. En témoignent les expressions : « il est beau comme un dieu », «  il chante comme un dieu ».    Dans l’antiquité on parlait du divin Platon. Dire que l’homme est un dieu pour l’homme revient à pointer toutes les situations où l’homme est pour son semblable une chance, une valeur suscitant l’admiration, la reconnaissance, le désir de lui rendre hommage.    Ce grand bien, l’homme

monde matériel des atomes. Ils sont en dehors et n'y interviennent pas. Pour les hommes, il s'ensuit que les dieux ne peuvent rien faire, ni mal, ni bien. Ils n'ont donc pas à en avoir peur. Conséquence finale : Le bonheur de l'homme n'est pas dépendant de la mort ou des dieux. Le bonheur paraît donc possible et est à trouver ailleurs, c'est-à-dire dans le plaisir des sens, point qu'il faudra approfondir, spécifier, analyser. Il se servait de la théorie des atomes de Démocrite pour conforter les

est incarnée par Platon (428-347 av. J.-C.); elle est exprimée en particulier dans la République, mais se rencontre aussi dans le Politique ou les Lois. Politique manqué - à son corps défendant -, Platon trouve dans la philo­sophie, et avec quel bonheur pour la postérité, un exutoire à l'action qu'il n'a pu mener. C'est dire l'importance que tient dans son œuvre la réflexion sur la politique, qu'il faut se garder de considérer comme un simple appendice d'une pensée philosophique dont le caractère

pour certains, la véritable voie de salut. Les Anciens estimaient qu’une vraie vision du divin, comme seule la philosophie pouvait l’offrir, ne pouvait qu’influencer profondément celui qui en avait bénéficié, au point de le pousser radicalement à changer sa manière de voir la vie et le monde. En effet, celui qui avait contemplé la perfection de la nature divine devait forcément chercher à imiter Dieu ou le divin dans sa propre vie. En étudiant les différents moralistes païens, nous pouvons remarquer

premier temps autour des limites humaines puis autour des limites de l’Etat. L’homme a comme finalité une recherche continuelle du bonheur. En effet, pour Aristote, l’Homme ne vit que pour acquérir ce bonheur. L’Homme est libre de faire des choix et de poser des actes qu’il souhaite car sa vie est comme une page blanche qu’il écrit lui-même. Or dans sa recherche du bonheur, au cours des siècles, l’Homme s’est battu pour une valeur : la liberté. La liberté avant le XVIIIe siècle n’était pas innée c'est-à-dire

Théologie vient du grec theos qui signifie Dieu et logos qui prend le sens de science = c’est donc la science des choses divine. Cette science fait partie de l’architecture des savoirs. L’H est un animal rationnel cad qu’il a le logos cad la raison, l’intelligence, cad quelque chose qui dépasse ce qui est uniquement matériel, tout ce qui se réduit à du chimique. Cette intelligence caractérise cet animal que l’on appelle l’h et qui se distingue de tous les autres animaux grâce au logos. La raison

Pour Platon, Le Bien est l’Idée suprême qui est au-delà de l’être et source de l’existence et de l’essence de tous les êtres intelligibles. Aristote affirme quant à lui que le Bien (le « souverain Bien ») est la fin (au sens de finalité) de tout ce qui advient dans le monde. D’un point de vue empirique, le premier Bien c’est le plaisir. Malebranche écrit ainsi « Il faut dire les choses comme elles sont : le plaisir est toujours un bien » car « le plaisir rend heureux celui qui en jouit, du moins

qui sera seul capable d'instaurer ce qui est le but de Platon , un homme heureux , une cité juste . L'homme heureux pour Platon est un homme vertueux et moral . Platon va viser le bien collectif , parce que c'est le bien collectif qui donnera le bonheur individuel . Pour nous c'est l'inverse . C'est l'instauration de l'ordre qui fera le bien de tous . Il y a qu'une seule limite c'est la religion . L'État s'occupe de tout sauf de la religion . L'État n'est pas au dessus de la religion . La politique