Le Bonheur Est Inaccessible

et chrétienne. Le texte que nous allons étudier traitant du bonheur est un extrait de "Ethique à Nicomaque" (livre X, chapitre 6). En effet, selon Aristote, le bonheur est le but de la vie humaine, le bonheur c'est une fin en soi, il n'y rien au-delà du bonheur. Dans cet extrait, il va donc définir le bonheur en le distinguant des nombreuses formes avec lesquelles on pourrait le confondre, en particulier l'amusement, selon lui le bonheur ne correspondrait pas à l'amusement, comme on aurait tendance

plus de désir à assouvir: il n'y a plus de bonheur. Le bonheur est donc pour Rousseau le fait d'espérer d'être heureux, l'illusion d'être proche d'obtenir ce que l'on souhaite. Cette thèse peut être articulée en 3 parties: la première partie, des lignes 1 à 4, où Rousseau délimite le désir: ce qui l'amène à son terme, c'est sa réalisation. Et pendant qu'il subsiste, l'espoir de pouvoir l'accomplir suffit à lui même et fait atteindre une sensation bonheur, certes illusoire. puis, la deuxième partie

évidence les 2 parties de l’anecdote. « Un éclair… puis la nuit ! Fugitive beauté » (vers 9) résumé métaphorique de leur rencontre, phrase nominale qui est construite sur une antithèse : éclair et nuit. La lumière éblouissante, fugitive, retrace le bonheur entraperçu grâce à la passante, tandis que la nuit symbolise le désespoir, une où sans amour. Figure de style rencontrée : l’aposiopèse = interruption brusque d’une construction d’une émotion, d’une menace ou une hésitation. L’exclamation désespoir

couleur de miel " , vers la fin c’est avec une fleur qu’elle fait la comparaison : " petite fleure bleue ", " ne baisse pas tes pétales ", " ressortir tes épines ", " bien fleuri ". Elle lui explique qu’après avoir été triste elle pourra retrouver le bonheur, que le temps passe et qu’il faut garder espoir. Elle lui redonne confiance en elle " reprend tes forces et souris, tu es appréciée, et tu le seras pour toujours ". Nous devinons qu’elle apprécie la femme dont elle parle, elle qu’elle veut lui montrer

monde ». Il faut donc échapper aux illusions qui sont le propre du désir et qui conduisent le sujet à chercher à l’extérieur de lui, l’être dont il sent en lui le manque. Autre philosophie, l’épicurisme (306 av JC), qui est fondé sur la recherche du bonheur en supprimant le désir pour sortir l’âme de la pathologie du manque. « Ceux-là jouissent le plus vivement l’opulence qui ont le moins besoin d’elle ». Le plaisir est sain tandis que le désir est un pur produit de notre imagination qui rend le sujet

principales préoccupations est la satisfaction de nos désirs (Qu’ils soient de nature sexuels, naturels, nécessaires, spirituels ou autres), car la satisfactions de nos désirs peut nous rendre heureux, les désirs sont un chemin à suivre pour atteindre le bonheur ce qui est le but de tout être humain .L’argent a-t-il la puissance de satisfaire tout nos désirs et donc de nous rendre heureux ? On verra d’abord pourquoi une réponse négative à cette question serait à priori la plus évidente puis on expliquera

coup de foudre Expression du doute : rejette son fantasme sur la jeune fille - terme encadré v11 + conditionnel- Conditionnel traduit la possibilité. Le poète fait ici des suppositions (modalisateur « peut-être »). Le rêve surgit : le JE rêve de bonheur. - Idée d’une réciprocité « dont le cœur au mien répondrait »/ motif de l’âme sœur Rencontre impossible : femme idéale - « la seule au monde » : hyperbole qui contribue à faire de cette jeune fille une femme d’exception. Même chose avec l’adjectif

sans amertume. » Vsevolod Meyerhold L’auteur aborde ici la question du bonheur et du sens de la vie. Il dit qu’après avoir vu la représentation de L’Oiseau Bleu, pièce de Maurice Maeterlinck, tous les mystères et les parts d’ombre de notre existence prendront enfin un sens. Tyltyl, héros moyen de la pièce, représente l’homme incapable de savoir quels sont ses réels désirs et de trouver le moyen d’accéder au bonheur. Vsevolod Meyerhold place le théâtre au même niveau que le rêve. Tel l’homme

désirs (texte extrait du Gorgias de Platon) Dans cet extrait du Gorgias de Platon, on relève deux attitudes (celle de Callicès et celle de Socrate) face au désir qui renvoient à deux conceptions du bonheur, de la vie heureuse. a) Position de Calliclès (plaisir condition du bonheur) Le bonheur consiste à s’adonner à tous les plaisirs. Car celui qui règle sa conduite selon la raison, ne fait pas ce qu’il veut et se refuse à certaines désirs ou plaisirs, et en ce sens celui-ci est un lâche.

posséder celles-ci car nous les aimons et pouvoir les intégrer dans notre univers serait un réel bonheur. Que faire ? Renoncer à posséder ses œuvres intouchables et aller les contempler dans les musées serait peut-être une bonne solution mais le problème est complexe car nos œuvres préférées sont parfois exposées très loin à l’étranger ou font peut-être partie de collections privées inaccessibles. En plus, quand nous pouvons accéder à ces œuvres, ce n’est que temporaire et nous aimerions qu’elles