Le Bonheur Est Indéfinissable

compositrice et concertiste, il est, lui, un grand concertiste, tous deux pianistes célèbres. Peu de temps après Juliette quitte Charles. Et c’est alors que Juliette et Ann commencent à entretenir une « relation », et c’est le début d’un nouveau bonheur pour toute les deux, avec la petite Magdalena. Mais l’enfant meurt, accidentellement, « à l’âge de trois ans » (p.224). C’est alors que Juliette disparaît, et Ann abandonne Villa Amalia. Elle va aussi apprendre peu de temps après que sa mère meurt

fille » l8, « un des grands parties qu'il y eut en France » l22, « sa personne » l29. Elle n'est nommé qu'a la ligne 27. Les périphrases insiste sur sa grande beauté, son rang social et da descendance. Elle semble parfaite, mystérieuse, intouchable, indéfinissable, femme fatale (Cf fatalité tragique du théâtre au XVIIème siècle). Son père est mort très jeune, c'est sa mère qui l'élève. Elle n'élève pas sa fille comme les autres parents de la cour cf l12 à 16. éducation de Mlle de Chartres : l6 à 21. jeunes

derniers mois du Zoma, «Le plus grand marché du monde», la grande attraction de la ville, qui compte quelques 1,6 million d'habitants. Le Palais de la Reine n’était déjà plus, disparu dans un incendie en 1995. Après quelques jours à se perdre avec bonheur dans le brouhaha et l’agitation de « Tana », nous partons pour Nosy-bé. Nosy-bé, « l’île aux parfums ». Après une heure et demie de vol dans un vieux bi-moteur on rase à l’arrivée une mer turquoise et d’immenses plages frangées de cocotiers avant

rémémorera avec frédéric les souvenirs heureux de leur jeunesse, après avoir perdu ses dernières illusions. Marie Arnoux est la femme adulée, épouse d’un bourgeois trivial, mère de 2 enfants. Elle est pour frédéric l’amante idéalisée, une promesse de bonheur. Elle est belle, ses longs cheveux sont d’un noir de geai, tout comme ses yeux immenses yeux pétillants et contournent la pointe de ses grands sourcils en encadrant gracieusement son visage ovale aux nez droit et aux lèvres incarnadine. Elle a la

! Pour qui connaît la valeur et aussi la délectable saveur de la solitaire liberté (car on n’est libre que tant qu’on est seul), l’acte de s’en aller est le plus courageux et le plus beau. Égoïste bonheur peut-être, mais c’est le bonheur pour qui sait le goûter. Être seul, être pauvre de besoins , être ignoré, étranger et chez soi partout, et marcher, solitaire et grand à la conquête du monde. Le chemineau

face à ce qui se passe autour d’elle ; d’un autre côté, elle a atteint un état de tranquillité absolue, d’équilibre parfait, cette « ataraxie » (absence de troubles, en grec) qui, pour certains philosophes de l’Antiquité, constituait le sommet du bonheur et de la sagesse. PREMIER ET SECOND TERCET : la soumission du poète« Devant mes grandes attitudes » , « Que j'ai l'air d'emprunter aux plus fiers monuments » ,vers 9 et 10 les deux expressions soulignent

remue/Un certain je ne sais quoi dont je suis tout émue » ( vers 563/564). °SURPRISE PAR CES NOUVELLES SENSATIONS : -L’Utilisation de l’article indéfini « certain » (564) et de la locution nominale « je-ne-sais-quoi » évoquent un sentiment indéfinissable. 3-CONSÉQUENCES ET PIÈGES DE LA NAÏVETÉ *Agnès prend chaque mot au sens littéral  Arnolphe doit donc la pousser à s’expliquer en lui posant des questions de plus en plus précises. *Agnès n’a aucune notion de ce qui est bien ou mal  -Elle

tous les procédés injustes de son père à son égard. — L’intérieur du comte se trouva ainsi subitement modifié, et l’on eut lieu de penser qu’une faveur particulière du sort avait conduit près de lui la seule personne du monde faite pour assurer son bonheur et sa félicité, à titre d’épouse chérie et dévouée. La conduite de la baronne ne se démentit pas. Elle parlait peu, se montrait fort sérieuse et même concentrée à l’excès ; mais elle manifestait dans l’occasion des sentiments doux et un cœur ouvert

rossignol chantera. On remarque bien clairement le demi-jour évoqué par Verlaine dans le tableau de Watteau ainsi que les différents couples représentés par Watteau dont Verlaine fait référence en évoquant le mot « amour ». Le bonheur règne ici, ce bonheur crée par l’amour même, on peut voir les différents personnages heureux entre eux, c’est l’atmosphère de la douceur Les couleurs utilisées par Watteau sont plutôt claires, on remarque ainsi un effet dégradé du sombre vers le clair. 1)

la comparaison de l’exaltation alors ressentie insiste sur le bonheur qu’elle offre : « je ne sais quoi de doux, d’enivrant comme l’amour. » Puis le récit généralise l’expérience alors vécue par le héros par le pronom « nous ». Le rythme ternaire en gradation de l’énumération qui dépeint ce travail, « [l]’exercice de la pensée, la recherche des idées, les contemplations tranquilles de la science », accentue l’image du bonheur qui en résulte. Le verbe « prodiguent » contribue déjà à l’amplifier