Le Bonheur Est Indéfinissable

rationnel, raisonné, posé. Qui utilise son esprit au lieu de son corps Bilan : Critère de l’âge = social Critère du savoir / science = essentiel, indispensable pour la sagesse La prudence dans l’action et la maitrise. III- Pour quel bonheur ? [A quoi bon philosopher ?]  Cela permet l’anatomie de la pensée, on pense par soi-même et on évite les pensées toutes faites, les idéologies, les préjugés. : développer – exercer son esprit critique (différent d’exercer son esprit de contradiction)

responsables sur leur propre patrimoine des dettes de la société. Ce genre de société s’oppose à la société de capitaux, où la personne des associés est moins importante que le capital qu’ils apportent. Par suite, le droit est quand a lui est un terme indéfinissable, mais de façon objective, c’est un corps de règles qui régit la vie en société. Le droit permet de trancher avec impartialité des litiges, de rendre la justice. Le droit permet également de régir les rapports entre les membres d’une société. Il

incomplète (un désir ou un aspect de notre être est satisfait) ; joie : satisfaction tout aussi éphémère mais plus complète : sentiment que la satisfaction signe l’accord avec notre être tout entier (corps et esprit) , s’accorde avec notre nature. Bonheur : satisfaction totale, intense et durable (voir éternelle), état de pleine satisfaction. 12. Qui a dit ?« L’œuvre d’art est encore autre chose, en plus et au dessus de sa choséité. Car c’est cet Autre qui y est qui en fait une œuvre d’art » Martin

effrayé qu’humains et animaux « tout fuit » : emploi P indef renforce effet -App surnat : monstre décrit (vue et ouïe) qui vise à effrayer. Accu d’adj, périphrases pr montrer sa force « indomptable taureau, dragon impétueux » : (étym monstre : être indéfinissable, composite) : chiasme qui renforce aspect effrayant -App dieu que l’on devine être Neptune « aiguillons » -Arrêt chevaux près lieu symbolique : tombeaux ancêtres Monstruosité vision, conséquence vœu Thésée : la catastrophe finale a une double

eu à parler de mes temps de misère ; dans mes jours de tribulation, à retracer mes jours de bonheur. Ma jeunesse pénétrant dans ma vieillesse, la gravité de mes années d'expérience attristant mes années légères, les rayons de mon soleil, depuis son aurore jusqu'à son couchant, se croisant et se confondant, ont produit dans mes récits une sorte de confusion, ou, si l'on veut, une sorte d'unité indéfinissable ; mon berceau a de ma tombe, ma tombe a de mon berceau : mes souffrances deviennent des plaisirs

une personne qui avait de la beauté et de la naissance. Mais elle lui faisait voir aussi combien il était difficile de conserver cette vertu, que par une extrême défiance de soi-même, et par un grand soin de s'attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d'une femme, qui est d'aimer son mari et d'en être aimée. Cette héritière était alors un des grands partis qu'il y eût en France ; et quoiqu'elle fût dans une extrême jeunesse, l'on avait déjà proposé plusieurs mariages. Madame de Chartres, qui était

autre part être encore capable d' imaginer l' Ouvrage final ; sans comprendre en quoi je pourrais me rendre utile ; et puis ... ce sont surtout des SENTIMENTS, aussi indéfinissables que que profond, qui m' ont guidé vers ce chantier et incité à bosser . Je me sens l' envie de participer à la construction d' un bonheur futur, universel et utopique... mais ne dispose, en guise d' outils et d' expérience, que d' un passé concret, personnel et douteux ... Alors, faute de savoir mieux faire

l’entre-deux. Le camp est à la fois un lieu clos, un piège, dont on ne peut s’échapper (Agamemnon échoue à faire s’enfuir Iphigénie : IV, 10) et un lieu ouvert (sur l’avenir : le départ de la flotte grecque ; le mariage d’Iphigénie). Ainsi, ce lieu indéfinissable est à l’image de l’hésitation et de l’incertitude qui traversent toute la tragédie : Iphigénie sera-t-elle sauvée ou mourra-t-elle ? Le port est aussi une zone-limite, un territoire « extrême », où se rencontrent le « sauvage » et le « cultivé »

Le bonheur est un état de satisfaction ou de contentement extrême qui peut se fonder sur différents éléments. Le plaisir tout d’abord, même s’il existe des états de plaisir où l’on est pas heureux, voire même où l’on reste malheureux. Il serait donc peut-être réducteur de réduire l’idée de bonheur à une simple accumulation de plaisirs qui restent plus ou moins éphémères. Le bonheur suppose surtout un sentiment plus profond et plus durable d’être en accord avec soi, avec le monde, d’avoir réussi ce

cherche donc pas le réalisme, c’est normal puisque c’est la littérature classique du XVIIe siècle. On tend vers l’universel et l’auteur suggère plutôt ce qui émane de son héroïne : « éclat », « grâce » et « charme ». Ce sont plutôt des notions indéfinissables, subjectives mais qui crée un halo de connotations élogieuses qui font rêver le lecteur, d’autant plus que l’auteur utilise des hyperboles appuyés et des superlatifs des plus flatteurs : «  une beauté parfaite », « un éclat qu’on a jamais qu’a