Le Bonheur La Liberté La Sagesse Selon Epictete

paradoxalement la distance qui l'éloigne de la réalité et qui, par là, nous fait éprouver un plaisir pur. Ce qu’on ne peut atteindre fait rêver, excite. Selon Anatole France : « Le désir de l’inconnu embellit l’univers » On a besoin de rêve, le quotidien ne suffit pas. Le rêve donne un sens à notre vie. L’impossible fait rêver tout être humain et le divertit. Selon Blaise PASCAL dans Les pensées : « Si le roi est sans divertissement le voila malheureux, et plus malheureux que le moindre de ses sujets qui joue

DUPERRAY Léa BRUA Laurianne CROQUEFER Emeline Groupe : NELLA MORIN Alizée Le Bonheur Introduction: Les Anciens avaient déjà de leur temps défini le bonheur : pour Platon il s’agissait de l’assouvissement des désirs présents en nous par le biais d’une vie de raison et de tempérance ; cela nous apporterait une sensation de satisfaction, de plénitude totale. De manière générale on estime qu’il y a « bonheur » quand tous les désirs (passion) de l’individu sont comblés, et cela de manière continue

LE DESIR ET LE BONHEUR INTRODUCTION -Le désir en latin sidus(astre) considerae(contemplé) desiderae( regretté -regretté son absence) -Littéralement le désir c'est le regret d'un astre disparu -Le désir souligne une absence et la souffrance liée à cette absence -Mais le paradoxe du désir c'est que qu'il souligne également l'espérance -Il y a 2 aspects du désir = l'aspect du manque + l'espérance de venir combler ce manque -Platon évoque ce paradoxe à travers le mythe d'Eros ,fils de Penia(la

Lettre à Ménécée d'Epicure ou encore La Puissance d'Exister de Michel Onfray. Epicurisme : Doctrine axée sur la recherche du bonheur afin d'atteindre la sagesse et la tranquilité de l'âme. Le but de l'épicurisme est d'arriver à un état de bonheur constant et de sérénité tout en supprimant les plaisirs ni naturels, ni nécessaire, afin de ne pas souffir. Il propose un idéal de bonheur et une vision du monde où ni les Dieux, ni la mort ne sont à craindre. Il est cependant en concurrence avec le stoïcisme

supérieure et parfois ne peut être modifiée. Ces deux éléments n’étant pas toujours compatibles, est-ce que l’on doit changer plutôt ses désirs ou alors l’ordre du monde ? D’un côté pourquoi faudrait-il changer ses désirs ? Le désir n’est-il pas selon Spinoza « l’essence même de l’Homme » et la tendance de tout désir n’est-elle pas de tendre à se réaliser ? En effet, toujours d’après Spinoza « être, c’est désirer être. ». Pour ne pas changer notre propre nature, il faudrait donc se disposer à changer

serait elle pas le savoir? * Mais le désir obscurcit-il la raison ? Suis je réellement conscient de l’objet de mon désir ? * I) L'homme a par nature le désir de connaître. a) Le désir de connaitre inné, désir de vivre thèse nietzschéenne selon laquelle il est impossible de ne rien désirer (quitte à désirer le rien ou un état impossible de non-désir) : chaque chose naturelle désire ou persévère dans son être, et réciproquement, tout ce qui désire  Si le savoir est la fin du désir, on

problème se pose : si nous sommes ainsi condamnés au désir et à l‘agitation, comment atteindre la sérénité, c’est-à-dire, pour la philosophie antique, le bonheur ? Faut il les hiérarchiser? Dès lors pour pouvoir renoncer à tout désir, ne faut-il pas désirer renoncer à tout désir ? Pour devenir sage, ne faut-il pas désirer la connaissance, et la sagesse elle-même ?Le sage lui même doit choisir et mesurer ses désirs. Mais il importe avant d’examiner la valeur des thèses qui s’opposent, de procéder à

doute est il d’abord animé par des pulsions et par des besoins d’origine corporelle, mais il éprouve aussi des désirs. Le désir n’est pas réductible à un besoin organique. Exemples : désir amoureux, de gloire, de richesse, de puissance, de sagesse ou de savoir. De plus, le besoin peut être comblé par l’objet qui lui manque. Le désir apparaît donc comme une caractéristique incontournable de la condition humaine, il est une dimension irréductible de l’homme, il est constitutif de sa personnalité

sensible : selon Platon c’est elle qui attache l’homme au réel. Qui est en rapport avec le corps la réception. Approche rationnelle : par la création et le questionnement Aponia : calme somatique du corps. Bonheur : Expérience durable de satisfaction. Le désir est éphémère. -Pour Epicure, Ataraxie + Aponia. Calme de l’esprit+ Calme du corps -Pour les Stoïciens : ne pas se laisser atteindre, maîtriser ses émotions. « La véritable existence vient du bien moral ». -Pour Epictète : Être sage

quête, une recherche individuelle de la véritable sagesse. Antisthène, le père du cynisme (celui-ci discourait et s’exerçait au gymnase des « cynosarges », d’où l’origine du mot « cynique »), fut l’un des élèves de Socrate. La critique cynique s’étend à tous les domaines, politiques, moraux, religieux, littéraires et philosophiques. Elle est une contestation radicale de toutes les valeurs traditionnelles et prône une voie courte pour accéder au bonheur, qui consiste en une ascèse physique dont la finalité