Le Bonheur Selon Freud

Sigmund FREUD (1929) MALAISE DANS LA CIVILISATION Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, collaboratrice bénévole et professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, Bénévole et professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi

méthode à appliquer pour utiliser correctement ce doute méthodique d’où le discours de la méthode.Grâce à cette méthode, le sujet pensant peut désormais s’appuyer sur sa connaissance qu’il a lui-même fondé. Être sujet selon Descartes c’est s’affirmer comme être humain libre et responsable Selon lui l’homme possède un libre arbitre, l'homme lui-même possède une volonté libre capable de se déterminer sans aucune influence de quiconque;sa volonté est infinie et possède une indépendance absolue n’ai influençable

l'homme dés son arrivée sur terre ? Pourquoi ne pas le préparer à affronter la réalité que sera sa vie dés son plus jeune âge ? Peut-être par souci de protection, les parents choisissent de fascinants mensonges comme le Père Noël ou la Petite Souris ? Freud précise que «L'homme se détourne de ses illusions seulement lorsqu'il les a identifié en tant que telles ». Ainsi l'enfant découvre la vérité par des facteurs extérieurs à sa famille et perd ses illusions. Pourquoi l’empêcher de grandir sans ces

ce qui est mystérieux de ce qui nous intrigue et nous préoccupe et quoi de mieux que les écrits de Freud, père de la psychanalyse pour découvrir cette science si profonde. Sigmund Freud est un médecin neuropathologue autrichien d'origine juive. Naquit le 6 mai 1856 à Freiberg, Moravie (Autriche, aujourd'hui), il est le fondateur de la psychanalyse. Fuyant les persécutions Nazies, Sigmund Freud âgé il termine le restant de ses jours en exil à Londres. Inconnu à ses débuts, le fondateur de

Le bonheur Le désir, le plaisir, la morale Introduction : Lorsque l’on s’interroge sur le sens de la vie et sur ce qui rend valable l’existence entière, trois idées viennent spontanément à l’esprit : la moralité, la justice et le bonheur. Pourtant, des trois idées, il semble que c’est le bonheur qui est central, parce qu’il est la condition nécessaire et suffisante d’une vie réussie. En ce sens, on dit que le bonheur est un bien suprême, un Souverain Bien, car il est ce que vise tout homme, il est

notre but, notre fin, le bonheur. Et également pour que notre vie se déroule le plus serainement possible. L'illusion est faite pour que lorsque la vérité nous blesse, et que nous ne l'acceptons pas, nous puissions nous réconforter quand même, ne pas vivre malheureux, c'est en quelque sorte mensonge que nous nous faisons à nous même, mais un mensonge « bon » pour nous. Mais le mensonge en lui même peut se qualifier comme une erreur car il entrave la confiance et donc le bonheur, dans ce cas, nous pourrions

sujette a l’erreur si nous n’en jugeons que par les sentiments que nous avons de nous meme »Malebranche « Le meilleur moyen pour apprendre a se connaître,c’est de chercher a comprendre autrui »andré Gide Rapports avec autrui « le devoir et le bonheur consistent également a vivre pour autrui » « Il (l’homme)abuse a coup sur de saliberté a l’égard de ses semblables »Kant « l’homme est non seulement un animal social,mais un animal qui ne peut s’individualiser que dans la société »Marx Le sujet

Le désir dans Sur le rêve de Sigmund Freud La notion de désir est très importante dans Sur le rêve. Freud en fait un emploi non philosophique. Par le désir, il entend tous les souhaits ou les vœux qui sont mis en image par le rêve. Il désigne cette notion comme une satisfaction hallucinatoire. En général, le désir désigne le mouvement vers un objet dont l’âme subit l’attraction, le considérant comme une source de satisfaction, de plaisir. En termes philosophiques, le désir est la représentation

« Le bonheur n’est­il qu’une illusion ? »    Le bonheur est un sentiment que l’on pourrait définir comme « privé », c’est un sentiment  personnel, mis à part si l’on prend en condition une forme de bonheur collectif qui vise à  répondre à la satisfaction et à l’approche du bonheur pour une communauté entière.  Néanmoins, si l’on considère le bonheur comme un sentiment personnel, nous pouvons nous  questionner sur son existence, sur la possibilité que, finalement, le bonheur ne soit qu’une  simple illusion

l'illusion ou la vérité est éphémère ou éternelle ? Cela présuppose que nous sommes pas toujours dans le vrai ni dans l'illusion.Pour répondre à la problématique, nous nous demanderons, dans une première partie si l'illusion est un moyen d'atteindre le bonheur, ensuite, dans une deuxième partie, nous traiterons la vérité comme dépassement de l'illusion. L’illusion est un désir subjectif, auquel on reste attachés avec résistance de se l’avouer. Réaliser que tout ce qu’on a cru était faux est douloureux