Le Bonheur épicuriens Vs Stoïciens

religion naturelle et la religion révélée. Le cœur de la personnalité du philosophe c’est la raison, il n’accepte que l’autorité de la raison. Le philosophe ne serait pas très différente de la vision du philosophe de l’antiquité. Doctrines du type stoïcien, c’est parce qu’Abélard a lu chez Cicéron, et donc sa vision du philosophe ressemble la vision des philosophes de l’antiquité romaine. Texte n. 4 ; Theologia Christiana. Dossier 2. Dans ce texte on a quasiment tous les thèmes qu’on trouvera dans

sc. établit). Système φQ prétendant à un fondement rationnel et comportement religieux trouvant, en vertu de certaines circonstances, son origine dans la n.h. ; répond à l’exigence spéculative de la vérité et à l’appel pratique de la recherche du bonheur ; établit les attributs de la cause suprême de l’univers et la providence morale d’un Dieu juste. Même réfutée, la r.n. conserve une certaine force ; réduite à sa genèse historique, elle se distingue encore des religions pop et superstitieuses.

l'individualisme libertaire, la recherche de l'accomplissement personnel et le rejet de la propriété privée[9]. Un courant individualiste et libertaire peut également être trouvé dans la philosophie de la Grèce antique, dans les écrits épicuriens, cyniques et stoïciens[14]. Certains éléments libertaires du christianisme ont influencé le développement de l'anarchisme[15], en particulier de l'anarchisme chrétien[16]. À partir du Moyen Âge, certaines hérésies et révoltes paysannes attendent l'avènement

la perception du corps humain. B) LA MORT ET LA PHILOSOPHIE Les fermes de corps ou body farm. Montaigne « Philosopher c'est apprendre à mourir » car « qui apprendrait à l'homme à mourir, leur apprendrait à vivre ». Deux écoles célèbres : •Les épicuriens → la mort n'est pas un problème car on ne se rappelle pas de ce qui s'est passé avant notre naissance, on ne sait pas ce qui arrivera après la mort, on peut juste craindre de mourir. Il faut faire abstraction de la mort pour vivre réellement. •L'école

et maîtrise de soi. L’idée centrale des stoïciens est que l’homme doit se battre contre ses passions Pour les stoïciens l’âme est matérielle, elle exerce et subit des actions, elle souffre quand le corps est malade ou blessé. Les choses sans matière n’ont rien réel (au sens de la réalité matérielle) mais elles ne sont pas rien (ex : espace, temps). Les stoïciens les nomment les incorporels Tout ce qui existe et qui agit = corps Pour les stoïciens existe deux types de représentations :

arts de l’artifice. (« nos âmes se sont corrompues à mesure que nos sciences et nos arts se sont avancées à la perfection ; on a vu la vertu s'enfuir à mesure que leur lumière s'élevait sur notre horizon ». ) La nature, selon Rousseau, c'est le bonheur, la simplicité, la puissance, la liberté, l'innocence ; l'artifice, c'est le malheur, la duplicité, l'impuissance, la servitude, le vice. L'artifice, c'est le « funeste supplément », le rajout, le trop par lequel l'homme s'éloigne de la nature, de

avoir du coffre. Virgile ne peut entrer dans la vie politique. Il sera donc plutôt dans des cercles d’intellectuels : l’épicurisme et le stoïcisme. Au départ Virgile est plutôt épicurien, il est dans le groupe de Siron. Ne s’occupe pas des affaires politiques, « carpe diem ». Il se trouve dans une mouvance philosophique épicurienne qu’il va quitter peu à peu et se retrouve dans l’entourage Asinius Pollion, homme très important à l’époque, et va lui servir d’introduction dans le monde proche d’Auguste

conforme à notre état « de médiocrité et d’épreuve  » dans ce monde (4, 14, 2). La recherche des opinions les plus raisonnables, sur des sujets importants que la connaissance ne peut atteindre mais dont la décision est susceptible d’affecter notre bonheur ou notre misère est, pour cette raison même, une tâche que chacun se doit à soi-même. Il y a une sorte devoir moral à s’efforcer de se mettre sur ces questions « au-dessus du doute », afin de pouvoir régler notre conduite de manière ferme et conforme

société honorable »), les avantages sous le rapport de la vanité (ironie à l’égard du masque social), l’idée du châtiment et de la faute (absence de tout commentaire, mais ambiguïté du « tu es un homme de conscience »), enfin la grandeur du modèle stoïcien qui rassemble tous ces derniers traits. III L’EUPHORIE RETOURNÉE EN DISPHORIE : UN POINT DE TENSION QUI CONSACRE PEUT-ÊTRE LA FAILLITE DU STOÏCISME Les deux lexiques : le haut et le bas, la grandeur et la trivialité, le sublime et le burlesque

d’une insouciante gaieté, les oiseaux chantent « un chant nouveau », tout est douceur : « Dans la douceur de la prime saison... » vs « ... dans ma douce Champagne [...] de si douces pensées... » ; et l’espoir vient au cœur de bientôt jouir pleinement de l’exaltant sentiment qui vous étreint : « Il est donc juste que chacun épanouisse son cœur à ce qu’il désire le plus. » vs « ...j’ai entrepris mon chant dans l’espoir de la récompense qu’Amour m’a toujours promise. » Bien que réels, les « losangiers