Le Bourgeois Gentilhomme Denonciation

comédies de genres variés (des comédies proches de la farce comme Le médecin malgré lui (1666) ou Les Fourberies de Scapin (1671), des comédies plus psychologiques comme L'École des femmes (1662) ou L'Avare (1668), des comédies-ballets comme Le Bourgeois gentilhomme en 1670 ou Le malade imaginaire en 1673, des pièces plus élaborées approfondissant caractère et étude sociale, en vers comme Le Misanthrope (1665), Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665). Peintre

Pour Zola, « Les Rougon-Macquart personnifieront l’époque, l’Empire lui-même ». Nous retrouvons aussi des dénonciations dans les pièces de théâtre de Molière, qui sous couvert de l’humour, critique souvent la bourgeoisie c’est le cas dans Le Bourgeois Gentilhomme. Dans cette pièce, le personnage principal, M. Jourdain fait l’objet d’une caricature, Molière se moque des riches bourgeois dont le seul objectif est d’imiter le comportement et le genre de vie des nobles de l’époque. Dans les fables

d’amuser et de faire réfléchir le public. « Castigat ridendo mores », telle est la devise ses œuvres. Jean-Baptiste Poquelin, de son pseudonyme Molière, écrit à la fin du XVIIème siècle Le Malade Imaginaire, une comédie- ballet présentant Argan, un bourgeois persuadé d’être malade alors qu’il est très bien portant. La comédie porte à rire, mais celle-ci possède également une portée critique. Comment Le Malade Imaginaire de Molière amuse-t-il mais fait-il aussi réfléchir le public ? Pour répondre à

l’importance du paraître. Révélations sur "Montrer à quel rang social la personne appartenait" : Toujours les costumes des comédies de Molière : les valets, les paysans de Dom Juan ; la bourgeoisie avec par exemple Monsieur Jourdain du Bourgeois Gentilhomme, etc. Révélation sur une époque elle-même : Les Caprices de Marianne, où Coelio est amoureux de Marianne et envoie son cousin Octave lui faire la cour et obtenir un rendez-vous. Bref, il apparaît évident qu'Octave est un double de Coelio

des personnages avaient beaucoup plus d’impacts que quand on lit le livre). D’un autre côté, la mise en scène peut apporter une plus-value comique : les costumes, les gestes, le décor, le jeu des acteurs sont des exemples concrets (dans le Bourgeois Gentilhomme de Molière, comédie-ballet, le titre de « mamamouchi » vaut au personnage de Mr Jourdain d’être surélevé et revêtu de manière à impressionner, mais surtout tout est mis en place afin d’accentuer le ridicule du personnage ; dans Don Juan, mis

Le Bourgeois gentilhomme, Acte II, scène 5 remplis la fonction de critique attribuée au théâtre par la mise en valeur de Monsieur Jourdain. Ainsi, le ridicule du personnage, sa façon d'agir et d'être est soulignée par le Maître tailleur sans que celui-ci s'en rende compte lorsqu‘il dit : « Oui, vraiment. Toutes les personnes de qualité les portent de la sorte. » Ligne 8. L’auteur peut ainsi faire la critique implicite de certains individus. Ici par exemple Monsieur Jourdain est un bourgeois qui

de l’argent. Pour continuer sur cette idée de dénonciation faite de la part du duo maître-valet, on a l’idée que cette relation démontre un rapport malsain à l’argent. Effectivement, on peut constater que dans de nombreuses pièces, le rapport à l’argent est très présent et alimenter par le jeu ou bien du maître, ou bien du valet. C’est le cas par exemple dans le Bourgeois Gentilhomme de Molière, où l’auteur se moque d'un riche bourgeois qui veut imiter le comportement et le genre de vie des nobles

Cahier pédagogique Le Bourgeois gentilhomme Molière/ Denis Podalydès Théâtre de la place Manège de la caserne Fonck 09/11>16/11/2012 Sommaire A propos du Bourgeois gentilhomme Résumé de la pièce L’intrigue Analyse des personnages Résumé acte par acte 3 4 5 6 7 Titre et quartiers de noblesse culturelle Les pratiques culturelles de Monsieur Jourdain L’esthétique populaire de Monsieur Jourdain Pierre Bourdieu Le caractère de Monsieur Jourdain Après la représentation,

et la protection de Louis 14, roi des Français, à partir de 1661. Il parvient alors à atteindre au zénith de sa carrière, et écrit ses plus grands succès qui connaissent la consécration tels : L’Ecole des femmes (1663), Tartuffe (1669), Le Bourgeois Gentilhomme (1670) ou Les Fourberies de Scapin (1671). Il connaît toutefois une carrière qui se termine en déchéance, se brouille avec son ami Lully et meurt le 10 février 1673 peu après avoir joue Le malade imaginaire. Malgré les idées reçues, L’Avare

de s'installer au siège de comices agricoles renommées, Yonville-l'Abbaye. Là, elle fait la connaissance des personnalités locales, Homais, pharmacien progressiste et athée, le curé Bournisien, Léon Dupuis, clerc de notaire, Rodolphe Boulanger, gentilhomme campagnard. La naissance dune fille la distrait un peu, mais Emma et Rodolphe deviennent amant. Cependant elle veut s'enfuir avec mais, lâche, il l'abandonne; Emma croit en mourir, plus tard, au théâtre de Rouen, elle revoit Léon, revenu de