Le Bourgeois Gentilhomme Denonciation

Solution ? Comédie-balai (ancêtre de l’opéra) et se collabore avec Lulli ->SUCCES. Le roi aime les farces du M-A et pas en faveur avec la religion -> se permet de la critiquer -> inspiration de Molière. Le malade imaginaire 1673, L’Avare, Bourgeois Gentilhomme. Corneille = le mixte. Étude de Jésuites + de droit et devient avocat. Ennuie -> écrit des pièces. 1ère « L’illusion comique » qui ne marche pas (comédie), s’arrête. Avocat et se relance + tard cô auteur de th. En 1637, tragicomédie Le Cid

propos, chaque mot a un sens particulier. Peut-être est -ce pour cette raison que l'on distingue plusieurs types de comédies ( auxquelles on attribue alors des fonctions plus ou moins nombreuses: le rire bien entendu, mais aussi la réflexion, la dénonciation): la comédie de boulevard (Dell'Arte), la comédie comique, la comédie d'intrigue... Nous nous rendons bien compte que les aspects comiques mettent en valeur des idées que l'auteru a voulu faire passer avec légereté. Mais l'humour n'est il pas un

propos, chaque mot a un sens particulier. Peut-être est -ce pour cette raison que l'on distingue plusieurs types de comédies ( auxquelles on attribue alors des fonctions plus ou moins nombreuses: le rire bien entendu, mais aussi la réflexion, la dénonciation): la comédie de boulevard (Dell'Arte), la comédie comique, la comédie d'intrigue... Nous nous rendons bien compte que les aspects comiques mettent en valeur des idées que l'auteru a voulu faire passer avec légereté. Mais l'humour n'est il pas un

bitensif il compte autant sur l'écriture théâtrale que sur la mise en scène, les auteurs ont donc cherché un maximum à capter l'attention et notamment grâce au comique. Dans un premier temps on peut voir que dans le texte de Molière Le Bourgeois gentilhomme le comique se voit avec absurdité de la réaction de Monsieur Jourdain en effet il s'étonne d'une chose qu'il connait déjà .Il semble ahurie, on le voit avec les interjections qui marque sa surprise, aussi il est satisfait de l'enseignement

divertir, à faire rire (→ comique) par la légèreté de l’intrigue ou la peinture des personnages qui y est faite. Quelques pièces comiques de Molière (1622-1673) : Les Précieuses ridicules (1664) Le Misanthrope (1666) L’Avare (1668) Le Bourgeois Gentilhomme (1670) Les Femmes savantes (1672) Le Malade imaginaire (1673) La comédie a pour but de « corriger les mœurs par le rire » (castigat ridendo mores, dit l’adage latin). Pour Molière, il s’agit de « corriger les hommes en les divertissant »

dénonce une science excessive qui prive les femmes d’un équilibre dans leur vie par un regard excessif sur la culture. Tandis que Les précieuses ridicules sont représentées de manière grotesque par leur langage et leurs manières. La figure du Bourgeois gentilhomme rappelle que ce luxe ridicule n’est bien sûr pas l’apanage des femmes, mais bien l’obsession d’une classe bourgeoise soucieuse de 5 Dissertation de Culture générale : « La culture est-elle un luxe ? » « S’élever » dans la société. Pour Molière

paternel et son grand-père maternel, tous deux marchands tapissiers, exercent leur métier dans le voisinage, rue de la Lingerie (2 et 3 sur le plan). Il est également le cousin du prêtre catholique Jean Poquelin. Les Poquelin et les Cressé sont des bourgeois riches qui vivent à leur aise dans des demeures confortables et agréablement meublées, comme en témoignent les inventaires après décès. Le grand-père Cressé a une maison de campagne à Saint-Ouen. Un oncle de Molière, Michel Mazuel, est musicien

particulier le passage : « Valère. Un dieu qui porte les excuses de tout ce qu’il fait faire, l’Amour. Harpagon. L’Amour ? Valère. Oui. Harpagon. Bel amour, bel amour, ma foi ! l’amour de mes louis d’or ! ». Cette situation, qui se produit dans un cadre bourgeois, est un schéma habituel de la comédie de mœurs. La fin de Tartuffe (texte B) présente aussi les caractéristiques d’une comédie de mœurs, même si le sujet est grave et sérieux. On le voit à la présence d’une famille réunie, en butte à un personnage

caractère (personnages pittoresques en proie à une passion), de situation (imbroglio, quiproquos), de mots (calembours), de mœurs (satire sociale). [pic]registres : burlesque, héroï-comique, ironique, satirique. [pic]le rire est provoqué par la dénonciation caricaturale des ridicules et par l'expression mécanisée d'une passion. [pic]  Textes théoriques : [pic]Aristote : Poétique - Molière : L'Impromptu de Versailles, Critique de L'Ecole des Femmes - N. Boileau : Art poétique - V. Hugo : Préface

très policée », a rejeté la torture, on peut en conclure qu’elle n’est pas nécessaire par sa nature Le témoignage du fait (l. 19 à 29) : ce seul exemple chargé d’arbitraire et d’horreur suffit à Voltaire pour étayer sa thèse : dénonciation de la torture. = morceau de plaidoirie : longueur de la phrase + accumulations + précisions. L’auteur se comporte en avocat pour mettre en lumière : - la personnalité de la victime : jeune homme de bonne naissance (« petit fils d’un