Le Bovarysme

liens entre ce qu’il lit et ce qu’il vit, il va trouver dans la lecture des repères qui vont donner un sens à son passé, à sa vie et à son avenir. Dans «Comme un roman» de Daniel Pennac, les droits imprescriptibles du lecteur affirment le droit au bovarysme, comportement semblable à celui d’Emma dans «Madame Bovary» de Gustave Flaubert, qui se réfugie dans l'imaginaire pour fuir la réalité. C’est alors un moyen d’échapper à notre malheur et à notre propre banalité, en nous identifiant à des héros, à

dénonciation des poncifs, des insuffisances de l'éducation dispensée aux jeunes filles, de l'absence de goût artistique dans la petite bourgeoisie rurale… Flaubert décrit soigneusement les origines du mal qui va frapper Emma, ce que l'on appellera le bovarysme, cette incapacité à se satisfaire de la vie réelle... Et ce qui est ironique, n'est pas justement le fait qu'Emma soit dans un pensionnat pour apprendre à être une épouse exemplaire, et une mère honorable et qu'en fin de compte c'est dans ce pensionnat

valeurs et des anti-valeurs ainsi que des sensations fortes. L'auteur les décrits comme mauvais car il ne trouve pas que cela est de la création mai de la reproduction. Il la considère comme une « littérature du  prêt à jouir ». 6.Le droit au bovarysme: (maladie textuellement transmissible): droit à la « satisfaction immédiate et exclusive de nos sensations ». Daniel Pennac décrit tous les phénomènes liés à cette « maladie ». L'imagination qui enfle,les nerfs qui vibrent,le cœur qui

rencontre d’Emma et de Charles, et se termine en 1847 avec la mort de Charles. Les thèmes abordés : - L’amour malheureux - L’adultère - La recherche de bonheur Ces thèmes caractérisent le bovarysme. Les personnages : Quatre personnages principaux : - Emma : une jeune bourgeoise, plutôt naïve et infidèle qui rêve d’une vie digne d’un compte de fée. Ce n’est pas une femme très belle mais les hommes la trouvent quand même attirante avec ses

depuis le debout on soupçonne qu’elle passera sa vie dans la poursuite d’un amour idéalisé que jamais ne trouvera. Pourtant j’ai constaté le pourquoi du mot « bovarysme » et à quoi fait-il référence dans ce cas-là, mot qui antérieurement j’ai découvert dans un des écrits de Danielle Permet « Comme un roman » et qui faire référence au bovarysme comme un des droits de tous les lecteurs. D’autre part, il a été difficile à prendre le plaisir de la lecture parce que j’ai trouvé le rythme très lent et

constatons que les chutes des deux textes sont foncièrement différentes : Alors qu’Emma se laisse tuer par les dettes financières, Mathilde, elle, décide, avec volonté, de rembourser ses emprunts jusqu’au dernier sou, cela l’empêchant d’être associée au bovarysme. Ainsi, il est nécessaire de dire que si quelques ressemblances apparaissent au début des deux textes, celui de Maupassant se détache aussi de manière très originale de celui de Flaubert.

constatons que les chutes des deux textes sont foncièrement différentes : Alors qu’Emma se laisse tuer par les dettes financières, Mathilde, elle, décide, avec volonté, de rembourser ses emprunts jusqu’au dernier sou, cela l’empêchant d’être associée au bovarysme. Ainsi, il est nécessaire de dire que si quelques ressemblances apparaissent au début des deux textes, celui de Maupassant se détache aussi de manière très originale de celui de Flaubert.

littéraire », 2008 [sur le positionnement de Michaux par rapport au surréalisme notamment. Approche socio-critique]. Articles en ligne · Laurent Jenny, « Styles d’être et individuation chez Henri Michaux », Fabula-LhT, n° 9, « Après le bovarysme », mars 2012, URL : http://www.fabula.org/lht/9/jenny.html, page consultée le 16 février 2020.[très bon article sur le Michaux des débuts : notamment comment le « moi boule » devient « moi-foule »]. · Mathieu Perrot, « L’originalité de la monotonie

l’on peut aussi négliger de faire demain ». Oui quand cette parenthèse bascule dans la folie quand la frontière entre rêve et réalité est une seconde vie, c’est le cas de Gérard de Nerval qui dit que « le rêve est une seconde vie ». Exemple le Bovarysme qui veut dire prendre ses rêves pour des réalités. Quand le rêve appartient à la vie il appartient à sa propre vie. C’est une façon de stimuler le réel ou de le sublimer. Il est parfois commandé par la réalité de là où l’on vie et de notre culture

choisi l'art contre la vie. Son choix, beaucoup, plus fondamental, est celui de l'authentique contre la copie. En tout. Le naturel contre la pose, le personnel contre le convenu, l'artiste contre le faiseur. N'être dupe de rien. » Le syndrome du bovarysme est rendu plus effrayant grâce à l'ironie subtile qui se dégage. Ce roman est loin d'être idéaliste mais il nous est accessible. Derrière une caméra aussi mordante que la plume, Chabrol transforme le symbole littéraire en figuratif spectaculaire